Pas envie de rentrer... T'es où?

À peine la sonnerie eut elle retenti que la voilà déjà sortie. Tout sourire, courant dans les couloirs à en perdre haleine, Kana se dirige vers la sortie.


*Enfin le week end!!!*

Emplissant ses poumons d'air en rejetant ses épaules en arrière, pour ensuite tout relacher dans un soupir éloquent.


*Raaahhh!!! Mailleurs moments de l'année avec les vacances.*

D'un pas décidé, Kana franchit le portail, laissant sa couleur bleue dérrière elle.
Les cours de langue étant les plus ennuyeux, surtout le français, la jeune lycéenne en avait profité pour faire un petit somme en cet après midi bien chargée. Et maintenant,, il n'était pour elle pas question de rentrer à la maison sans faire un détour par le centre commerciale, ou elle pourrait dépenser une tonne d'énergie et un minimum d'argent. Et si en sortant des magasins le soleil était toujours d'aplomb, la jeune femme irait faire un tour chez Chinatsu pour lui montrer ses achats...

D'un geste coutumier, elle vérifie la présence de ses clefs dans le fond de son bagage, en y glissant seulement le bout des doigts. Les y trouvant, Kana se remet à courir de plus belle, laissant de légères foulées la mener cette fois ci en direction des rues pleines de boutiques.

Bien qu'animée, la jeune fille arrivait sans peine à s'y retrouver. Quelques fois on la bousculait, un livreur trop pressé, un couple de touriste ahuris par le bazar ambulant du soir... Kana s'y reprit à plusieurs fois, parcourant sans cesse la rue à la recherche de son bonheur.
À dix neuf heures trente, la jeune femme était à son point de départ, chargée des pieds à la tête d'encombrants paquets. Colorée ainsi, les passants se retournaient en la voyant, non seulement à cause de son chargement de mule mais aussi grâce à son visage qui un brin essouflé avait les joues rosées, ses yeux pétillants de bonheur et sa chevelure flottante au vent. De loin le tableau devait être comique et plein de beauté.

Emoustillé par ses courses folles et l'odeur des beignets de crevettes flottant non loin d'elle, Kana décida de s'asseoir quelques instants en espérant pouvoir calmer l'excitation qui la secouait depuis la fin des cours. Elle posa ses sacs à terre en renouvelant son soupir et entreprit de faire un historique des courses.


*Alors...
-un premier ensemble composé d'une mini jupe chocolat accompagné d'un tricot fin sans manche couleur crème avec lesquels est assorti une petite ceinture de cuir dans les tons marron orangé avec une touche d'or avec quoi je pourrais mettre mes bottines en daim à talons aiguilles.
-un second comprenant un pantalon, de jean brodé de perle blanches et turkoises. Une tunique blanche toute simple ainsi qu'une paire de tongue dans les même couleurs.
J'ai aussi acheté les derniers albums de BOA et Do As Infinity... Ah oui et une nouvelle pallet de fars à paupières.
Je crois bien avoir fais le tour cette fois-ci...*

Elle sortit son portable d'un des nombreux paquets et y regarda l'heure. Cela faisait déjà un quart d'heure d'écoulé, déjà... L'heure passait et commençait à ne pas être sure pour une adolescente de seize ans plutôt jolie.
Pressée, Kana ramassa ses achats, le soleil n'avait pas encore disparu derrière la cîme des immeubles, autant rendre visite à China.
Avec ses dernières pièces, elle passa chez Satou et y commanda un assortiment de fines patisseries, qu'elle partagerait avec son amie plus tard dans la soirée.

