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Qui dit Dimanche, dit congé! Euh... vraiment?
Invité Jeu 16 Aoû 2007, 7:41 pm
"Mam’ ! Mam’ !"
Callie Rose leva la tête du magazine qu’elle était en train de feuilleter négligemment, et la tourna vers un tout petit garçon blond qui tenait à peine sur ses deux petites gambettes. La jeune mère posa la tasse de café qu’elle tenait d’une main, et s’intéressa à son rejeton. Ce dernier poussait des petits cris incompréhensibles, agrémentés de gestes apparemment explicatifs, regardant sa maman comme si elle était son dernier espoir. Ce qui était vrai finalement, puisque lorsqu’on a un réel problème, les peluches dénuées de vie intelligente ne sont pas d’un grand secours dans ce cas ci. Mam’ était donc bel et bien son dernier espoir puisque ses peluches avaient décidé une fois de plus de le bouder. Ah, les rats sont les premiers à quitter le navire lorsque celui-ci coule…
"Doucement 'Drew, calme toi ! Je ne comprends rien é____é! "
Vous avez déjà essayé d’avoir un dialogue avec un gosse de quatre ans ? Et bien là c’était pire, puissance quatre. Le petit comprend que dalle autant que sa mère. Langage de sourd de son nom scientifique.
Cependant Callie n’était pas du genre à renoncer. Pour construire une relation solide – se plaisait-elle à dire – il fallait tout d’abord commencer par comprendre l’autre. L’autre qui était en conséquent ce petit blondinet de un an et deux mois gigotant dans tous les sens, appelant manifestement à l’aide. A l’aide, tiens, c’était déjà un début. Mais à l’aide pour quoi ?
Andrew, manifestement pas très content de ne pas s’être bien fait comprendre, redoubla ses cris, et se tue enfin, satisfait, en voyant la réaction – enfin ! – de Mam’.
Effectivement, Callie Rose venait de se lever et de froncer les sourcils. Traduction : c’en était assez des cris. Andrew, tu peux te taire dès maintenant sinon StalineWoman va sortir SuperTorchon o____O
Le petit garçon quitta le salon-cuisine pour se diriger vers sa chambre, laissant échapper des « mam’, mam’, mam’ ! » strident. La jeune femme fut bien forcée de le suivre, exaspérée de ne pas avoir réussi – encore une fois – à finir son fichu café tant qu’il était encore chaud. Ce môme allait finir par la rendre chèvre è.é
Andrew s’arrêta sur le pas de la porte, l’air soudain pas rassuré. Callie faillit éclater de rire en voyant la raison de la peur de son fils, mais se retint, et un joli sourire tendre s’épanouit sur ses lèvres. Elle se dirigea vers l’araignée qui reposait tranquillement contre le mur, au dessus du lit du gamin. Elle réussit à l’attraper avec délicatesse. L’insecte essaya de fuir plusieurs fois, mais les résultats étant peu concluants, il sembla se résoudre à ne plus bouger. Rose s’accroupis en face d’Andrew. Celui-ci recula légèrement de frayeur, mais la jeune mère insista en lui montrant l’araignée.
"Araignée."
Le petit la regarda, puis releva ses yeux vers sa mère. Pas très sûr d’avoir tout compris, il répéta, hésitant :
"Againée !"
" Arrrraignnnnée ", rectifia Callie en secouant la tête. " Regarde, il ne faut pas avoir peur."
Puis la jeune mère se releva sous le regard intrigué de son fils, ouvrit une fenêtre, et déposa l’insecte sur le rebord extérieur. Elle referma, puis s’exclama :
"Bon, on va faire un tour au parc ?"
Une vingtaine de minutes plus tard, Callie Rose et Andrew se trouvait dans le parc en face de chez eux, l’un assis dans une poussette, l’autre la poussant d’un air comblé de bonheur.
Comme tous les dimanches, la jeune femme emmenait son fils en promenade, seul jour où elle pouvait vraiment faire des activités avec lui comme les sorties. En semaine c’était impossible, elle travaillait, et le samedi elle se devait de répéter avec les membres de son groupe. Heureusement que la crèche existait u____u Ca coûtait cher, mais de toute façon Callie n’avait pas d’autre solution. Et puis Andrew s’y plaisait, et c’était important pour lui de grandir autour d’autres enfants de son âge. D’ailleurs il devait y avoir là bas un enfant ou un adulte qui devait avoir peur des araignées, car son fils ne lui avait jamais fait de scène « Aaaaah une araignée, au secours T.T » avant cela. Vive les neuronnes miroirs… m’enfin, c’était par là que passait l’apprentissage aussi.
La jeune maman s’assit sur le banc, détacha Andrew de la poussette, et le petit garçon sauta sur ses deux jambes (sans avoir légèrement vaciller préalablement) et se mit en tête de faire plusieurs fois le tour du truc en bois où était assise Mam’. Callie soupira, mais ne fit aucun commentaire. A quoi bon de toute façon puisque Andrew ne comprendrait pas un mot de ce qu’elle dirait ? Et si elle lui faisait comprendre en s’énervant, le petit ne saisirait pas pourquoi c’était mal de tourner autour d’un misérable banc. Quoi que si, c’était mal lorsque maman avait besoin d’un minimum de calme… c’était trop demandé ?
La jeune femme se résigna donc à laisser son fils se dépenser (avec un peu de chance il serait tellement fatigué qu’il dormirait un peu), et sortit un livre de son sac qu’elle ouvrit et commença à lire (non sans jeter quelques regards à son fils pour s’assurer que tout allait toujours bien).
Ca devait être un drôle de tableau tout de même. Une jeune femme qui lisait un livre, l’air concentré, et un gosse d’à peine un an qui criait et riait en tournant autour d’elle. A faire sourire ou à faire fuir n’importe qui. C’était à voir.
Callie Rose leva la tête du magazine qu’elle était en train de feuilleter négligemment, et la tourna vers un tout petit garçon blond qui tenait à peine sur ses deux petites gambettes. La jeune mère posa la tasse de café qu’elle tenait d’une main, et s’intéressa à son rejeton. Ce dernier poussait des petits cris incompréhensibles, agrémentés de gestes apparemment explicatifs, regardant sa maman comme si elle était son dernier espoir. Ce qui était vrai finalement, puisque lorsqu’on a un réel problème, les peluches dénuées de vie intelligente ne sont pas d’un grand secours dans ce cas ci. Mam’ était donc bel et bien son dernier espoir puisque ses peluches avaient décidé une fois de plus de le bouder. Ah, les rats sont les premiers à quitter le navire lorsque celui-ci coule…
"Doucement 'Drew, calme toi ! Je ne comprends rien é____é! "
Vous avez déjà essayé d’avoir un dialogue avec un gosse de quatre ans ? Et bien là c’était pire, puissance quatre. Le petit comprend que dalle autant que sa mère. Langage de sourd de son nom scientifique.
Cependant Callie n’était pas du genre à renoncer. Pour construire une relation solide – se plaisait-elle à dire – il fallait tout d’abord commencer par comprendre l’autre. L’autre qui était en conséquent ce petit blondinet de un an et deux mois gigotant dans tous les sens, appelant manifestement à l’aide. A l’aide, tiens, c’était déjà un début. Mais à l’aide pour quoi ?
Andrew, manifestement pas très content de ne pas s’être bien fait comprendre, redoubla ses cris, et se tue enfin, satisfait, en voyant la réaction – enfin ! – de Mam’.
Effectivement, Callie Rose venait de se lever et de froncer les sourcils. Traduction : c’en était assez des cris. Andrew, tu peux te taire dès maintenant sinon StalineWoman va sortir SuperTorchon o____O
Le petit garçon quitta le salon-cuisine pour se diriger vers sa chambre, laissant échapper des « mam’, mam’, mam’ ! » strident. La jeune femme fut bien forcée de le suivre, exaspérée de ne pas avoir réussi – encore une fois – à finir son fichu café tant qu’il était encore chaud. Ce môme allait finir par la rendre chèvre è.é
Andrew s’arrêta sur le pas de la porte, l’air soudain pas rassuré. Callie faillit éclater de rire en voyant la raison de la peur de son fils, mais se retint, et un joli sourire tendre s’épanouit sur ses lèvres. Elle se dirigea vers l’araignée qui reposait tranquillement contre le mur, au dessus du lit du gamin. Elle réussit à l’attraper avec délicatesse. L’insecte essaya de fuir plusieurs fois, mais les résultats étant peu concluants, il sembla se résoudre à ne plus bouger. Rose s’accroupis en face d’Andrew. Celui-ci recula légèrement de frayeur, mais la jeune mère insista en lui montrant l’araignée.
