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La belle au bois dormant s'endort, qui la réveillera ?
Invité Sam 29 Sep 2007, 3:32 pm
Bonjour cher membre, déjà, qualifions le mot ennuie et le mot tranquillité... Comment ça on s' en fou ??? mais c' est important pour bien décrire les sentiments de yumi !! Comment ça que ça sert à rien de faire mon petit speech ?? Bon d' accord j' avoue que c' est n’importe quoi et que je devrais vite revenir à un post normal ... Comment ça je pourrai faire comme tout le monde ?? Je suis original c' est tout !! J' ai pas le droit ??? C' est bon, pas la peine d' être méchant j' ai compris je vais faire un post normal. Si on a pas le droit d’imaginer, où va le monde … [ se pose la question] Bah, j’en sais rien d’où va le monde moi et Yumi non plus, rappelez-vous, Yumi a de grande difficulté à se propulser dans l’avenir. Bon alors cher petit membre, ne prenez pas en compte ce que je viens de dire plus haut et commençons un post normal, ou plutôt presque normal...
[HJ: Désolé pour le délire XD]
Yumi était arrivé il y a quelques temps au parc, bon pas quelques temps, une heure environ. Pourquoi cela ? A cause d' une raison simple: elle ne savait que faire. le temps était si beau qu' elle avait décidé d' aller au parc. c' est vrai qu' il faisait vraiment beau, le ciel était bleu et sans aucun nuage et le soleil même caché par de grands nuages, brillait. Il ne faisait pas très chaud mais c’était très raisonnable. On annonçait un temps des plus froids mais la chaleur était de mise, sacré météo ! Une chaleur satisfaisante bercé par une douce brise. Cette petite brise passait sous le nez de Yumi puis s’en retournait au lointain, elle repassait puis repartait. Comme le petit train qui passe et repasse inlassablement devant une jeune fille qui n’a rien d’autre à faire.
Yumi aimait particulièrement ce temps, chaud et rafraîchissant . Un temps doux qui apaisait n’importe quelle paysage, un temps doux qui ne donnait pas envie de se jeter par la fenêtre.
Pourquoi ? Réfléchissez, lorsqu’il fait une chaleur torride, on étouffe, on suffoque on se sent mal et personne n’aime cela. Lors d’un hiver quasi polaire, on a tellement froid que tous nos membres restent engourdis, on n’a rien envie de faire à part de boire un bon chocolat et d’aller dans un pays tropicale. Mais ce temps là était parfait, ni trop chaud ni trop froid, juste un temps tempéré.
Bon après ce petit discours sur le temps passons à l’essentiel !! Mais où est l’essentiel ???Ah voilà !! Je l'ai trouvé ! L' essentiel de ce texte est en faite Yumi ansel, une fille à l’allure candide, au caractère fort sympathique mais dont personne ne sait vraiment ce qu’elle pense.
Pouvant parfois être d’une tristesse touchante et d’une mélancolie comme personne ne connaît.Aujourd’hui pourtant, elle se sentait bien. Peut-être parce qu’elle n’avait fait aucune crise d’hyperventilation de puis tôt le matin [ Voir Fichounette !!] ou même parce qu’elle s’était levée du bon pied. Il arrive parfois d’être mélancolique pour pas grand chose et joyeuse pour tout et n’importe quoi. Yumi se sentait bien et c’était la seule chose qui comptait.Enfin plutôt, elle ne savait pas vraiment ce qu' elle ressentait exactement. Elle hésité entre deux sentiments: la tranquillité ou l' ennuie . Elle était allongé au ras du sol, sur l' herbe verte du parc. Les jambes parallèles, un bras sous sa tête et l' autre en perpendiculaire par rapport à son épaule . OOOOOOOOOOUUUHHH, que de la géométrie cette positions, moi qui déteste la géométrie !! Bon d' accord j' arrête de vous gonflez avec mes histoire ennuyante ! Si vous préférez, Yumi était assise les jambes repliés, un bras sur ses genoux, sa tête sur ce bras et l’autre bras pendant mollement sur le sol.