Les néons jaunes s'allumaient sur son passage, tremblotants un peu mais tenant tout de même le coup.
Les passants se faisaient rares sur les trottoirs et plus vite la jeune fille arriverait, plus vite elle se sentira en sécurité.
Dans sa balade, des effluves venant des cuisines alentours venaient lui chatouiller les narines et affamer son estomac, qui de son côté commença à quémander son dû.
Le vent du soir est frais contre la peau de Kana, et les courants soulèvent sa jupe la faisant virevolter autour de ses cuisses athlétiques, collent sa chemise d'un blanc immaculé tout contre sa poitrine moulant ainsi son buste et dévoilant ses formes aux yeux de tous.
Plus que quelques mètres avant d'arriver à la porte de son amie mais la nuit était déjà là, pour rentrer elle n'aura plus qu'à prendre le bus.

La jeune femme stoppa devant l'imposante entrée d'une des maisons Sôma. Il y faisait toujours un peu froid même en été, comme un frisson qui vous parcourt l'échine. Elle se reprit et fit tinter la sonnette de la porte.

Le crépuscule prenait place peu à peu, la fraîcheur de la lune remplaçait doucement la chaleur du soleil, tandis que la noirceur du ciel assombrissait dans un même temps les rues de la ville, à peine éclairées par d'énormes lampions.

Devant la porte, Kana commençait à sentir le froid s'infiltrer sous ses vêtements, sa main glaciale effleurant de ses longs doigts osseux, ses jambes et ses bras nus.
Bien que l'attente dans le courant d'air ne fut que très brève, la jeune femme s'engouffra dans la maison sitôt la porte ouverte.
Comme à son habitude, madame Sôma lui avait ouvert sa porte toute souriante, le soir étant là monsieur Sôma, devait dors et déjàregarder les informations confortablement assis dans son fauteuil.
Mais pour une fois, un trait peu coutumier venait troubler l'accueil chaleureux de la maison. Disons plutôt deux en faite. Tout d'abord l'absence de Chinatsu dans le vestibule décoré avec goût, et ensuite la présence de deux étrangers assis sur une marche de l'escalier.
L'un au cheveux long d'une couleur brun cuivré, aux yeux noisettes pleins de chaleur et un teint halé par le soleil comme le sien, l'autre sans doute plus âgé semblait calme et plein d'attraits.
En essayant de mettre de côté sa confusion, Kana se tourna vers la mère de son amie et s'inclina respectueusement en lançant un ohayo joyeux à la ronde.
La séduisante lycéenne posa ses nombreux sacs sur le sol fraichement lessivé et en esquissant un sourire elle demanda à la maîtresse de maison si China était là. Elle s'excusa en même temps pour l'heure tardive à laquelle, elle leur rendait visite.

"Oui elle est là, mais sûrement enfermée dans sa chambre. Depuis quelques jours, Chinatsu paraît moins enjouée et se barricade dans sa chambre de princesse... Et puis ne t'excuses pas, depuis le temps que ça dure nous commençons à être habituer à tes visites impromptues Kana-chan."


Le rouge lui montant aux joues, la dite jeune fille, baissa la tête cachant un sourire timide.
Les garçons installés dans le vestibule n'avait pas ouvert la bouche depuis son arrivée, mais la regardait avec insistance, comme des spectateurs devant une bête de foire. Une bête de foire elle?!? Euh... JAMAIS!!!! Quoique, avec tous ces sacs qui l'entourait elle devait être un formidable spectacle.
Troublée par ces deux étranges regards posés sur elle, la jolie lycéenne n'entendit pas le bruit d'une porte que l'on ouvre venant de l'étage, mais le bruit de cavalcade étant déjà plus fort, lui parvint facilement à l'oreille.
Avec un grand sourire pour son amie, elle regarda China descendre quatre à quatre les escaliers, bousculant à son passage les deux hommes qui lui sommèrent de se calmer. Mais n'y prêtant guère attention, la fougueuse jeune femme attérit aux côtés de Kana pas essoufflée pour un sou.