"Araignée."
Le petit la regarda, puis releva ses yeux vers sa mère. Pas très sûr d’avoir tout compris, il répéta, hésitant :
"Againée !"
" Arrrraignnnnée ", rectifia Callie en secouant la tête. " Regarde, il ne faut pas avoir peur."
Puis la jeune mère se releva sous le regard intrigué de son fils, ouvrit une fenêtre, et déposa l’insecte sur le rebord extérieur. Elle referma, puis s’exclama :
"Bon, on va faire un tour au parc ?"
Une vingtaine de minutes plus tard, Callie Rose et Andrew se trouvait dans le parc en face de chez eux, l’un assis dans une poussette, l’autre la poussant d’un air comblé de bonheur.
Comme tous les dimanches, la jeune femme emmenait son fils en promenade, seul jour où elle pouvait vraiment faire des activités avec lui comme les sorties. En semaine c’était impossible, elle travaillait, et le samedi elle se devait de répéter avec les membres de son groupe. Heureusement que la crèche existait u____u Ca coûtait cher, mais de toute façon Callie n’avait pas d’autre solution. Et puis Andrew s’y plaisait, et c’était important pour lui de grandir autour d’autres enfants de son âge. D’ailleurs il devait y avoir là bas un enfant ou un adulte qui devait avoir peur des araignées, car son fils ne lui avait jamais fait de scène « Aaaaah une araignée, au secours T.T » avant cela. Vive les neuronnes miroirs… m’enfin, c’était par là que passait l’apprentissage aussi.
La jeune maman s’assit sur le banc, détacha Andrew de la poussette, et le petit garçon sauta sur ses deux jambes (sans avoir légèrement vaciller préalablement) et se mit en tête de faire plusieurs fois le tour du truc en bois où était assise Mam’. Callie soupira, mais ne fit aucun commentaire. A quoi bon de toute façon puisque Andrew ne comprendrait pas un mot de ce qu’elle dirait ? Et si elle lui faisait comprendre en s’énervant, le petit ne saisirait pas pourquoi c’était mal de tourner autour d’un misérable banc. Quoi que si, c’était mal lorsque maman avait besoin d’un minimum de calme… c’était trop demandé ?
La jeune femme se résigna donc à laisser son fils se dépenser (avec un peu de chance il serait tellement fatigué qu’il dormirait un peu), et sortit un livre de son sac qu’elle ouvrit et commença à lire (non sans jeter quelques regards à son fils pour s’assurer que tout allait toujours bien).
Ca devait être un drôle de tableau tout de même. Une jeune femme qui lisait un livre, l’air concentré, et un gosse d’à peine un an qui criait et riait en tournant autour d’elle. A faire sourire ou à faire fuir n’importe qui. C’était à voir.
Invité- Invité
Re: Qui dit Dimanche, dit congé! Euh... vraiment?
Yutada Idao Jeu 16 Aoû 2007, 8:35 pm
"Journée de merde."
Ces quelques mots résumaient la pensée actuel du collégien nommé Yutada Idao, ou comme la plupart des gens le surnomme, Yu. En effet, il s'ennuyait, le jeune homme, le dimanche, pas de professeurs à terrorisé, pas de faibles à défendre, pas de classes à mettre sans dessus-dessous, bref, pas de collège ou faire les 400 coups, en plus de ça, il n'arrivait à joindre aucun de ses ami(e)s sur leurs portable ou sur leurs fixe, ces lâcheurs devaient pourtant bien se trouver quelque part ! Dégoûté d'être ainsi délaissé, Yutada se mit en têted'emmerder d'aller voir sa bien-aimée soeur, mais ô malheur, sa proie préférée était en train de parler de choses plutôt ennuyantes au vu de Yutada avec ses amies, et avait fait comprendre du regard que si jamais il osait venir les déranger, il recevait le châtiment suprême consistant à être privé de glaces.
Ainsi trahit et abandonné, Yutada, ayant encore une fois fini son dernier jeu vidéo et atomisé tous les boss, ne trouvait rien à faire, quand soudain, son père, ayant ramené une énième remplaçante de sa femme, où comme Yutada aimait les appeler, les "vases à remplir de papa", dit à son fils que s'il s'ennuyait, il n'avait qu'à sortir dehors. Le jeune homme, lançant un regard de dégoût envers la jeune femme accompagnant son père, haussa les épaules et alla enfiler des vêtements pour sortir. Il se retrouva ainsi avec un jean noir, une chemise noire et blanche et un bonnet représentant un panda sur le crâne, avant d'aller enfiler ses basket comme le reste, blanche et noir, dans le hall d'entrée. Il sortit alors de la villa, son bonnet-panda sur le crâne, puis s'en alla de son chez-lui, ne sachant pas vraiment ou glander.
Finalement, le jeune collégien opta pour se rendre à la salle d'arcade, mais désespoir, celle-ci était fermée le dimanche, pourquoi fallait-il que le dimanche il n'y est personnes et que tous les endroits amusants soit fermaient ? Même pas une boutique où acheter une petite dague. Soupirant d'ennui, le jeune homme fini par arriver dans le parc Midoriiro, et là, au sublime bonté du ciel, devant ses yeux vairons, se tenait le grand, le seul, l'unique, le vendeur de glaces ! La langue pendant et les yeux plein d'envies, Yutada accouru vers son doux réconfort et demanda une glace au chocolat blanc, son désir fut réalisé et une fois le délice divin en main, il remit au vendeur de quoi être fier de son business. Équipé de son met, Yutada le lécha comme le ferait un jeune et joyeux gamin, sautillant de joie en plus de cela, autant dire qu'il ne faisait plus du tout ses 16 ans, mais de toute façons, il n'y a pas deux semaines, il avait encore 15 printemps.
Soudain, son attention fût attiré par des cris de bambins, s'approchant de la zone à turbulence, il put voir un jeune, hein ? Un jeune blondinet ? C'était pas une espèce disparue au Japon ça ? ( Oo) Intrigué de voir un blond en ces lieux, le jeune homme s'approcha avec un visage plein de curiosité vers le petit bonhomme, s'accroupissant à quelques mètres du banc, il observa le bambin tout en léchant sa divine glace, puis il releva ses yeux vairon, pour apercevoir ce qui devait être la mère de l'enfant, un instant, elle semblait vachement jeune pour être maman, haussant un sourcil, car surpris de voir une si jeune femme s'occuper d'un enfant encore très jeune, il se mit à penser qu'elle devait être plus une nounou qu'autre chose, en même temps, les jeunes mères n'étaient pas si rare que ça.
Tout en observant la jeune femme qui semblait perdu dans sa lecture, Yutada observait également l'enfant, vu la concentration dont faisait preuve la jeune femme, bien que semblant dérangé par le fait que quelqu'un la regarde, il était préférable qu'une seconde personne vaille à ce que l'enfant ne soit pas subtilement kidnappé par une enflure de pédophile. Finalement, Yutada se redressa, croisant le regard plus que hautain de la demoiselle, en réponse à ce regard, il pencha la tête sur le côté, comme s'il ne comprenait pas que c'était un regard menaçant. Le collégien vint s'asseoir à côté de la jeune femme, tout en continuant de lécher sa femme et la fixa sans rien dire, nul doute qu'il risquait de se prendre une baffe, mais bon, quand on est timbré, on le reste...
" c'est plutôt rare de voir des bébés blonds dans le coin, dites-moi, vous êtes sa nounou ? Où sa mère ? Si c'est la seconde solution, félicitation, vous avez donné vie à une espèce en voie de disparition, à savoir, un blond! "( ^^)
[ Voilà comment est vêtu Yu ^^:
]
Ces quelques mots résumaient la pensée actuel du collégien nommé Yutada Idao, ou comme la plupart des gens le surnomme, Yu. En effet, il s'ennuyait, le jeune homme, le dimanche, pas de professeurs à terrorisé, pas de faibles à défendre, pas de classes à mettre sans dessus-dessous, bref, pas de collège ou faire les 400 coups, en plus de ça, il n'arrivait à joindre aucun de ses ami(e)s sur leurs portable ou sur leurs fixe, ces lâcheurs devaient pourtant bien se trouver quelque part ! Dégoûté d'être ainsi délaissé, Yutada se mit en tête
Ainsi trahit et abandonné, Yutada, ayant encore une fois fini son dernier jeu vidéo et atomisé tous les boss, ne trouvait rien à faire, quand soudain, son père, ayant ramené une énième remplaçante de sa femme, où comme Yutada aimait les appeler, les "vases à remplir de papa", dit à son fils que s'il s'ennuyait, il n'avait qu'à sortir dehors. Le jeune homme, lançant un regard de dégoût envers la jeune femme accompagnant son père, haussa les épaules et alla enfiler des vêtements pour sortir. Il se retrouva ainsi avec un jean noir, une chemise noire et blanche et un bonnet représentant un panda sur le crâne, avant d'aller enfiler ses basket comme le reste, blanche et noir, dans le hall d'entrée. Il sortit alors de la villa, son bonnet-panda sur le crâne, puis s'en alla de son chez-lui, ne sachant pas vraiment ou glander.