Yumi regarda le parc. Personne à l’horizon, il faut dire qu’à quatre heures de l’après midi, tous les enfants étaient rentrés faire la sieste et les autres avaient eu envie de désherter.
Il n’y avait donc vraiment personne, juste les oiseaux, des arbres, des bancs et un gros chat essayant d’attraper un pauvre petit moineau. La demoiselle avait bien envie de faire fuir le gros matou pour que le petit moineau soit tranquille mais elle ne sentait pas de force pour se soulever. Elle essaya de se lever, elle se souleva de trois centimètres ( j' ai pas compté mais je peux le dire de vue !!XD) du sol puis retomba comme un sac à patate. Elle soupira et dit bassement sur un ton moins énergétique qu’un somnifère:
" C' est pas possible, j' ai l' impression d' être un truc tout mou qui peut pas se lever ... une grosse boule de chewing-gum collé au bitume …"
Quel étrange comparaison !! La belle jeune fille avait de drôle d' expression !! Enfin, c' était exactement ce qu' elle ressentait ... Elle se sentait sans force, comme aspiré par le sol. Mais elle se sentait affreusement bien et tranquille. Elle écoutait le chant de beaux oiseaux sans aucun cris d’enfants pour l’ennuyer .Mais je ne dis surtout pas qu’elle ne s’ennuyer pas, non, yumi n' est pas faite pour ne rien faire pendant tout une heure. Elle voulait se lever, courir et rencontrer des gens mais tous ses membres étaient comme endormies. Elle se sentait un peu empoisonnée par la tranquillité qui l’empêchait de se lever . Elle aimait ça être tranquille mais pas trop longtemps sinon elle finit vite par s’ ennuyer. Mais on ne peut pas dire qu’ elle soit du genre hyperactive, elle est rêveuse et dans la lune. Mais plus elle est tranquille, plus elle le pense et plus ça bouche ses pensées.
yumi leva un de ses bras vers le ciel, elle marmonna un truc inodible du genre de « Je m’ ennuie » puis son bras retomba encore comme un sac à patate. Elle pensa alors à une patate et son ventre gargouilla. A midi, elle n’ avait mangé que des nouilles carbonisé et de la viande s’ y dure que son couteau s’ était fendu ( j’ exagère là !!). Elle était arrivé dernière à la cafétéria et n’ avait eu que le reste. La Kawaï-demoiselle passa une main sur sa belle robe rouge bordeaux puis elle ferma les yeux. Elle attendit et attendit si bien qu’ elle finit par s’ endormir …
Le rêve de Yumi
Yumi rêvait. Les rêves elle aimait beaucoup ça mais pas les mauvais rêves. Ou cauchemar si vous préférez, ce qu’était justement entrain de faire Yumi, un cauchemar ...
