Ichigo Hanai

Hey ! J’aimerais tout d’abord vous prévenir que je ferais la présentation de mon personnage à la première personne. Pourquoi ? Un choix personnel ^^ Plus de facilité à exprimer ses caractéristiques si je me met directement à sa place !

Nom: Hanai

Prénom: Ichigo (les parents sont parfois cruels n'est-ce pas ?…)

Âge: 16ans (Je suis née en fin d'année, sous un ciel grisâtre, parcemé de flocons.)

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Sexualité: Hétérosexuelle. Pour le peu que je sache, j‘ai toujours été attiré par le sexe opposé ! Apèrs certains goûts et couleurs changent avec l'âge. o_O)

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Physique: Grande et élancée, je passe souvent pour plus âgée que je ne suis en réalité. J‘ai l‘impression d‘être montée sur des échasses quand je me vois sur une photo. Oui, mes jambes sont interminables. Je ne suis pas dôtée d‘une poitrine pulpeuse, ni de hanches bien dessinées. Je suis limite d‘un type androgyne vous voyez ? Alors a quoi riment tous ces clins d‘oeils et autres mimiques qui en disent long, quand le passe devant un bar ? A rien. Et je ne répond d’ailleurs jamais aux appels des mâls en manque d’amour. Non. Je ne me trouve pas particulièrement attirante non plus. On me dis que je manque de confiance en moi. Ce n’est pas vrai. Je veux juste qu’on s’intéresse à moi pour autre chose que mon physique !
Ma peau quant à elle est dorée toute l‘année. Je ne fais pas partie de ces filles qui se dorent étalées sur le sable des heures durant. C’est une perte de temps selon moi. En plus, c’est mauvais pour la peau : p
Mon visage est… symétrique, sans apparente imperfection. Un nez droit, des lèvres assez charnues, des yeux un peu amande et marrons foncé. Le tout d’un ennui extraordinaire. Aucun trait proéminent, aucun défaut qui fait le charme d‘une figure. Je serait faite en cire cela reviendrait au même.

Mes cheveux constituent la seule fantaisie que la nature ait bien voulu me donner. Ils sont châtains teintés de reflets dorés, le tout formant une cascade de boucles longues et régulières. Je les tiens de ma grand-mère maternelle paraît-il. Merci Maman. C‘est certain que ce n‘est pas du côté de mon Père, cent pour cent asiatique, que nous allons dénicher cette caractéristique ! Et puis si cela venait de sa famille, il ne me l’aurait probablement pas dit. Tout simplement parce que lui et moi nous n’avons jamais échangé un mot, à moins que ce ne soit d’une extrême nécessité.
Point de vue vestimentaire, j’aime beaucoup les tenues colorées et fashion. Robes, jupes, shorts, bermudas, etc… Du moment que je pense avoir une certaine allure, ça me va. Une pièce exclue de ma garde-robe: les chaussures à talons. Forcement quand on mesure déjà 1m75 à 16ans, y’a de quoi avoir des complexes !


Psychologie: "Trop rationaliste, qui ne se laisse pas assez vivre"… "Toujours quelque chose à redire". C‘est les défauts que donne ma mère quand je lui demande de m‘en citer. Ca m’arrive souvent de faire ça. J’aime bien être consciente de qui va et de ce qui ne va pas. Elle a peut-être raison. Petite par exemple, je n‘ai jamais cru au père Noël ou à d‘autres bêtises de ce genre. Je n‘ai jamais mis ma dent sous mon oreiller en imaginant quelqu’un d‘autre que ma mère la remplaçant par une pièce de monnaie.
La magie, le surnaturel, c’est quelque chose qui a été inventé pour duper les gens en période de dictature disait mon père. Peut-être avait-il raison, peut-être avait-il tord. Je ne suis pas contre toute autre proposition. Mais pour l‘instant, je n‘ai jamais eu preuve du contraire. Alors c‘est comme ça, je vis dans un monde trop sérieux, où tout est carré, où tout est mathématiquement démontrable. En parlant de maths, c‘est l‘une des matières dans lesquelles j‘excèlle en cours. En fait, je fais parti du type d‘élèves qui n‘as pas encore à s‘inquiéter de son avenir. Pour l‘instant…
Je ne suis pas, mais alors pas du tout susceptible. J’encaisse à peu près toute forme de critique tant que ça peux m’apporter quelque chose. Dans le cas contraire, je peux devenir très cruelle ^^’
Oui parce que, je n’ai jamais levé la main sur personne. Ma manière à moi de blesser est basé sur les mots. Des mots très lourds, de grosses vérités, qui résonnerons longtemps dans l’esprit de celui ou celle qui a voulu me faire du mal. Je ne fais pas ça souvent rassurez vous : D