Finalement, le jeune collégien opta pour se rendre à la salle d'arcade, mais désespoir, celle-ci était fermée le dimanche, pourquoi fallait-il que le dimanche il n'y est personnes et que tous les endroits amusants soit fermaient ? Même pas une boutique où acheter une petite dague. Soupirant d'ennui, le jeune homme fini par arriver dans le parc Midoriiro, et là, au sublime bonté du ciel, devant ses yeux vairons, se tenait le grand, le seul, l'unique, le vendeur de glaces ! La langue pendant et les yeux plein d'envies, Yutada accouru vers son doux réconfort et demanda une glace au chocolat blanc, son désir fut réalisé et une fois le délice divin en main, il remit au vendeur de quoi être fier de son business. Équipé de son met, Yutada le lécha comme le ferait un jeune et joyeux gamin, sautillant de joie en plus de cela, autant dire qu'il ne faisait plus du tout ses 16 ans, mais de toute façons, il n'y a pas deux semaines, il avait encore 15 printemps.
Soudain, son attention fût attiré par des cris de bambins, s'approchant de la zone à turbulence, il put voir un jeune, hein ? Un jeune blondinet ? C'était pas une espèce disparue au Japon ça ? ( Oo) Intrigué de voir un blond en ces lieux, le jeune homme s'approcha avec un visage plein de curiosité vers le petit bonhomme, s'accroupissant à quelques mètres du banc, il observa le bambin tout en léchant sa divine glace, puis il releva ses yeux vairon, pour apercevoir ce qui devait être la mère de l'enfant, un instant, elle semblait vachement jeune pour être maman, haussant un sourcil, car surpris de voir une si jeune femme s'occuper d'un enfant encore très jeune, il se mit à penser qu'elle devait être plus une nounou qu'autre chose, en même temps, les jeunes mères n'étaient pas si rare que ça.
Tout en observant la jeune femme qui semblait perdu dans sa lecture, Yutada observait également l'enfant, vu la concentration dont faisait preuve la jeune femme, bien que semblant dérangé par le fait que quelqu'un la regarde, il était préférable qu'une seconde personne vaille à ce que l'enfant ne soit pas subtilement kidnappé par une enflure de pédophile. Finalement, Yutada se redressa, croisant le regard plus que hautain de la demoiselle, en réponse à ce regard, il pencha la tête sur le côté, comme s'il ne comprenait pas que c'était un regard menaçant. Le collégien vint s'asseoir à côté de la jeune femme, tout en continuant de lécher sa femme et la fixa sans rien dire, nul doute qu'il risquait de se prendre une baffe, mais bon, quand on est timbré, on le reste...
" c'est plutôt rare de voir des bébés blonds dans le coin, dites-moi, vous êtes sa nounou ? Où sa mère ? Si c'est la seconde solution, félicitation, vous avez donné vie à une espèce en voie de disparition, à savoir, un blond! "( ^^)
[ Voilà comment est vêtu Yu ^^:
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Re: Qui dit Dimanche, dit congé! Euh... vraiment?
Invité Ven 17 Aoû 2007, 10:33 am
Callie Rose leva un instant les yeux de son livre pour les poser sur sa progéniture qui venait de s'arrêter de courir comme un timbré et de se laisser tomber à ses pieds, où il s'intéressa à une touffe d'herbe. La jeune femme lui sourit tendrement, elle ne pouvait s'en empêcher à chaque fois qu'elle le regardait. Lorsqu'elle le contemplait, elle avait toujours du mal à se dire que ce petit être chancelant sur ses deux jambes était sa chair et son sang. La trace vivante que lui avait laissé Taiki avant de mourir. Il lui manquait tellement...
* Stop, commence pas, sinon ça va encore finir en crise de larme u___u*
Elle se réintéressa donc à son roman. D'ailleurs il était plus que temps, car Sarah, l'héroine, était en train de lire comme elle sur un banc sans savoir qu'un malade la regardait et allait passer à l'action.
*Lève la tête, gourde! Il arrive! Il te regarde! Haaaan, naaan, je veux pas lire ça >.< *
Mais comme bon nombre de romans action/romance, l'ex de Sarah allait faire son apparition et la sauver de peu. Aaah, y'en avait marre des fins su à l'avance =='... y'avait finalement que dans la réalité qu'on ne savait pas ce qui arriverait et...
Attendez une seconde... Sarah qui était assise sur un banc et qui lisait, tellement absorbée par sa lecture qu'elle ne voyait pas l'autre malade s'approcher sournoisement...
Y'avait pas une légère ressemblance avec la réalité justement o____O?
Un léger frisson très désagréable lui parcourut l'échine, et Callie leva doucement les yeux.
Elle croisa une paire de yeux vairons et sursauta. Par les choux de Bruxelle de Grand Maman !
Elle se figea un instant, puis finalement fronça les sourcils et refit un pas dans la réalité. Zen, il la regardait juste de loin. Enfin, de loin...
Cependant Callie eut un demi sourire en observant la tenue du garçon de plus près. Très original son bonnet en forme de panda! Les adolescents inventaient tout de même de ces trucs... enfin, portaient, parce que c'était à la base des adultes qui confectionnaient ce genre de chose pour les vendre XD En tout cas il était vêtu d'une manière très original. Un point pour lui (voir deux pour les chaussures déparaillées (" )' ).
Elle faisait pâle figure à côté avec son jean simple, ses converses rouge, et sa chemise ouverte blanche qui laissait entrevoir un t-shirt rose fluo où était écrit "Very Dangerous".
Elle lui trouva tout de suite un air juvénil malgré ses cheveux étrangement gris qui aurait pu laisser penser le contraire. Il ne devait pas avoir plus de seize ans. Et il regardait elle et Andrew d'une drôle de manière. Quoi ? Elle était "trop" jeune pour être maman, c'était ça qu'il pensait? Oui, et alors?
Elle lui lança le plus hautain des regards, celui qui disait clairement "Va voir ailleurs, mon gars". Elle prit l'air farouche d'une mère protégeant sa progéniture. Elle aurait tenue un panneau "attention, ne pas approcher, maman méchante", qu'elle n'aurait pas été aussi claire.
Cependant le jeune homme s'approcha quand même, et s'assit même à côté d'elle. Callie Rose le regarda avec de grands yeux, et, ignorant à demi sa phrase, elle s'exclama, l'air renfrognée:
"Qu'est-ce que vous avez tous? Ce n'était pas une invitation >.< !"
Elle soupira et jeta un oeil à Andrew. Ce dernier s'était complètement désintéressé de sa touffe d'herbe et jetait des regards meurtriers au jeune collégien. Des fois c'était à se demander lequel des deux protégeait le plus l'autre =='...
Seulement Callie n'était pas si méchante que ça. Du moins s'il n'avait pas eu Andrew, elle se serait levée et serait partie à la conquête d'un autre banc pour lire tranquillement. Mais la présence de son fils atténuait légèrement son sale caractère et sa parfois "associabilité".
Elle consentie donc à répondre à la question - un peu bizarre, ça se voyait quand même qu'elle était sa mère puisqu'elle ne possédait aucunement le profil asiatique au même titre que son fils! - du jeune homme qui continuait à lêcher sa glace, sous le regard réprobateur du petit blondinet à ses pieds.
"Je suis sa mère. Oui, espèce en voix de disparition. Il tient ses cheveux de ma grand mère (" )."
Elle posa son livre - certaine de ne pas pouvoir savoir avant un bon moment ce qu'il advenait de Sarah - et soupira. Puis finalement elle demanda, attrapant Andrew et le mettant sur ses genoux:
"Qu'est-ce que tu veux?"