Elle se voyait dans la peau de l’enfant qu’elle avait été, il y a environ une dizaine d’année. Il y avait cette femme aussi, cette femme qui se disait sa mère … Elle était dans une des résidences Ansel, les gens venaient la voir et demandait tous e cœur : « Elle est maudite ? Elle est maudite ? La pauvre enfant . La pauvre enfant… » et cette femme qui se prétendait être une bonne mère, Lin Ansel, disait souriante : « Oui elle est maudite… Oui elle est maudite… Mais c’est mon enfant et je l’aime…Mais c’est mon enfant et je l’aime… ». Et là, Yumi criait que ce n’était que des mensonges, qu’elle n’était pas maudite, que sa mère mentait pour l’argent mais surtout, elle criait que sa mère ne l’aimait pas et que jamais elle ne l’avait aimé. Mais aucun de ces mots ne sortaient, elle ouvrait la bouche sans aucun son ne sorte. Les mots étaient étouffés et sourd. Yumi était soumise à une loi de silence. Plus elle criait, plus ça lui faisait mal. Une douleur dans la poitrine et une respiration haché, comme de l’hyperventilation. Peu à peu, tous devenait noire, le silence s’installa quelques secondes puis des rires s’entendirent. Ou plutôt des brimades, toute ces voix se moquaient de Yumi. La demoiselle tordu de douleur criait des mots silencieux, quand tout d’un coup une main s’approcha d’elle l’air de vouloir l’enlever de tous …
Le réveille de Yumi
Quelqu’un venait de réveiller yumi en la secouant. Sûrement une personne inquiète par cette jeune fille allongée dans l’herbe qui avait tout l’air d’être inconsciente même si elle était simplement endormie ou peut-être quelqu’un remarquant le sommeil agité, trop agité de la belle demoiselle. Il est vrai que pendant son sommeil, elle n’avait de cesse arrêter de bouger. Mais à cause de son réveil, la candide demoiselle ne connaissait pas la fin de son rêve. Cette main était-elle là pour la secourir ou bien pour l’enfoncer encore plus ? La jeune fille décida de ne plus y penser, à quoi bon se faire du mal ? Elle qui se sentait bien avant de s’être endormie.
Yumi ouvrit péniblement les yeux et regarda la personne qui avait sortit la belle au bois dormant de son sommeil.
[HJ: Désolé pour le délire XD]
Yumi était arrivé il y a quelques temps au parc, bon pas quelques temps, une heure environ. Pourquoi cela ? A cause d' une raison simple: elle ne savait que faire. le temps était si beau qu' elle avait décidé d' aller au parc. c' est vrai qu' il faisait vraiment beau, le ciel était bleu et sans aucun nuage et le soleil même caché par de grands nuages, brillait. Il ne faisait pas très chaud mais c’était très raisonnable. On annonçait un temps des plus froids mais la chaleur était de mise, sacré météo ! Une chaleur satisfaisante bercé par une douce brise. Cette petite brise passait sous le nez de Yumi puis s’en retournait au lointain, elle repassait puis repartait. Comme le petit train qui passe et repasse inlassablement devant une jeune fille qui n’a rien d’autre à faire.
Yumi aimait particulièrement ce temps, chaud et rafraîchissant . Un temps doux qui apaisait n’importe quelle paysage, un temps doux qui ne donnait pas envie de se jeter par la fenêtre.
Pourquoi ? Réfléchissez, lorsqu’il fait une chaleur torride, on étouffe, on suffoque on se sent mal et personne n’aime cela. Lors d’un hiver quasi polaire, on a tellement froid que tous nos membres restent engourdis, on n’a rien envie de faire à part de boire un bon chocolat et d’aller dans un pays tropicale. Mais ce temps là était parfait, ni trop chaud ni trop froid, juste un temps tempéré.
Bon après ce petit discours sur le temps passons à l’essentiel !! Mais où est l’essentiel ???Ah voilà !! Je l'ai trouvé ! L' essentiel de ce texte est en faite Yumi ansel, une fille à l’allure candide, au caractère fort sympathique mais dont personne ne sait vraiment ce qu’elle pense.
Pouvant parfois être d’une tristesse touchante et d’une mélancolie comme personne ne connaît.Aujourd’hui pourtant, elle se sentait bien. Peut-être parce qu’elle n’avait fait aucune crise d’hyperventilation de puis tôt le matin [ Voir Fichounette !!] ou même parce qu’elle s’était levée du bon pied. Il arrive parfois d’être mélancolique pour pas grand chose et joyeuse pour tout et n’importe quoi. Yumi se sentait bien et c’était la seule chose qui comptait.Enfin plutôt, elle ne savait pas vraiment ce qu' elle ressentait exactement. Elle hésité entre deux sentiments: la tranquillité ou l' ennuie . Elle était allongé au ras du sol, sur l' herbe verte du parc. Les jambes parallèles, un bras sous sa tête et l' autre en perpendiculaire par rapport à son épaule . OOOOOOOOOOUUUHHH, que de la géométrie cette positions, moi qui déteste la géométrie !! Bon d' accord j' arrête de vous gonflez avec mes histoire ennuyante ! Si vous préférez, Yumi était assise les jambes repliés, un bras sur ses genoux, sa tête sur ce bras et l’autre bras pendant mollement sur le sol.