'' Kana!! Woooa, je suis trop contente de te voir! Dit maman, Kana pourrait diner avec moi dans ma chambre? J'ai tout un tas de chose personnel à lui raconter, tu vois... ''

Bien sur, Kana elle aussi était heureuse de revoir sa meilleure amie absente depuis quelques jours, mais sachant que China ne l'écouterait que quand elle même aurait fini, elle décida d'attendre d'être dans sa chambre.
Ecoutant d'une oreille distraite la demande de son amie, elle fut surprise de l'entendre demander de dîner là haut, elle qui aimait par habitude manger avec ses parents, ces mecs avaient ils quelques chose à voir avec ce revirement? Ce tas de choses personnelles devaient vraiment être important alors! Après que sa mère ait acquiescé, Cina embarqua les sacs de son amie et la tira vers sa chambre rebousculant derechef les deux hommes.
Toujours dans ses réflexions, Kana se laissa entrainer sans un mot dans l'antre princière de son amie.

Une fois arrivées dans la chambre richement décorée de vert et de rose lilas, Chinatsu posa les sacs de son amie au pied de son lit avant de la rejoindre au milieu de la pièce et de la serrer dans ses bras. Kana habituée depuis longtemps à l'affection que toutes deux éprouvait l'une pour l'autre ne fut pas choquée et la serra dans ses bras à son tour.
Rien qu'en passant ses mains dans le dos de la jeune femme, elle sentit ses muscles noués dus peut être au stress ou bien des ressentiments qui l'habitaient. Inquiète que China se laisse ainsi aller à dire que sa vie était un vrai cauchemard, ça ne fit que renforcer les doutes qui l'assaillaient.

Son amie n'allait pas fort, et elle voulait en connaître la cause pour pouvoir l'aider ensuite, mais depuis qu'elle avait aperçut deux étrangers à peine beaucoup plus vieux qu'elles squatter le vestibule des Sôma, Kana, elle même avait sentit sa joie faiblir.
Les deux hommes se ressemblaient par certains traits, l'un plus vieux l'autre plus jeune, l'autorité étant inversée, tous deux inspiraient une sorte de crainte. Kana n'en avait jamais entendu parler et ne les avait jamais vu.

Reprenant peu à peu ses esprits, la jeune lycéenne s'installa sur le lit ôtant ses chaussons à l'effigie de tête de singe.
La joie désormais ne faisait plus partie de son humeur et ce bien être avait vite été remplacé par l'inquiétude et le stress.
Dans la chambre de princesse China le silence commençait à se faire pesant. Kana sentait son amie chercher ses mots pour être plus claire, mais elle décida de rompre en première le silence pour poser une seule question, cette même question qui lui tournait dans la tête depuis son arrivée.

"Qui sont-ils?"


[voilà mdr j'ai essayé de faire de mon mieux en l'écrivant cette nuit lol]

Pour la première fois depuis qu'elles se connaissaient, China laissa tomber son masque et transparaître ses émotions.
Pour ne pas la troubler d'avantage, Kana la laissa parler sans rechigner, laissant son coeur s'exprimer.
Assise à côté d'elle sur le lit, son amie remuait, sa voix montait en même temps que la colère, et les émotions se succédaient sur son visage.
La jeune lycéenne ne regrettait pas d'être venue, ce soir elle qui n'avait rien à faire il y a dix minutes, resterait aider son amie. Bon c'est clair, Kana n'avait pas tout compris, pourquoi se mettre dans un tel état pour un mec?
Même si China haissait la gente masculine, elle ne s'était jamais mis dans un tel état pour l'un d'entre eux, à part celui ci, Yuan, qu'avait de spécial en faite?

