Maemi Sôma [ Le coq ]

Lorsque l'on voit Maemi de dos, il saute immédiatement aux yeux qu'elle n'est encore qu'une préadolescente. Ses long cheveux, qui se veulent raide et toujours un peu ébourrifé, lui donne toujours ce petit air coquin qu'on les petites filles. Son toupet, coupé très droit, ne fait qu'augmenter cette illusion, qui n'en ai pas tout à fait une en fait, d'un tempérament coquin et espiègle. Mais attention, si la jeune fille vous fait face, elle saura vous charmer avec son jolie minois et ses grand yeux foncé, qui savent se faire cajoleur, alors il est bien moins claire que la belle n'a que quatorze hiver. De fin sourcil, de long cil, une peau de pêche, elle a tout pour plaire il faut bien le dire. Mignonne et adorable, on en vient presque à oublier son jeune âge. Un nez légèrement trop large et avec un bout qui semble trop pointue, lui donne pourtant un certain charme, le tout terminé d'une petite bouche aux allure boudeuse et au teint rosée. Mais ce qui lui donne cette allure aussi jeune est fort probablement ses pommettes bien ronde, signe qu'elle n'a pas encore quitter le monde des tout petits.

Un cou fin et d'une couleur délicate, pratiquement toujours orné de collier coloré, descend sur de petites épaules qui promettent de prendre des allures plus féminine, plus gracieuse et moins fragile. Deux bras fin et imberbe, se glisse doucement jusqu'a ses deux petites mains aux ongles manicurer avec professionalisme. Son corps, aux allure encore gamine, recèle pourtant des trésors une fois totalement dénudé. Là où on attendait un buste apeine bomber, décoré de deux petit bouton de rose, se trouve une poitrine qui se fait déjà généreuse pour son âge. Un corps précoce pour une jeune fille tout aussi précoce, il en va de sois. Son ventre plat et vide de toute marque de musculature, est simplement décoré d'un petit nombril percé où un petit oiseaux turquoise pend joyeusement. Des hanches bien dessiné, semblent prêtes à se cambrer aux moindres de ses frissons, descendant alors vers ses cuisses ferme et encore si finne. Même ses fesses semblent avoir décider de faire de son corps une véritable oeuvre d'art, se faisant bien rondes et d'une douceur sans pareille.

Finalement, deux jambes élégantes, qui ne se voit jamais décoré de diachilon mais plutôt de fin talon haut, ne font que concrétiser cette allure de jeune femme qu'elle tente vainement de donner. Un galbe parfait, un teint de pêche et une douceur que seule les vrai filles savent obtenir, font de ses jambes, de vrai petit bijoux. Puis, deux petits pieds finalise le tout, manicurer avec autant de soin que ses deux finnes mains, ils sont en permanence peinturé de rose et jaune, décoré de petite fleur de marguerite à paillette. Un petit anneau d'argent décore justement le petit orteil de son pied droit alors que l'orteil voisin de son gros orteil gauche, lui se contente d'une simple petite bague bon marché qu'elle c'est offert lors d'un voyage en chine. Pour finir, Maemi est de ceux qu'on appelle "petite", du haut de son simple 5p3, mais vous serez impressionné par la présence que cette petite fille dégage, ça oui!

Légèrement vaniteux et fanfaron, mais tellement sympathique, le Coq aime bien régner sur sa cour, et une cour, il en aura toujours une! Peu diplomate, il est , en revanche, apprécié pour sa franchise et son franc-parler. Rêveur et fantaisiste, mais grand travailleur, il fascine son entourage par ses manières parfois excentriques. Si le Coq maîtrise sa tendance à parader, il deviendra riche et aimé de tous!

Adorable, espiègle, joyeuse, Maemi a le profil de la collègienne typiquement japonaise. Toujours à sautiller dans la rue et vêtue de couleur vive, voir flashie, elle a cette excentricité que l'on donne trop facilement à tous les asiatiques. Encore très immature, elle est facilement encline au bouderie, aux moues de dégoûts et aux larmes de crocodile. C'est encore une petite fille en fait, il faut bien l'avouer. Vaniteuse, superficiel et parfois très égoïste, ses défauts sont de la trempe du superficiel et saute rapidement eux yeux lorsqu'on lui cherche des défauts. Pas bien méchante, voir même trop gentille avec tout le monde, elle peut toutefois ce faire trop direct, voir même abrupte avec les autres au sujet de son opinion. Franche, candide mais pourtant séductrice, Maemi sais quand même ce faire une place auprès des autres. Habituellement très aimé, voir adoré, elle aime tirer partie de cette affection toute naturelle qu'on lui offre et aime bien, disons le, parader devant les autres. Son côté un peu farfelus, ne fait pourtant qu'augementer l'attention qu'on lui porte et si elle vous parait très étrange, il suffit de s'approcher d'elle pour trouver tout ses petits tics et ses rires forcés, fort adorable. La jeune fille est d'une compagnie plus que plaisante et saura toujours vous rendre le sourire.