Yumi regarda le parc. Personne à l’horizon, il faut dire qu’à quatre heures de l’après midi, tous les enfants étaient rentrés faire la sieste et les autres avaient eu envie de désherter.
Il n’y avait donc vraiment personne, juste les oiseaux, des arbres, des bancs et un gros chat essayant d’attraper un pauvre petit moineau. La demoiselle avait bien envie de faire fuir le gros matou pour que le petit moineau soit tranquille mais elle ne sentait pas de force pour se soulever. Elle essaya de se lever, elle se souleva de trois centimètres ( j' ai pas compté mais je peux le dire de vue !!XD) du sol puis retomba comme un sac à patate. Elle soupira et dit bassement sur un ton moins énergétique qu’un somnifère:
" C' est pas possible, j' ai l' impression d' être un truc tout mou qui peut pas se lever ... une grosse boule de chewing-gum collé au bitume …"
Quel étrange comparaison !! La belle jeune fille avait de drôle d' expression !! Enfin, c' était exactement ce qu' elle ressentait ... Elle se sentait sans force, comme aspiré par le sol. Mais elle se sentait affreusement bien et tranquille. Elle écoutait le chant de beaux oiseaux sans aucun cris d’enfants pour l’ennuyer .Mais je ne dis surtout pas qu’elle ne s’ennuyer pas, non, yumi n' est pas faite pour ne rien faire pendant tout une heure. Elle voulait se lever, courir et rencontrer des gens mais tous ses membres étaient comme endormies. Elle se sentait un peu empoisonnée par la tranquillité qui l’empêchait de se lever . Elle aimait ça être tranquille mais pas trop longtemps sinon elle finit vite par s’ ennuyer. Mais on ne peut pas dire qu’ elle soit du genre hyperactive, elle est rêveuse et dans la lune. Mais plus elle est tranquille, plus elle le pense et plus ça bouche ses pensées.
yumi leva un de ses bras vers le ciel, elle marmonna un truc inodible du genre de « Je m’ ennuie » puis son bras retomba encore comme un sac à patate. Elle pensa alors à une patate et son ventre gargouilla. A midi, elle n’ avait mangé que des nouilles carbonisé et de la viande s’ y dure que son couteau s’ était fendu ( j’ exagère là !!). Elle était arrivé dernière à la cafétéria et n’ avait eu que le reste. La Kawaï-demoiselle passa une main sur sa belle robe rouge bordeaux puis elle ferma les yeux. Elle attendit et attendit si bien qu’ elle finit par s’ endormir …
Le rêve de Yumi
Yumi rêvait. Les rêves elle aimait beaucoup ça mais pas les mauvais rêves. Ou cauchemar si vous préférez, ce qu’était justement entrain de faire Yumi, un cauchemar ...