Bon, elle venait de le tutoyer alors qu'il venait de la vouvoyer, mais elle n'y pouvait rien, pour elle n'y était encore qu'un gosse, et pas un gars de déjà seize ans. D'ailleurs ses seize ans à elle lui paraissait bien loin...
Andrew semblait poser la même question que sa mère, mais en beacoup moins amicalement. Il avait horreur qu'un inconnu parle ou s'approche de sa mère ou accapare seulement son attention.
* Stop, commence pas, sinon ça va encore finir en crise de larme u___u*
Elle se réintéressa donc à son roman. D'ailleurs il était plus que temps, car Sarah, l'héroine, était en train de lire comme elle sur un banc sans savoir qu'un malade la regardait et allait passer à l'action.
*Lève la tête, gourde! Il arrive! Il te regarde! Haaaan, naaan, je veux pas lire ça >.< *
Mais comme bon nombre de romans action/romance, l'ex de Sarah allait faire son apparition et la sauver de peu. Aaah, y'en avait marre des fins su à l'avance =='... y'avait finalement que dans la réalité qu'on ne savait pas ce qui arriverait et...
Attendez une seconde... Sarah qui était assise sur un banc et qui lisait, tellement absorbée par sa lecture qu'elle ne voyait pas l'autre malade s'approcher sournoisement...
Y'avait pas une légère ressemblance avec la réalité justement o____O?
Un léger frisson très désagréable lui parcourut l'échine, et Callie leva doucement les yeux.
Elle croisa une paire de yeux vairons et sursauta. Par les choux de Bruxelle de Grand Maman !
Elle se figea un instant, puis finalement fronça les sourcils et refit un pas dans la réalité. Zen, il la regardait juste de loin. Enfin, de loin...
Cependant Callie eut un demi sourire en observant la tenue du garçon de plus près. Très original son bonnet en forme de panda! Les adolescents inventaient tout de même de ces trucs... enfin, portaient, parce que c'était à la base des adultes qui confectionnaient ce genre de chose pour les vendre XD En tout cas il était vêtu d'une manière très original. Un point pour lui (voir deux pour les chaussures déparaillées (" )' ).
Elle faisait pâle figure à côté avec son jean simple, ses converses rouge, et sa chemise ouverte blanche qui laissait entrevoir un t-shirt rose fluo où était écrit "Very Dangerous".
Elle lui trouva tout de suite un air juvénil malgré ses cheveux étrangement gris qui aurait pu laisser penser le contraire. Il ne devait pas avoir plus de seize ans. Et il regardait elle et Andrew d'une drôle de manière. Quoi ? Elle était "trop" jeune pour être maman, c'était ça qu'il pensait? Oui, et alors?
Elle lui lança le plus hautain des regards, celui qui disait clairement "Va voir ailleurs, mon gars". Elle prit l'air farouche d'une mère protégeant sa progéniture. Elle aurait tenue un panneau "attention, ne pas approcher, maman méchante", qu'elle n'aurait pas été aussi claire.
Cependant le jeune homme s'approcha quand même, et s'assit même à côté d'elle. Callie Rose le regarda avec de grands yeux, et, ignorant à demi sa phrase, elle s'exclama, l'air renfrognée:
"Qu'est-ce que vous avez tous? Ce n'était pas une invitation >.< !"
Elle soupira et jeta un oeil à Andrew. Ce dernier s'était complètement désintéressé de sa touffe d'herbe et jetait des regards meurtriers au jeune collégien. Des fois c'était à se demander lequel des deux protégeait le plus l'autre =='...
Seulement Callie n'était pas si méchante que ça. Du moins s'il n'avait pas eu Andrew, elle se serait levée et serait partie à la conquête d'un autre banc pour lire tranquillement. Mais la présence de son fils atténuait légèrement son sale caractère et sa parfois "associabilité".
Elle consentie donc à répondre à la question - un peu bizarre, ça se voyait quand même qu'elle était sa mère puisqu'elle ne possédait aucunement le profil asiatique au même titre que son fils! - du jeune homme qui continuait à lêcher sa glace, sous le regard réprobateur du petit blondinet à ses pieds.
"Je suis sa mère. Oui, espèce en voix de disparition. Il tient ses cheveux de ma grand mère (" )."
Elle posa son livre - certaine de ne pas pouvoir savoir avant un bon moment ce qu'il advenait de Sarah - et soupira. Puis finalement elle demanda, attrapant Andrew et le mettant sur ses genoux:
"Qu'est-ce que tu veux?"
Bon, elle venait de le tutoyer alors qu'il venait de la vouvoyer, mais elle n'y pouvait rien, pour elle n'y était encore qu'un gosse, et pas un gars de déjà seize ans. D'ailleurs ses seize ans à elle lui paraissait bien loin...
Andrew semblait poser la même question que sa mère, mais en beacoup moins amicalement. Il avait horreur qu'un inconnu parle ou s'approche de sa mère ou accapare seulement son attention.
Invité- Invité
Re: Qui dit Dimanche, dit congé! Euh... vraiment?
Yutada Idao Lun 20 Aoû 2007, 3:15 pm
Une fois sa tirade finie, Yutada fixa la jeune femme avec son air naturellement enfantin et en entendant les paroles de la jeune femme, à savoir que son regard sévère n'était pas une invitation, un sourire mesquin se dessina sur le visage d'ange du petit diablotin qu'était Yutada, ce dernier savait très bien que la jeune inconnue -qui est cependant bien plus veille que lui- n'avait en rien eu l'idée de l'attirer à elle avec un tel regard, mais que voulez-vous, l'esprit indiscipliné du collégien l'obliger à ne pas avoir peur des regards sévère où meurtrier. Voyant la jeune femme soupirée, Yutada ne pouvait qu'être content de ne pas être soudainement seul sur le banc, en effet, au vu de la phrase de la jeune femme, il semblait évident qu'elle pourrait changer de banc pour ne pas rester avec le collégien.
Baissant ses yeux aux teintes différentes, Yutada croisa alors le regard "terrifiant" du petit blondinet, à se demandait s'il n'était pas un garde du corps lilliputien, cependant, le regard du bambin ne motivait que plus le jeune timbré qu'était notre Yutada, bien entendu, étant immature, le jeune homme ne pût s'empêcher de tirer la langue pour narguer le jeune enfant, que voulez-vous, Yutada était du genre à faire une bombe humaine dans l'eau si jamais un gamin le provoquait en disant qu'il n'en était pas capable... Enfin, la demoiselle décida de répondre à l'énergumène à ses côtés, j'ai nommé Yutada ! Elle était donc sa mère et le mioche tenait sa teinte de cheveux d'une petite vioque, tout en léchant sa glace, le jeune homme ne pu que sourire, se disant que si elle acceptait de lui répondre, c'était en quelque sorte un point de gagner pour lui, bien qu'en fait, il n'avait, en tout cas pour le moment, aucune envie de séduire la jeune femme, il y a des jours où le collégien aimait séduire les filles, tout en restant dans un esprit gamin et immature et des jours où seul l'immaturité était présente.
La relativement mignonne inconnue demanda à notre Yu international ce qu'il lui voulait, mais oui, que pouvait bien vouloir la divine personne qu'était Yutada à une jeune mère ? Que pouvait bien faire un tel éclat d'immaturité et de joie de vivre face à une femme qui avait mis au monde un enfant ? Que pouvait bien prévoir notre dieu à tous, bibi la mouche, en faisant se rencontrer une mère et un ado complètement givré et aussi immature qu'un gamin de 7 ans ? Quel message voulait faire passer bibi la mouche en faisant cela ? Oui, c'était sûr, elle voulait qu'un homme et une femme se mêle l'un à l'autre, pour ne faire plus qu'un et donner naissance à un Yutada miniature ! Ha ? Que dîtes vous ? Je délire ? Bibi la mouche n'est pas notre dieu ? Hein ? M'emmener dans un hôpital ? Non, lâcher moi, j'ai un message à faire, la sainte justice est avec moi ! Lâcher moi, mécréant ! O___o [.....]
Je suis désolée pour ce court instant de folie et dorénavant, c'est moi, la créativité du rplayiste, qui vous écrit ces lignes... donc, que pouvez bien vouloir le jeune Yutada ? Et bien, c'était simple, contrairement à ce que la folie du rplayiste imagine, il n'y avait en rien un jugement divin et encore moins venant d'une mouche dans cette affaire ! Non, ce que voulez le jeune collégien, c'était passé le temps, en effet, il s'ennuyait et en voyant une jolie jeune femme et une petite frimousse, il se disait qu'il pourrait passer le temps en allant à leurs rencontre. Le jeune homme sourit doucement, la demoiselle venait de le tutoyer, ce qui était une bonne chose et en croisant le regard du bambin, failli bien éclaté de rire, comment un si petit gars pouvait-il lancer des regards aussi meurtrier ? Il était complètement gaga à sa mère ce petit !