Fille unique elle aussi, Kana pouvait essayer de comprendre le sentiment de rejet qui naissait dans le coeur d son amie face à l'intrusion d'une nouvelle personne dans sa maison, qui plus est un homme. Mais ce qu'elle n'avait jamais saisit était la répugnance que China éprouvait pour les garçons.
Contrairement à China, akna n'était pas homosexuelle mais plutôt hétéro avec bénéfice féminin. Ah c'est pas forcément compréhensible, faut que j'explique alors.
La jolie japonaise n'éprouve pas de réelle attirance pour le sexe faible sauf pour sa meilleure amie, mais les charmes masculins ne lui sont pas sans effet.
Elle avait déjà vu des jeunes filles tomber amoureuses, elle même auparavant -avant de connaître Chinatsu- en avait fait l'expérience. Pourtant sa meilleure amie était troublée par ce nouveau venu, elle en ressentait peut être de l'attirance qui c'est, China n'était qu'une fille après tout. À la conclusion que son amie était peut être en train de tomber amoureuse, un noeud se fit dans son estomac, qu'elle ne comprit pas tout de suite.
Quand sa belle amie se prit la tête dans les mains avec un air triste, Kana ne put s'empécher de la prendre dans ses bras et de la bercer contre elle, doucement...

*Est ce de la jalousie ou bien de l'amour? Cela elle n me l'avouera jamais que ce soit l'un ou l'autre, mais au fond je préférerais la première option parce que ce poid sur mon estomac... C'est de la jalousie, je crois...*

Une fois que la tempête qui rageait dans le coeur de son amie se fut quelque peu calmé elle défit lentement son étreinte des épaules de China et lui plaqua une bise sonore sur l'une de ses joues.
Pour réfléchir aux paroles qu'elle pourrat dire, elle se leva, lissa sa jupe et se dirigea vers les paquets déposés aux pieds du lit.
Elle fouilla un instant avant de trouver ce qu'elle cherchait, la boîte pleine à craquer de patisseries. D'un regard ou plus aucune joie ne dansait, elle fixa le contenu. Se redressant elle tendit le paquet à son amie mais comme China ne réagissait pas elle posa les gâteaux sur ses genoux en en prenant un, puis elle se remit devant China assise par terre les jambes croisées fixant les longs cheveux de son amie qui lui tombaient sur son beau visage.


"Tu sais, si ton cousin est si terrible que ça, il doit être amusé de te voir dans un tel état à cause de lui, surtout si c'est ce qu'il cherche...
Si tu essayais de reprendre le dessus sur tes sentiments, et que tu le traitait par la suite avec toute l'indifférence que tu peux juger nécessaire?"

Elle avait dit cette dernière phrase d'une toute petite voix, n'y croyant pas elle même. Le regard du jeune homme était éclairé par une lueur de défi froid.

"Et puis je suis là et contrairement à ce que tu penses ta famille aussi. En prenant Yuan sous son aile, ta mère a fait preuve de la même gentillesse avers moi quand elle a accepté de me recevoiir ce soir. Et puis ne t'inquiète pas, tu seras toujours la princesse du chateau, ma princesse à moi."


Elle prit un air enjoué et adressa à sa meilleure maie un de ses plus beaux sourires, même si ses yeux exprimaient le doute.
Après son long discours de meilleure amie à meilleure amie, Kana s'étira les bras avec un long soupir et se mit debout. D'un pas calme elle s'avança vers la belle chinoise, et en glissant un doigt sous son menton leva son visage vers le sien.

"Smile Princess!"

[voilouuu]

Le sourire de son amie, éblouissant rendit à Kana son allégresse passée et elle sourit à son tour.
Leur humeur commune dépendait de l'état de l'une et l'autre des jeunes femmes, elles se comprenaient si bien, qu'elles se contaminaient entre elles.
En tout cas, ce sourire là, lui fit l'effet d'une clarté rayonnante trouant les épais ténèbres de Lucifer, la rendant heureuse enfin dans un certain sens. Les yeux de son amie étaient encore hantés d'onces de doute, qui l'espérait elle disparaitraient bientôt.

Ayant retrouvé son entrain ordinaire, China alla chercher les achats de sona mie et les lui tendit en lui réclamant un défilé.
Acquiesçant sans hésitation, Kana piqua un gateau dans la boîte que son amie serait toujours contre elle, et l'enfourna sans attendre.
À pas légers, la jolie japonaise s'éloigna dans le fond de la chambre où elle posa ses paquets sur une chaise.