Elle se voyait dans la peau de l’enfant qu’elle avait été, il y a environ une dizaine d’année. Il y avait cette femme aussi, cette femme qui se disait sa mère … Elle était dans une des résidences Ansel, les gens venaient la voir et demandait tous e cœur : « Elle est maudite ? Elle est maudite ? La pauvre enfant . La pauvre enfant… » et cette femme qui se prétendait être une bonne mère, Lin Ansel, disait souriante : « Oui elle est maudite… Oui elle est maudite… Mais c’est mon enfant et je l’aime…Mais c’est mon enfant et je l’aime… ». Et là, Yumi criait que ce n’était que des mensonges, qu’elle n’était pas maudite, que sa mère mentait pour l’argent mais surtout, elle criait que sa mère ne l’aimait pas et que jamais elle ne l’avait aimé. Mais aucun de ces mots ne sortaient, elle ouvrait la bouche sans aucun son ne sorte. Les mots étaient étouffés et sourd. Yumi était soumise à une loi de silence. Plus elle criait, plus ça lui faisait mal. Une douleur dans la poitrine et une respiration haché, comme de l’hyperventilation. Peu à peu, tous devenait noire, le silence s’installa quelques secondes puis des rires s’entendirent. Ou plutôt des brimades, toute ces voix se moquaient de Yumi. La demoiselle tordu de douleur criait des mots silencieux, quand tout d’un coup une main s’approcha d’elle l’air de vouloir l’enlever de tous …
Le réveille de Yumi
Quelqu’un venait de réveiller yumi en la secouant. Sûrement une personne inquiète par cette jeune fille allongée dans l’herbe qui avait tout l’air d’être inconsciente même si elle était simplement endormie ou peut-être quelqu’un remarquant le sommeil agité, trop agité de la belle demoiselle. Il est vrai que pendant son sommeil, elle n’avait de cesse arrêter de bouger. Mais à cause de son réveil, la candide demoiselle ne connaissait pas la fin de son rêve. Cette main était-elle là pour la secourir ou bien pour l’enfoncer encore plus ? La jeune fille décida de ne plus y penser, à quoi bon se faire du mal ? Elle qui se sentait bien avant de s’être endormie.
Yumi ouvrit péniblement les yeux et regarda la personne qui avait sortit la belle au bois dormant de son sommeil.
Invité- Invité
Re: La belle au bois dormant s'endort, qui la réveillera ?
Invité Mar 06 Nov 2007, 6:39 pm
(Oh le délire ^^Je vais essayé de mettre en valeur ton post, j'ai un niveau de ligne infériur au tient lorsque je ne suis pas en "crise d'immagination")
L'automne ce faisait déja sentir, les arbres étant encore pourvus de feuilles montraient les diverses nuances de rouges. Allant du jaune claire au marron foncé. Une légère brise fit s'envolait les quelques feuilles ne s'étant pas arraché de leurs branches, elle retombèrent en un tourbillon calme sur une jeune fille en fauteuil roulant. L'infirme regarda avec émerveillement ses feuilles brulé par le soleil volait autour d'elle. Le vent sentait déja la neige, en regardant cette scène la française se dit : Je me croirais presque en France mais je pense que ce paysage est partout pareil dans le monde... L'enfant lacha un soupir et regarda le ciel bleu et sans nuage, bien qu'il soit découvert il faisait froid. Le soleil était la aussi brillant que d'habitude mais le froid s'installait déja en prévision de l'hiver. Ses longs cheveux blonds tirant vers le blanc s'envolait et suivait les feuilles mortes autant qu'ils le pouvaient. Ses grands yeux marrons faisaient sentir une grande mélancolie et a la fois un émmerveillement. Sur quoi ? Et bien sur tous car rien ne la laissait de marbre. La jeune Iteza a un comportement