Se décidant enfin à répondre, Yutada offrit un sourire chaleureux à la demoiselle et tendit sa glace au bambin, sachant bien que l'un des moyens de se mettre un enfant dans la poche, c'était de l'acheter.
" En fait, je m'ennuyais et je me suis dit que discuter avec une femme plus mature que moi ayant un enfant pourrait me distraire, en plus de cela, vous êtes plutôt trognonne, raison de plus pour venir vous voir madame ! En passant, je suis Yutada Idao, vous pouvez m'appeler "Dieu", où simplement Yu. Et vous, c'est quoi votre nom et celui de votre petit ?"
[ La folie: Je reviendrais ! Mouahahahaha ]
Baissant ses yeux aux teintes différentes, Yutada croisa alors le regard "terrifiant" du petit blondinet, à se demandait s'il n'était pas un garde du corps lilliputien, cependant, le regard du bambin ne motivait que plus le jeune timbré qu'était notre Yutada, bien entendu, étant immature, le jeune homme ne pût s'empêcher de tirer la langue pour narguer le jeune enfant, que voulez-vous, Yutada était du genre à faire une bombe humaine dans l'eau si jamais un gamin le provoquait en disant qu'il n'en était pas capable... Enfin, la demoiselle décida de répondre à l'énergumène à ses côtés, j'ai nommé Yutada ! Elle était donc sa mère et le mioche tenait sa teinte de cheveux d'une petite vioque, tout en léchant sa glace, le jeune homme ne pu que sourire, se disant que si elle acceptait de lui répondre, c'était en quelque sorte un point de gagner pour lui, bien qu'en fait, il n'avait, en tout cas pour le moment, aucune envie de séduire la jeune femme, il y a des jours où le collégien aimait séduire les filles, tout en restant dans un esprit gamin et immature et des jours où seul l'immaturité était présente.
La relativement mignonne inconnue demanda à notre Yu international ce qu'il lui voulait, mais oui, que pouvait bien vouloir la divine personne qu'était Yutada à une jeune mère ? Que pouvait bien faire un tel éclat d'immaturité et de joie de vivre face à une femme qui avait mis au monde un enfant ? Que pouvait bien prévoir notre dieu à tous, bibi la mouche, en faisant se rencontrer une mère et un ado complètement givré et aussi immature qu'un gamin de 7 ans ? Quel message voulait faire passer bibi la mouche en faisant cela ? Oui, c'était sûr, elle voulait qu'un homme et une femme se mêle l'un à l'autre, pour ne faire plus qu'un et donner naissance à un Yutada miniature ! Ha ? Que dîtes vous ? Je délire ? Bibi la mouche n'est pas notre dieu ? Hein ? M'emmener dans un hôpital ? Non, lâcher moi, j'ai un message à faire, la sainte justice est avec moi ! Lâcher moi, mécréant ! O___o [.....]
Je suis désolée pour ce court instant de folie et dorénavant, c'est moi, la créativité du rplayiste, qui vous écrit ces lignes... donc, que pouvez bien vouloir le jeune Yutada ? Et bien, c'était simple, contrairement à ce que la folie du rplayiste imagine, il n'y avait en rien un jugement divin et encore moins venant d'une mouche dans cette affaire ! Non, ce que voulez le jeune collégien, c'était passé le temps, en effet, il s'ennuyait et en voyant une jolie jeune femme et une petite frimousse, il se disait qu'il pourrait passer le temps en allant à leurs rencontre. Le jeune homme sourit doucement, la demoiselle venait de le tutoyer, ce qui était une bonne chose et en croisant le regard du bambin, failli bien éclaté de rire, comment un si petit gars pouvait-il lancer des regards aussi meurtrier ? Il était complètement gaga à sa mère ce petit !
Se décidant enfin à répondre, Yutada offrit un sourire chaleureux à la demoiselle et tendit sa glace au bambin, sachant bien que l'un des moyens de se mettre un enfant dans la poche, c'était de l'acheter.
" En fait, je m'ennuyais et je me suis dit que discuter avec une femme plus mature que moi ayant un enfant pourrait me distraire, en plus de cela, vous êtes plutôt trognonne, raison de plus pour venir vous voir madame ! En passant, je suis Yutada Idao, vous pouvez m'appeler "Dieu", où simplement Yu. Et vous, c'est quoi votre nom et celui de votre petit ?"
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Yutada Idao- Baka Ranger Force Gold !
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Étude|métier [rp] : Turbuchiant.
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Re: Qui dit Dimanche, dit congé! Euh... vraiment?
Invité Lun 20 Aoû 2007, 8:27 pm
[PTDR]
Le jeune homme avait de très jolis yeux vairons, vu de plus près. Cependant Callie ne se laissa pas prendre dans les filets de la contemplation, et reporta son attention sur Andrew. Celui ci semblait soudain bien vouloir rester tranquille, et paraissait très concerné par l'échange entre les deux jeunes gens. C'était pas tous les jours que Maman se laissait ainsi abordée par des inconnus! Normalement quand on lui parlait ainsi elle ne répondait rien et faisait mine de s'éloigner, quand la vue du petit ne refroidissait pas les ardeurs des hommes les plus courageux. Mais Maman avait dû consentir à laisser approcher l'autre énergumène car il semblait plus jeune que les autres concurants. Mais toujours trop vieux pour lui donner la carte de l'innocence.
Quant à Callie, en regardant le jeune homme, elle repensait à ses années de lycée. C'était en seconde année qu'elle avait rencontré Taiki, non? Il y a exactement 3 ans et demi, sur un banc un peu plus loin. A cette époque elle était en froid avec sa famille (remarque, elle l'était toujours finalement), était un-garçon-plus-manqué-tu-meurs et avait un sale caractère. Quoi que, elle avait toujours son sale caractère. Conclusion: finalement grâve à Taiki elle était devenue une femme. Aussi bien intérieurement qu'extérieurement =3
Hum, il fallait qu'elle arrête de penser au temps passé, ça ne pouvait que lui faire du mal.
Son attention se posa sur le jeune inconnu lorsqu'il lui répondit.
Callie leva les yeux au ciel d'un air amusé au "Madame". C'est pas parce qu'elle avait un bébé qu'elle était mariée, roooh x) Bon, d'accord, normalement la bonne logique et les bonnes moeurs voulaient qu'on soit marié avant d'avoir des enfants. Mais Callie Rose emmerdait bien profondément l'abruti qui avait fait écrit cette bêtise. Le mariage, c'était la prison assurée. Elle avait aimé profondément Taiki, mais se marier, très peu pour elle. Les contrats, être à quelqu'un, non. Elle ne s'était pas mariée et s'en portait tout aussi bien. En plus, le mariage, ça coûtait. Point final. Féministe jusqu'au bout \O/
Je, je, suis Libertineuuh, je, je, suis une catin...
Aaah nan, c'était pas ça XD Herm...
Callie consentit donc à répondre à Yutada, ou Yu, ou Dieu, qu'importe, amusée par sa réponse, un sourire se peignant enfin sur ses lèvres:
"Tout d'abord, c'est Mademoiselle. Ensuite, sur les papiers on me donne le nom de Callie Rose Ogawa O'Brian. Mais pour toi ce sera Callie, c'est mon jour de bonté. Ensuite, je te présente Andrew Yamashita Ogawa. Mais tu peux l'appeler Drew (" ) "
Le sois disant petit leva la tête vers sa mère, - regardant d'un air douteux depuis un moment la glace que lui avait donné l'inconnu, ne sachant s'il était vraiment bon de la manger - comme s'il venait de comprendre. Quoi? Un inconnu avait le droit de l'appeler Drew o____O? Haaan, attendez qu'il sache parler, lui, et ils allaient voir! C'est pas parce que les mioches s'entendaient pas avec leur cordes vocales qu'il fallait se permettre de parler à leur place!
Pour bien manifester son mécontentement, le jeune Andrew laissa échapper un "NAN MAM'!" sonnore. Il aimait bien l'association de ces deux mots et avait vite appris leur sens. Et dans un geste théatrale, il balança la pauvre glace par terre, histoire de bien faire comprendre à Yutada qu'il n'était pas le bien venu.
Callie baissa la tête vers son rebel de fils - lui faisant les gros yeux - puis reposa son regard sur Yu.