Pourtant, si elle semble normale en tout point, si elle ressemble à l'image que les jeunes filles japonaises donnent en générale, un mal la ronge depuis l'intérieur. Totalement obsedé par toute personne du sexe opposé, vue son incapacité à les approcher tactilement, elle est devenue ce que certaine personne aime nommer des lolitas ou encore, de petite vicieuse. Pourtant maudite, elle ne peut se consacrer à ce genre de comportement plus loin que dans le jeux des regards et de l'aguichement. Recherchant pourtant la présence du sexe masculin à tout prix, elle tire partit de l'attention qu'il lui porte avec une grande fierté, aussi recherchera-t-elle la compagnie des autres maudits Sôma masculin, davantage que celle des membres féminins. Elle a aussi décidé dès l'âge de douze ans que le maudit par le tigre, Yuan, serait son fiancé, malgré son obstination à se dire homosexuel. Têtue et charmante, elle n'avouera jamais une défaite, tenez vous prêt à de longues heures de dialogues si vous comptez gagner!


Une naissance banale, voilà comment l'arrivé de Maemi Sôma se déroula sauf pour un petit détail. En fait, ce ne fut pas un enfant qui lâcha un premier cris mais bel et bien un petit oisillon. Étrange, n'est-ce pas? Pourtant, chez les Sôma, ce genre "d'incident", n'a jamais été rarissime. Ses parents, ayant jusqu'a ce jour vécue dans l'innocence de pareille malédiction, plongèrent tête première dedans. En effet, leur fille était l'une de ses quatorze élus, qui portait le fardeau de la famille, qui serait à jamais maudit et forcer d'éviter une vie normale, sous peine de se retrouver comme une bête étrange auprès des autres. Ce fut une nouvelle bien triste pour ses deux parents si enjouées, souhaitant le meilleur pour le seul enfant qui leur restait. Car en fait, Maemi aurait du être leur fille cadette, la petite soeur d'un fils disparue trop tôt, a apeine quelques mois d'existence, quelques années avant la venue au monde de cette maudite. Pourtant, si l'avenir de la petite n'était pas éclatant de bonheur et de possibilité, le couple décida de ne pas se relâcher et de tout faire pour lui offrir le meilleur de ce monde étrange.

Ses premières années furent riche en émotion car maudite par le coq, la petite Maemi avait bien du caractère. Coquette, séductrice et vaniteuse, elle ne tenait jamais en place lorsqu'il s'agissait de socialiser. Adorer de tous, vue comme une adorable petite fille, il fut pourtant rapidement claire qu'elle porterait à jamais une grande importance au superficiel. Franche, elle fut toujours apprécier de tous, parfois trop directe et manquant de délicatesse, on lui pardonna toutefois chacune de ses écartades de son rôle d'amie parfaite. Et puis, elle était si charmante, comment lui résister? M'enfin, adorable enfant, calme et vive d'esprit, elle ne déçue jamais ses parents. Rêveuse lorsqu'elle se retrouvait en solitaire, elle rêvait de s'envoler loin du domaine et de vivre alors une vie normale, d'embrasser un garçon et de pouvoir faire de gros câlin à son père. Et cette idée de touché les personnes du sexe opposé devint une vrai obsession pour elle, une vrai maladie pour cette fillette qui semblait se faire de plus en plus femme. Ses parents fermèrent les yeux sur ce problème psychologique, n'y voyant là qu'un cris à l'aide vis à vis son statut de maudite, où ils leur étaient impossible de faire quoi que ce sois.

Mais cette obsession ne la quitta jamais et elle devint, en dehors du regard protecteur et compréhensible de ses parents, une jeune lolita. Dès qu'elle eut douze ans, cette envie de touché le sexe opposé devint presque une nécessité et je ne vous parlerais pas du nombre de fois où les anciens eurent à effacer des mémoires. Tellement de fois que la jeune fille fut finalement punis par ses si gentils parents, enfermé à double tour à tous les soirs durant presque un mois. Et puis comment accepter le fait que sa fille sois obsèder par une vie sexuelle qu'elle ne connaitrait jamais, alors qu'elle vient tout juste d'apprendre qu'elle n'est pas comme les garçons. Son père accepta difficilement ce problème et s'éloigna de la jeune fille, ne faisant que renforcer ce mal qui la rongeait de l'intérieur. Puis vint Yuan, maudit par le tigre et plus âgé qu'elle de quatre année, que sa famille décida d'héberger. Mauvais garçon, alignant les problèmes à une vitesse phénoménale, ses parents ne purent toute fois lui en vouloir, comprenant sa frustration de maudit. Ce geste eu pour effet de calmer la jeune fille vis à vis de son obsession, capable de toucher Yuan, elle en devint follement amoureuse et depuis, semble prendre plaisir à toujours s'accrocher à ses baskets. Elle à même décider qu'ils se mariraient ensemble plus tard et s'amuse à le rejoindre dans son lit en plein milieu de la nuit. Mais pourquoi ses parents, si droit, si gentil, acceptent ce comportement me direz-vous. Tout simplement parce que la jeune fille est non seulement trop jeune pour Yuan mais aussi parce qu'ils connaissent la vrai orientation sexuel du jeune homme, qui se dirige vers ses semblables.




Collègienne à temps plein! Et futur épouse de Yuan, qu'elle adore chouchouter et visiter en petite tenue. ^^


Dans une demeure luxueuse du domaine Sôma, tout près de Sachiko. Elle y vit avec ses parents et son cher Yuan, le maître de son coeur de jeune fille pure. ( mouais c'est ça... T_T )