Côté cœur, je ne dévoile pas mes sentiments à n’importe qui et dans n’importe quelles circonstances. J’aime conserver une part de mystère, non pas pour le jeu de la séduction, mais parce que j’estime que certaines choses ne m’appartiennent qu’à moi, et qu’il est inutile de les partager. Je ne cache pas un passé particulièrement douloureux, mais mon enfance à est comme estropiée. Il m’a toujours manqué une présence paternelle. Non, il était bien présent dans ma vie, mais je ne l’ai jamais considéré autrement que le maris de ma mère. Un homme froid, peu bavard, toujours occupé… je me demande comment Liliane, ma mère, a pu lui trouver du charme lors de cette fameuse rencontre dans un long courrier Paris-Tokyo. Les adultes sont parfois étranges.
Du coup, je me suis rattachée à ma mère(ou ma mère s’est rattachée à moi, je ne sais pas dans quel sens ça a commencé). Petite, elle n’arrêtait pas de me dire que j’était "trop mignonne, une vraie poupée." J’étais déguisée de jolies robes à volants et à dentelles, mes cheveux coiffés d’accessoires "mignons en tout genre". C’est peut-être cet excès d’amour maternel qui a fait de moi la fille blasée que je suis aujourd’hui. Mais je lui en suis quand même reconnaissante. Sans elle, j’aurais très certainement sombrées dans l’oublis, ou pire, la délinquance, comme beaucoup d’enfants aux parents subookés.
Bref, je dévie un peu de la question ! En résumé, quelque soit ma psychologie profonde, vous n’en verrez jamais qu’un faible aperçu, dissimulé sous des sourires et un aspect joyeux presque artificiel.


Histoire: Si ma mère n’était pas journaliste, elle n’aurait jamais eu a prendre l’avoir ce jour là pour Tokyo, et si mon père n’était pas en responsable des échanges de la boite Susuki entre le Japon et l’Europe, ils ne seraient jamais rencontré dans l’avion. Et quelle idée de les avoir placés l’un a côté de l’autre en plus ! Vraiment, si là ce n’était pas un coup monté du destin…
Je ne suis pas contre tout ça bien sur, car sans ça, je ne serait jamais venue au monde. Pas sous cette forme du moins. Mais parfois - non, souvent - je me dis que je n’ai pas mérité le père que j’ai. Le jour même où je suis venue au monde, dans une clinique réputé de Paris, il n’as bougé ses fesses de Berlin, Monsieur le négociateur occupé ! Ma pauvre mère, bien qu’entourée de sa famille proche, avait du se sentir abandonnée. Surtout quand l’infirmière est arrivée, tenant un "ravissant nourrisson dans ses bras" (ce sont les mots de ma mère, pas les miens -_-) et qu’elle avait demandé quel prénom qu’avait choisis les parents pour ce petit ange. Elle m’a dis qu’une sueur froide l’a traversé à ce moment, car elle s’était rendu compte que papa et elle n’en avaient jamais discuté. Elle avait mangé beaucoup de fraises durant sa grossesse. Papa lui disait tout le temps qu’elle avait faire une allergie a ces fraises, mais ce n’est jamais arrivé. Alors le premier mot qui lui vint à l’esprit fut: "Ichigo ?… "(traduction du mot fraise en japonais). Le sourire de la sage-femme conclu que c’était une bonne idée, et c’est sous cette appellation que j’ai fais mon entrée sur terre.
Comme je vous l’ai dis au part avant, mon enfance a été rose bonbon et douce comme de la barbe à papa (sans papa d‘ailleurs !). Une mère surprotection qui tentait tend bien que mal d’effacer le manque d’amour paternel. Et un père qui , quant à lui, ne s’est jamais rendu compte du mal qu’il faisait.
J’ai d’abord été scolarisée en France, puis j’ai déménagé pour le Japon à l’âge de huit ans. Aucun acte primordial n’avait marqué ma vie jusque là. Jusqu’à un évènement étrange, qui s’était produit en bord de mer. J’adorais nager au milieu des vagues. Ce jour là, il y en avait vraiment beaucoup. En nagant, je m’étais retrouvée nez à nez avec un garçon à peine plus jeune que moi. Il avait du boire la tasse, je ne sais pas, mais il avait tout l’air de se noyer. Je me suis précipité jusqu’à lui pour lui tendre une main. Celui-ci s’était débattu tant mien que mal pour échapper à mon aide. "Laisse moi tranquille ! Je vais…Glurp…Bien…" tentait-il de dire. Je n’en ai pas demandé plus pour le saisir. Et là, une vague un peu trop haute nous submergea. Une fois la tête à la surface, je toussotais, cherchant des yeux le petit garçons. Voila. La suite vous allez me dire ? Et bien je ne peu xpas vous la donner, je n'en ai pas le souvenir. C'est étrange n'est-ce pas ? Comme ci ce passage de ma vie avait été tronqué.
Vous ne pouvez pas imaginer à quel point cette sensation est étrange...
Cette histoire, j’ai préféré la laisser dans un coin de ma mémoire et ne plus y toucher. Ce genre d’évènements bizarres, je n’aime pas les laisser traîner dans ma tête.
A présent, j’entre au Lycée. J’ai changé de résidence cette année. Du coup, je ne connais absolument personne dans ma nouvelle école. J’espère sincèrement faire de nouvelles rencontres. Et qui sait, cette nouvelle vie s’annonce peut-être plus mouvementée que je ne le crois !