"Excuse moi, dieu, mais apparemment tu devras te contenter d'Andrew pour lui x) J'ai entendu parler de la famille Idao. Vous avez une sorte de villa à la sortie de la ville? Et, tu as quel âge? Désolée pour la glace, je t'en repayerais une ... "
Finalement, une fois passé la regard assassin que vous lançait Callie, tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes. Comme quoi, suffisait juste d'insister.
La jeune mère n'avait cependant pas dit son dernier mot pour l'accident de la glace. Drew ne s'en sortirait pas comme ça. Elle se leva, montra la glace qui gisait par terre laissée pour morte, s'agenouilla pour être à la même hauteur du gamin qui commençait à se dire que finalement il n'aurait pas dû balancer la glace, et s'écria d'une voix autoritaire et qui, sur un visage comme celui de Callie, faisait légèrement peur puisqu'on ne pouvait pas attendre une telle réaction de sa part:
"Andrew, passer tes colères sur une glace ne sert strictement à rien sauf à te prendre une bonne fessée. Tu te rappel ce que c'est qu'une VRAIE fessée? Tu veux retenter l'expérience ou bien tu me jures que tu vas te calmer?"
Le petit garçon qui deux minutes plus tôt avait fait les gros yeux à Yu se ratatina sur lui même. Apparemment il comprenait à peu près la situation. Il avait reconnu le mot fessé, retenter, jure. Assez pour capter qu'il avait intérêt à poser son petit doigt sur celui que lui tendait sa main, pour lui montrer sa bonne fois. Quand il faisait ça avec Maman, il semblait qu'il ne se recevait pas de fessé. Sauf s'il refaisait le couillon dans l'heure qui suivait, et là il préférait ne pas y penser. Les fessées de Maman, c'était son pire cauchemars. Quoi que son torchon pouvait bien rivaliser >.<!
Bref, il tendit son petit doigt et Callie l'attrapa avec le sien. Signe qu'il avait juré.
La jeune mère le couva encore de son regard réprobateur, puis se rassit sur le banc. Quant à Drew, il resta encore tout penaut, honteux d'avoir montré son point "faible" à l'autre inconnu =='...
Le jeune homme avait de très jolis yeux vairons, vu de plus près. Cependant Callie ne se laissa pas prendre dans les filets de la contemplation, et reporta son attention sur Andrew. Celui ci semblait soudain bien vouloir rester tranquille, et paraissait très concerné par l'échange entre les deux jeunes gens. C'était pas tous les jours que Maman se laissait ainsi abordée par des inconnus! Normalement quand on lui parlait ainsi elle ne répondait rien et faisait mine de s'éloigner, quand la vue du petit ne refroidissait pas les ardeurs des hommes les plus courageux. Mais Maman avait dû consentir à laisser approcher l'autre énergumène car il semblait plus jeune que les autres concurants. Mais toujours trop vieux pour lui donner la carte de l'innocence.
Quant à Callie, en regardant le jeune homme, elle repensait à ses années de lycée. C'était en seconde année qu'elle avait rencontré Taiki, non? Il y a exactement 3 ans et demi, sur un banc un peu plus loin. A cette époque elle était en froid avec sa famille (remarque, elle l'était toujours finalement), était un-garçon-plus-manqué-tu-meurs et avait un sale caractère. Quoi que, elle avait toujours son sale caractère. Conclusion: finalement grâve à Taiki elle était devenue une femme. Aussi bien intérieurement qu'extérieurement =3
Hum, il fallait qu'elle arrête de penser au temps passé, ça ne pouvait que lui faire du mal.
Son attention se posa sur le jeune inconnu lorsqu'il lui répondit.
Callie leva les yeux au ciel d'un air amusé au "Madame". C'est pas parce qu'elle avait un bébé qu'elle était mariée, roooh x) Bon, d'accord, normalement la bonne logique et les bonnes moeurs voulaient qu'on soit marié avant d'avoir des enfants. Mais Callie Rose emmerdait bien profondément l'abruti qui avait fait écrit cette bêtise. Le mariage, c'était la prison assurée. Elle avait aimé profondément Taiki, mais se marier, très peu pour elle. Les contrats, être à quelqu'un, non. Elle ne s'était pas mariée et s'en portait tout aussi bien. En plus, le mariage, ça coûtait. Point final. Féministe jusqu'au bout \O/
Je, je, suis Libertineuuh, je, je, suis une catin...
Aaah nan, c'était pas ça XD Herm...
Callie consentit donc à répondre à Yutada, ou Yu, ou Dieu, qu'importe, amusée par sa réponse, un sourire se peignant enfin sur ses lèvres:
"Tout d'abord, c'est Mademoiselle. Ensuite, sur les papiers on me donne le nom de Callie Rose Ogawa O'Brian. Mais pour toi ce sera Callie, c'est mon jour de bonté. Ensuite, je te présente Andrew Yamashita Ogawa. Mais tu peux l'appeler Drew (" ) "
Le sois disant petit leva la tête vers sa mère, - regardant d'un air douteux depuis un moment la glace que lui avait donné l'inconnu, ne sachant s'il était vraiment bon de la manger - comme s'il venait de comprendre. Quoi? Un inconnu avait le droit de l'appeler Drew o____O? Haaan, attendez qu'il sache parler, lui, et ils allaient voir! C'est pas parce que les mioches s'entendaient pas avec leur cordes vocales qu'il fallait se permettre de parler à leur place!
Pour bien manifester son mécontentement, le jeune Andrew laissa échapper un "NAN MAM'!" sonnore. Il aimait bien l'association de ces deux mots et avait vite appris leur sens. Et dans un geste théatrale, il balança la pauvre glace par terre, histoire de bien faire comprendre à Yutada qu'il n'était pas le bien venu.
Callie baissa la tête vers son rebel de fils - lui faisant les gros yeux - puis reposa son regard sur Yu.
"Excuse moi, dieu, mais apparemment tu devras te contenter d'Andrew pour lui x) J'ai entendu parler de la famille Idao. Vous avez une sorte de villa à la sortie de la ville? Et, tu as quel âge? Désolée pour la glace, je t'en repayerais une ... "
Finalement, une fois passé la regard assassin que vous lançait Callie, tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes. Comme quoi, suffisait juste d'insister.
La jeune mère n'avait cependant pas dit son dernier mot pour l'accident de la glace. Drew ne s'en sortirait pas comme ça. Elle se leva, montra la glace qui gisait par terre laissée pour morte, s'agenouilla pour être à la même hauteur du gamin qui commençait à se dire que finalement il n'aurait pas dû balancer la glace, et s'écria d'une voix autoritaire et qui, sur un visage comme celui de Callie, faisait légèrement peur puisqu'on ne pouvait pas attendre une telle réaction de sa part:
"Andrew, passer tes colères sur une glace ne sert strictement à rien sauf à te prendre une bonne fessée. Tu te rappel ce que c'est qu'une VRAIE fessée? Tu veux retenter l'expérience ou bien tu me jures que tu vas te calmer?"
Le petit garçon qui deux minutes plus tôt avait fait les gros yeux à Yu se ratatina sur lui même. Apparemment il comprenait à peu près la situation. Il avait reconnu le mot fessé, retenter, jure. Assez pour capter qu'il avait intérêt à poser son petit doigt sur celui que lui tendait sa main, pour lui montrer sa bonne fois. Quand il faisait ça avec Maman, il semblait qu'il ne se recevait pas de fessé. Sauf s'il refaisait le couillon dans l'heure qui suivait, et là il préférait ne pas y penser. Les fessées de Maman, c'était son pire cauchemars. Quoi que son torchon pouvait bien rivaliser >.<!
Bref, il tendit son petit doigt et Callie l'attrapa avec le sien. Signe qu'il avait juré.
La jeune mère le couva encore de son regard réprobateur, puis se rassit sur le banc. Quant à Drew, il resta encore tout penaut, honteux d'avoir montré son point "faible" à l'autre inconnu =='...
Invité- Invité
Re: Qui dit Dimanche, dit congé! Euh... vraiment?