Son corps n'était pas inconnu à sa meilleure amie -tout comme le sien d'ailleurs- elle ne voyait donc aucune utilité à se cache.
Souriante, elle tourna le dos à son amie assise sur le sol qui de ses beaux yeux la regardait avec envie. Elle défit adroitement les boutons de sa chemise blanche laissant apparaitre son buste sans défaut. Elle fit de même pour sa jupe et ses chaussettes qu'elle jeta nonchalamment à côté du siège.
Aujourd'hui ses sous vêtements étaient noirs, cette couleur faisait agréablement ressortir le ton de sa peau.
Son soutien gorge joliment brodé cachait à peine le dessin de sa propre poitrine et ses fines bretelles dont l'une glissait sur son épaule droite, son tangua de dentelle sombre lui saillait à merveille, lui aussi, mettant sans intention particulière, en valeur les formes dument dessinées de ses fesses. Ce que China ne pouvait apercevoir était un papillon d'argent dessiné avec soin à l'avant droit de son bas de sous vêtement.

Au contact du regard de Chinatsu sur sa peau nue, Kana soupira en souriant, à chaque fois le même manège en faite...
Ses yeux flamboyant posés sur elle, la belle japonaise tressaillit et se retourna vers son amie un air timide au visage bien qu'elle ait prit une position provoquante, à savoir son corps balançant tout son poids sur sa hanche gauche et sa main effleurant à peine sa hanche droite.

"Ne me regarde pas comme ça, -un rire silencieux lui échappa-, tu sais je n'ai pas acheté de sous vêtements ce soir, alors ne me regarde pas avec cet air gourmand qui est le tien en ce moment, j'ai l'impression que tu vas me manger comme toutes ces patisseries."

D'un index fin, elle désigna la boîte qui jonchait à présent le sol, vide à part quelques miettes et encore.
Elle rit encore appréciant les regards de son amie sur sa demie nuditée. Avant de repartir vers son affaire, ell prit un air gamin et tira la langue à la jolie chinoise.

Le jeu chez elle, était devenu à force une seconde nature, elle savait cette occupation pas très intelligente mais s'y amlusait follement comme à cet instant.
Ses jambes hâlées par le soleil n'avaient aucun besoin de collant, et c'est sans qu'elle enfila sa jupe chocolat qui lui arrivait juste sous les fesses, comme si c'était du sur mesure, elle enfila ensuite son gilet qui moula superbement son buste offrant ainsi un joli décolleté.
Elle ajouta à l'ensemble la ceinture de cuir et ajusta le tout.

Kana jeta un rapide coup d'oeil à son reflet dans le miroir et se dirigea vers la chaine de son amie ou elle mit un fond sonore.
Un rien joueuse, Kana se fit sérieuse et fixant un point devant elle parada.
Quelques minutes passèrent avant qu'elle ne laisse tomber son maque et défile avec son amie avec gaïeté. L'ambiance chaleureuse les avait toutes deux déridées et Kana s'amusait comme une gamine de cinq ans.
Elle enfila aussi son jean et sa tunique et le même cirque recommença.

À la fin la japonaise ôta ses essayages et vînt à côté de China sans s'être rhabillée.
Elle s'allongea à même le sol, profitant de son amie en posant sa tête sur ses genoux. Elle ferma les yeux un instant et soupira d'aise, quand elle était en présence de sa meilleure amie tout allait bien et rien normalement constitué ne venait troubler leur paix sous peine de représaille.

"Je suis fatiguée et j'ai faim. Qu'est ce qu'on fait maintenant? L'autre jour avec ta mère tu n'as rien acheté?"

La jolie jeune femme ouvrit les yeux, toujours souriante et se mit à jouer avec les cheveux de China, comme un petit chaton en mal de tendresse.
Longs et soyeux ses cheveux d'un noir de jais glissaient entre ses doigts mêlant leur parfum à celui de leur maîtresse.

[voilà dsl aussi du retard^^' et ds fautes j'ai pas le temps de corriger^^']