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Emploi ou étude en cours: J‘entame ma première année de lycée. Cela ne me préoccupe pas des masses. Mon dossier scolaire affiche depuis mon enfance des "félicitations, bon trimestre", "continuez ainsi" et j‘en passe. De plus, je parle couramment le japonais et le français, et ça en épate quelques uns. Je n‘y suis pourtant pour rien dans tout ça.

Demeure avec qui: Je vis encore avec mes parents. Enfin plus précisément avec ma mère ! Même si nous nous sommes installés au Japon, mon père n‘est présent à la maison que pour aller se coucher. Nous sommes en quelque sorte sont… dortoir ? Je suis pour l‘heure fille unique. C‘est d‘un ennui affligent. Je n‘ai jamais connu le bonheur d‘une maisonnée trop bruyante. On m‘a offert un chaton lorsque j‘avais 12 ans pour tenter de calmer ma crise de "Je VEUX un petit frère !!!!!!" Du coup, je l‘ai appelé Onii, en hommage à ce "Oniichan" qui aurait pu un jour peupler mes jours les plus mornes.

Ouf ! Terminé : p
Petite précision, le petit garçon auquel je fais allusion dans l'histoire de Ichigo serait en fait l'enfant hanté par l'esprit d'un animal. Je suppose que sa mémoire a en suite été effacée...
J'aimerais tout d'abord savoir si j'ai le droit de faire une telle allusion dans ma présentation.
Et si oui, qui pourait être cet enfant, des volontaires ? xD

Très jolie fiche! ^^ J'aime bien que ce sois fait à la première personne, sa donne un aspect plus personnel au tout.

Et puis sa maman est trop chou, je veux être comme elle!! >.<
L'histoire des fraises à toucher une corde sensible chez moi. ( eh oui l'admin est une grande sentimentale ^^' ) J'ai adoré et j'ai bien hâte de voir tes postes!

Sois la bienvenue et amuse toi bien.
Si tu as des questions, n'hésite pas! ^^

Merci beaucoup ! : )

Pour ce qui est de la maman, je me demande si ça ne serait pas marrant de l'integrer dans le récit... Enfin dans tout les cas, pas pour tout de suite bien sur ^^

Enfin! J'éspere bien m'integrer, vous avez tous l'air de vous connaitre plus ou moins >.<

Humm en fait, je ne connais pratiquement pas les membres du forum, ce sont de nouveaux membres, la majorité des anciens nous ayant laissé tombé. Du coup, j'ai appris à les connaitre un peu. Tu fera comme nous, ne t'en fait pas!! ^^