Yutada Idao Mar 21 Aoû 2007, 12:18 pm
Yutada put apercevoir un instant la jeune mère contemplait ses yeux bleus et verts, ce qui ne le dérangea en rien, après tout, il était habitué à ce que son regard capte l'attention, mais le nainbot blond attira l'attention de sa mère, en devenant soudainement tranquille, où plutôt très concentré, une chose est sûre, Yutada n'aimerait pas avoir un enfant aussi possessif plus tard, déjà, vu son tempérament libre et insoumis être collé par un mioche ne lui plairait pas, ensuite si c'était la mère qui est collée, il enragerait de ne pas pouvoir faire quoi que ce soit avec sa femme à cause de sa progéniture. Rien que d'y penser, cela lui donna un frisson dans le dos, il souhaita alors par pensée d'avoir un enfant qui ne serait pas accroc à sa maman. À vrai dire la simple idée d'avoir un avorton faisait froid dans le dos de Yutada, car il était sûr qu'il ne pourrait pas s'en occuper comme il faut.
Quand le jeune collégien prononça "madame", la demoiselle leva les yeux au ciel, avec un petit sourire amusé, en y pensant, c'est vrai qu'elle n'était pas forcément mariée, mais Yutada avait pour habitude de dire madame aux femmes plus âgé que lui, même les jeunes de 18 ans - à savoir les amies de sa soeur- y avait droit, à vrai dire, personne ne savait s'il disait ça pour se moquer gentiment où s'il était sérieux. Soudain le jeune homme pensa au mariage et ses yeux roulèrent dans leurs orbites, la simple idée de se faire passer la bague au doigt signifiait pour lui la peine capital, franchement, quelle idée idiote, après quand le divorce vient, l'homme se fait mettre bien profond, car sa salope de femme lui pompe tout son fric, à défaut de pomper autre chose ! ( èé)
En fait, si Yutada devait jurer fidélité à quelque chose, cela ne pourrait être que la glace, ce doux délice fondant contre la langue avec un goût fin et sucré, rafraîchissant à la fois, il n'y avait que ça qui ressemblait au nirvana pour le jeune homme qui n'avait pour le moment pas fini de grandir et qui niveau maturité, n'avait pas très évolué... C'est un sourire aux lèvres que la jeune mère répondit à notre énergumène, le reprenant sur le madame, confirmant être une mademoiselle. Quant à son nom et celui de son -sale- mioche, elle n'hésita pas à le dévoiler. Callie Rose Ogawa O'Brian, hé béh, quel nom à rallonge, beaucoup trop chiant à retenir pour le jeune collégien à bonnet panda, encore heureux, il avait la permission de dire juste Callie, cette simple autorisation le soulagea, franchement, un nom aussi long, il y a de quoi s'endormir ( u.u)
Quant au nainbot blond, il se nommait Andrew Yamashita Ogawa, les yeux du jeune Yutada roulèrent de nouveau, c'était une passion les noms à rallonge chez cette femme ? Encore heureux, il pouvait utiliser un diminutif pour le bambin aussi, mais Drew ne sonnait vraiment pas bien aux oreilles de Yutada, non, "Mini garde" irait bien mieux à ce bébé, qui avait plus l'air d'un chien de garde pour le moment ( '--). Le blondinet leva ses yeux vers sa mère, comme s'il venait de comprendre quelque chose et dit alors un fort "nan mam !" qui devait signifier non maman. Et là, l'apocalypse heurta de plein fouet Yutada, ce sale petit con de Drew balança la divine glace par terre, ô infamie, cruel destin, ce mioche méritait la peine de mort! Le regard verrons de Yutada se fit ténébreux, quant à son sourire, il disparut laissant place à une bouche fermée.
Une seule chose passa dans l'esprit de Yutada à cet instant, buter ce petit enfoiré avec une batte de base-ball, avant de jeter son cadavre à bouffer à des dobermans... La mère interpella le jeune homme actuellement en plein esprit meurtrier par le mot "dieu", lui disant que ça serait juste Andrew pour le fiston, mais actuellement, Yutada n'avait que deux mots à l'esprit pour désigner ce mioche, à savoir, "petite enflure". Yutada fit à peine attention à la déduction de la jeune femme, qui avait semble-t il entendut parler des Idao, chose normal quand on a un père renommé dans le domaine de la musique classique... Soudain, le jeune homme se retrouva un peu apaisé, en effet, Callie lui proposait de lui racheter une glace, mais cependant, jamais ô grand jamais, il ne pardonnerait à Drew d'avoir lâchement assassiné cette innocente glace ( TT).
Sortant peu à peu de son état d'esprit meurtrier, le jeune homme fixa la jeune mère, qui montrait à son -salopard- de fils la glace gisant à terre -dont le goût était divin, au passage-, et soudainement, la belle demoiselle dit avec un visage quelque peu effrayant, que passer ses nerfs sur une glace ne servait à rien et lui demanda ensuite s'il se souvenait de ce qu'était une vraie fessée, à cette menace, le mioche se recroquevilla sur lui-même, le sale mioche tendu alors son index vers sa mère et celle-ci l'attrapa avec le sien, signe qu'il venait de jurer. Un sourire sadique se dessina sur les lèvres de Yutada, dorénavant, il connaissait la pire menace possible pour ce petit con, ayant cette information, Yutada se décida à sortir de son "mutisme".
" Bon.. Vu que je vais avoir une seconde glace, je vais me retenir de trucider ton fils... Quant à mon âge, j'ai 16 ans depuis moins d'un mois... et pour la villa, mon père en a effectivement une non loin de la ville. Bon... Je peux avoir ma glace ?" ( TT)
Quand le jeune collégien prononça "madame", la demoiselle leva les yeux au ciel, avec un petit sourire amusé, en y pensant, c'est vrai qu'elle n'était pas forcément mariée, mais Yutada avait pour habitude de dire madame aux femmes plus âgé que lui, même les jeunes de 18 ans - à savoir les amies de sa soeur- y avait droit, à vrai dire, personne ne savait s'il disait ça pour se moquer gentiment où s'il était sérieux. Soudain le jeune homme pensa au mariage et ses yeux roulèrent dans leurs orbites, la simple idée de se faire passer la bague au doigt signifiait pour lui la peine capital, franchement, quelle idée idiote, après quand le divorce vient, l'homme se fait mettre bien profond, car sa salope de femme lui pompe tout son fric, à défaut de pomper autre chose ! ( èé)
En fait, si Yutada devait jurer fidélité à quelque chose, cela ne pourrait être que la glace, ce doux délice fondant contre la langue avec un goût fin et sucré, rafraîchissant à la fois, il n'y avait que ça qui ressemblait au nirvana pour le jeune homme qui n'avait pour le moment pas fini de grandir et qui niveau maturité, n'avait pas très évolué... C'est un sourire aux lèvres que la jeune mère répondit à notre énergumène, le reprenant sur le madame, confirmant être une mademoiselle. Quant à son nom et celui de son -sale- mioche, elle n'hésita pas à le dévoiler. Callie Rose Ogawa O'Brian, hé béh, quel nom à rallonge, beaucoup trop chiant à retenir pour le jeune collégien à bonnet panda, encore heureux, il avait la permission de dire juste Callie, cette simple autorisation le soulagea, franchement, un nom aussi long, il y a de quoi s'endormir ( u.u)
Quant au nainbot blond, il se nommait Andrew Yamashita Ogawa, les yeux du jeune Yutada roulèrent de nouveau, c'était une passion les noms à rallonge chez cette femme ? Encore heureux, il pouvait utiliser un diminutif pour le bambin aussi, mais Drew ne sonnait vraiment pas bien aux oreilles de Yutada, non, "Mini garde" irait bien mieux à ce bébé, qui avait plus l'air d'un chien de garde pour le moment ( '--). Le blondinet leva ses yeux vers sa mère, comme s'il venait de comprendre quelque chose et dit alors un fort "nan mam !" qui devait signifier non maman. Et là, l'apocalypse heurta de plein fouet Yutada, ce sale petit con de Drew balança la divine glace par terre, ô infamie, cruel destin, ce mioche méritait la peine de mort! Le regard verrons de Yutada se fit ténébreux, quant à son sourire, il disparut laissant place à une bouche fermée.
Une seule chose passa dans l'esprit de Yutada à cet instant, buter ce petit enfoiré avec une batte de base-ball, avant de jeter son cadavre à bouffer à des dobermans... La mère interpella le jeune homme actuellement en plein esprit meurtrier par le mot "dieu", lui disant que ça serait juste Andrew pour le fiston, mais actuellement, Yutada n'avait que deux mots à l'esprit pour désigner ce mioche, à savoir, "petite enflure". Yutada fit à peine attention à la déduction de la jeune femme, qui avait semble-t il entendut parler des Idao, chose normal quand on a un père renommé dans le domaine de la musique classique... Soudain, le jeune homme se retrouva un peu apaisé, en effet, Callie lui proposait de lui racheter une glace, mais cependant, jamais ô grand jamais, il ne pardonnerait à Drew d'avoir lâchement assassiné cette innocente glace ( TT).