très étrange, on pourait la qualifié de lunatique mais ce serait ce fourvoyer. En réalité, Eza caché sos son carcatère joyeux et naïf une grande tristesse et une maturité précoce. Coiffée comme a son habitude par son bonnet aux oreilles de chat violet, elle avancé dans le parc. Un peu plus tôt elle avait vu passé des enfants en courant, cette vision lui avait fait mal au coeur parceque malgré ce qu'elle vous dira elle aimerait marché et courir comme eux. Elle peut marché mais que en fin de soirée et ce pendant une heure et après elle devient un âne blanc et pure mais qui reste enfermé pour ne pas afolée les gens. Pourquoi la diversité est elle marqué par la peur ?! Pourquoi son jeune frère n'était il pas touché lui par cette malédiction qui la contraint a resté assise et qui la coupe des autres personnes ? Pourquoi seulement elle. Une larme roula doucement sur sa joue et elle sanglota seule, personne ne pouvait l'entendre car il n'y avait pas un seul humain. Elle s'était préparé u petit cascroute mais elle n'avait pas faime ette enleva des miettes du pain et les jeta au pigeons pour se changé les idées mais qu'ils puissent volait aussi insouciament alors qu'elle ne pouvait même pas marché sans rien l'énerva encore plus. Elle rangea son cascroute dans la poche centrale de son sweet-shirt large et de couleur indigo avec marqué dessus "Pourquoi pas !?" et une petite filles griffoné avec l'air boudeuse, tout ca en rose comme les bordures de son bonnet. elle agripa le tissus de son pantalon baggy et serra de toute ses forces. A quoi bon, a quoi bon vivre comme ca ?Elle enviait les "Soma" de pouvoir brisé la maldiction car Iteza souhaitait etre comme les autres, pouvoir sauté, courir, bondir même marché pendant des heures mais peut etre que cela n'arrivera jamais. Une quinte de toux naquit dans sa gorge et coupa court a ses mornes pensés. Elle toussa et cracha un peu de sang. Sa pneumonie étant gueri de fraîche date il ui restait des séquelles temporaire, du moins d'après le médecin.... Elle essuya les sang dans sa main sur un mouchoir puis continua inlassablement a roulé grace a ses bras. Elle passa devant une bande d'ados de son age qui ne la regardèrent meme pas. Il était 16 heures, elle devait rentré ou plutot elle voulait rentré car elle s'ennuyait et remuait de sombres pensés ainsi seule dans le parc. Elle prit le chemin du retour et entendit des petit gémissement et des mots tel que : "Maudite", "Mère" et "Aime pas".
Iteza regarda en la direction de ces cris et vit une fille endromie par terre se débatant avec son cauchemard. Eza resta pantois devant la jeune demoiselle, la réveillait ou la laissé comme ca ? Le jeune infirme choisis la premières soulution et passa le surplond pour allé dans l'herbe. Elle s'accroupis dans l'herbe auprès de l'endormie et la secoua légerement par l'épaule, elle ouvrit un oeil ensommeilé et regarda la maudite étrangement. On pouvait lire de la peur et de la colère ainsi qu'un soupçons de tristesse dans ce regard. Notre jeune amie fut bouleversé et s'appuya sur ses mains pour se remettre dans son fauteuil en bredouillant.
"B...bonsoir, je suis désolé mais vous sembliez si agité dans votre someil j'ai pensé qu'il était préférable de vous réveillez... Désolé !"
Iteza avait réussi a dire la plupart des mot en japonais bien que certains fussent proche du français ou de l'anglais et elle dit tous ça avec une prononciation très "à la française." Tout japonais lui aurait rit au nez devant sa mauvaise articulation et son accent a deux sous !