Sortant peu à peu de son état d'esprit meurtrier, le jeune homme fixa la jeune mère, qui montrait à son -salopard- de fils la glace gisant à terre -dont le goût était divin, au passage-, et soudainement, la belle demoiselle dit avec un visage quelque peu effrayant, que passer ses nerfs sur une glace ne servait à rien et lui demanda ensuite s'il se souvenait de ce qu'était une vraie fessée, à cette menace, le mioche se recroquevilla sur lui-même, le sale mioche tendu alors son index vers sa mère et celle-ci l'attrapa avec le sien, signe qu'il venait de jurer. Un sourire sadique se dessina sur les lèvres de Yutada, dorénavant, il connaissait la pire menace possible pour ce petit con, ayant cette information, Yutada se décida à sortir de son "mutisme".
" Bon.. Vu que je vais avoir une seconde glace, je vais me retenir de trucider ton fils... Quant à mon âge, j'ai 16 ans depuis moins d'un mois... et pour la villa, mon père en a effectivement une non loin de la ville. Bon... Je peux avoir ma glace ?" ( TT)
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Re: Qui dit Dimanche, dit congé! Euh... vraiment?
Invité Sam 01 Sep 2007, 7:17 pm
Callie hésitait entre prendre deux airs: l'un complètement désolée pour la glace de Yutada, l'autre écroulé de rire devant la tête que tirait l'adolescent. On aurait que seul la présence de la mère l'empêchait de commettre un meurtre. Apparemment, il tenait beaucoup aux glaces. Un point commun avec Andrew, c'était déjà ça XD. Si elle aimait les glaces? Oui, beaucoup. Surtout l'été evidemment, y'avait rien de meilleur lorsqu'il faisait chaud. Mais elle ne les aimait pas au point d'en manger dans la rue en plein hiver. Elle jeta un coup d'oeil autour d'elle, et repéra d'autres mères avec leurs enfants. Elle eut un sourire en constatant que la plupart des femmes paressait bien plus vieilles qu'elle. Hum, c'est vrai qu'en y réfléchissant bien, elle était une jeune, très jeune maman. Elle avait abandonnée ses études pour Andrew - de toute façon elle n'avait jamais aimé étudier u.u - et avait dûrement travaillé pour lui offrir une vie agréable. Au départ, pendant plusieurs semaines, elle ne s'était nourris que de pain perdu et de lait pour que son fils ait ce qu'il lui fallait. Aujourd'hui avec l'argent ça allait beaucoup mieux, mais Callie faisait encore énormément attention.
Sortant de ses pensées, elle se retourna vers Yutada, et, se relevant, s'exclama d'un petit air malicieux:
" 16 ans? Marrant, j'aurais dit beaucoup moins =3"
Puis elle se tourna vers Andrew et le hissa dans la poussette. Le bambin se releva dans la seconde, faisant bien comprendre qu'il préférait marcher. Callie leva les yeux au ciel devant tant de détermination enfantine, puis se retourna vers Yutada:
"Hey, Dieu! Lève toi, on va aller chercher ta glace!"
Et elle se mit en route, suivit de près par son fils. Tout en marchand, les deux garçons à ses côtés, elle expliqua:
"On va marcher un peu, je connais un très bon glacier. Si mes souvenirs sont bons, il n'est jamais très loin de la grande Fontaine..." [*Toussote*]
Elle connaissait le chemin par coeur. Le parc était immense, mais elle était tellement venue de fois ici, que la grandeur n'avait plus vraiment d'importance. Elle arrivait à se repérer aux croisements des chemins même si pour la plupart des gens ils étaient tous identiques. Elle connaissait les bonnes cachettes (dû aux longues parties de cache-cache avec Andrew), les bons coins d'ombres, les coins calmes, les bancs où il n'y avait jamais personne, et pour finir les bons glaciers!
Elle poussa un "ah!" d'exclamation en apercevant la fontaine. Kazumo et ses glaces délicieuses n'était plus très loin. Qu'allait-elle prendre? Car oui, elle avait bien l'intention de prendre une glace. Hum... une boule pistache et une boule noisette ^3^! Pour Drew ce serait évidemment la vanille (mais juste une boule, hein), et pour Yutada, il lui dirait lorsqu'ils y seraient.
En étant ainsi dans ses rêves, Callie ne pouvait s'attendre au drame qui allait se jouer, là, dans quelques secondes. Un drâme préorchestré par ces deux abominables narrateurs èé! Haaan, les traitres...
Alors qu'elle passait à quelques centimètres de la fontaine, un aboiement se fit entendre, et un gros truc noir - apparemment un gros labrador noir - lui passa tant bien que mal entre les jambes. Callie poussa un cri de surprise, chancela, et poussa un "merde u.u" en se rendant compte que c'était foutu: elle allait tomber!
Alors, dans un réfléxe particulièrement stupide, elle s'aggripa à tout ce qu'elle pouvait s'aggriper, c'est à dire Yutada [Dannns le cuuuul niark niark niark]. Sa main se posa sur son épaule dans la seconde qui suivit, mais la jeune femme se sentit tout de même glisser sur le mauvais côté, celui de la fontaine et de l'eau, donc. Génial, ils allaient tous les deux faire un coucou aux petits poissons rouges! Grrr, fichu idée que d'avoir mis une chemise blanche avec un débardeur rose! Elle aurait pas pu mettre un pull, nannn ._______.?
Le contacte de l'eau si rapidement lui paru glacial...
Sortant de ses pensées, elle se retourna vers Yutada, et, se relevant, s'exclama d'un petit air malicieux:
" 16 ans? Marrant, j'aurais dit beaucoup moins =3"
Puis elle se tourna vers Andrew et le hissa dans la poussette. Le bambin se releva dans la seconde, faisant bien comprendre qu'il préférait marcher. Callie leva les yeux au ciel devant tant de détermination enfantine, puis se retourna vers Yutada:
"Hey, Dieu! Lève toi, on va aller chercher ta glace!"
Et elle se mit en route, suivit de près par son fils. Tout en marchand, les deux garçons à ses côtés, elle expliqua:
"On va marcher un peu, je connais un très bon glacier. Si mes souvenirs sont bons, il n'est jamais très loin de la grande Fontaine..." [*Toussote*]
Elle connaissait le chemin par coeur. Le parc était immense, mais elle était tellement venue de fois ici, que la grandeur n'avait plus vraiment d'importance. Elle arrivait à se repérer aux croisements des chemins même si pour la plupart des gens ils étaient tous identiques. Elle connaissait les bonnes cachettes (dû aux longues parties de cache-cache avec Andrew), les bons coins d'ombres, les coins calmes, les bancs où il n'y avait jamais personne, et pour finir les bons glaciers!
Elle poussa un "ah!" d'exclamation en apercevant la fontaine. Kazumo et ses glaces délicieuses n'était plus très loin. Qu'allait-elle prendre? Car oui, elle avait bien l'intention de prendre une glace. Hum... une boule pistache et une boule noisette ^3^! Pour Drew ce serait évidemment la vanille (mais juste une boule, hein), et pour Yutada, il lui dirait lorsqu'ils y seraient.
En étant ainsi dans ses rêves, Callie ne pouvait s'attendre au drame qui allait se jouer, là, dans quelques secondes. Un drâme préorchestré par ces deux abominables narrateurs èé! Haaan, les traitres...
Alors qu'elle passait à quelques centimètres de la fontaine, un aboiement se fit entendre, et un gros truc noir - apparemment un gros labrador noir - lui passa tant bien que mal entre les jambes. Callie poussa un cri de surprise, chancela, et poussa un "merde u.u" en se rendant compte que c'était foutu: elle allait tomber!
Alors, dans un réfléxe particulièrement stupide, elle s'aggripa à tout ce qu'elle pouvait s'aggriper, c'est à dire Yutada [Dannns le cuuuul niark niark niark]. Sa main se posa sur son épaule dans la seconde qui suivit, mais la jeune femme se sentit tout de même glisser sur le mauvais côté, celui de la fontaine et de l'eau, donc. Génial, ils allaient tous les deux faire un coucou aux petits poissons rouges! Grrr, fichu idée que d'avoir mis une chemise blanche avec un débardeur rose! Elle aurait pas pu mettre un pull, nannn ._______.?
Le contacte de l'eau si rapidement lui paru glacial...
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