L'automne ce faisait déja sentir, les arbres étant encore pourvus de feuilles montraient les diverses nuances de rouges. Allant du jaune claire au marron foncé. Une légère brise fit s'envolait les quelques feuilles ne s'étant pas arraché de leurs branches, elle retombèrent en un tourbillon calme sur une jeune fille en fauteuil roulant. L'infirme regarda avec émerveillement ses feuilles brulé par le soleil volait autour d'elle. Le vent sentait déja la neige, en regardant cette scène la française se dit : Je me croirais presque en France mais je pense que ce paysage est partout pareil dans le monde... L'enfant lacha un soupir et regarda le ciel bleu et sans nuage, bien qu'il soit découvert il faisait froid. Le soleil était la aussi brillant que d'habitude mais le froid s'installait déja en prévision de l'hiver. Ses longs cheveux blonds tirant vers le blanc s'envolait et suivait les feuilles mortes autant qu'ils le pouvaient. Ses grands yeux marrons faisaient sentir une grande mélancolie et a la fois un émmerveillement. Sur quoi ? Et bien sur tous car rien ne la laissait de marbre. La jeune Iteza a un comportement très étrange, on pourait la qualifié de lunatique mais ce serait ce fourvoyer. En réalité, Eza caché sos son carcatère joyeux et naïf une grande tristesse et une maturité précoce. Coiffée comme a son habitude par son bonnet aux oreilles de chat violet, elle avancé dans le parc. Un peu plus tôt elle avait vu passé des enfants en courant, cette vision lui avait fait mal au coeur parceque malgré ce qu'elle vous dira elle aimerait marché et courir comme eux. Elle peut marché mais que en fin de soirée et ce pendant une heure et après elle devient un âne blanc et pure mais qui reste enfermé pour ne pas afolée les gens. Pourquoi la diversité est elle marqué par la peur ?! Pourquoi son jeune frère n'était il pas touché lui par cette malédiction qui la contraint a resté assise et qui la coupe des autres personnes ? Pourquoi seulement elle. Une larme roula doucement sur sa joue et elle sanglota seule, personne ne pouvait l'entendre car il n'y avait pas un seul humain. Elle s'était préparé u petit cascroute mais elle n'avait pas faime ette enleva des miettes du pain et les jeta au pigeons pour se changé les idées mais qu'ils puissent volait aussi insouciament alors qu'elle ne pouvait même pas marché sans rien l'énerva encore plus. Elle rangea son cascroute dans la poche centrale de son sweet-shirt large et de couleur indigo avec marqué dessus "Pourquoi pas !?" et une petite filles griffoné avec l'air boudeuse, tout ca en rose comme les bordures de son bonnet. elle agripa le tissus de son pantalon baggy et serra de toute ses forces. A quoi bon, a quoi bon vivre comme ca ?Elle enviait les "Soma" de pouvoir brisé la maldiction car Iteza souhaitait etre comme les autres, pouvoir sauté, courir, bondir même marché pendant des heures mais peut etre que cela n'arrivera jamais. Une quinte de toux naquit dans sa gorge et coupa court a ses mornes pensés. Elle toussa et cracha un peu de sang. Sa pneumonie étant gueri de fraîche date il ui restait des séquelles temporaire, du moins d'après le médecin.... Elle essuya les sang dans sa main sur un mouchoir puis continua inlassablement a roulé grace a ses bras. Elle passa devant une bande d'ados de son age qui ne la regardèrent meme pas. Il était 16 heures, elle devait rentré ou plutot elle voulait rentré car elle s'ennuyait et remuait de sombres pensés ainsi seule dans le parc. Elle prit le chemin du retour et entendit des petit gémissement et des mots tel que : "Maudite", "Mère" et "Aime pas".
Iteza regarda en la direction de ces cris et vit une fille endromie par terre se débatant avec son cauchemard. Eza resta pantois devant la jeune demoiselle, la réveillait ou la laissé comme ca ? Le jeune infirme choisis la premières soulution et passa le surplond pour allé dans l'herbe. Elle s'accroupis dans l'herbe auprès de l'endormie et la secoua légerement par l'épaule, elle ouvrit un oeil ensommeilé et regarda la maudite étrangement. On pouvait lire de la peur et de la colère ainsi qu'un soupçons de tristesse dans ce regard. Notre jeune amie fut bouleversé et s'appuya sur ses mains pour se remettre dans son fauteuil en bredouillant.
"B...bonsoir, je suis désolé mais vous sembliez si agité dans votre someil j'ai pensé qu'il était préférable de vous réveillez... Désolé !"
Iteza avait réussi a dire la plupart des mot en japonais bien que certains fussent proche du français ou de l'anglais et elle dit tous ça avec une prononciation très "à la française." Tout japonais lui aurait rit au nez devant sa mauvaise articulation et son accent a deux sous !
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