Drôle de rencontre (PV Yamina)

Antoine arriva au centre d'achat, par la porte principal. Il avait sorti de chez lui, pour allé acheté quelque petite chose. En particulier une chose pour se divertir, comme un bon livre. Il avait entendu que le centre d'achat contenait une librairie, qui avait des livres en français. Il traversa les deux portes et entra dans le centre. Il était magnifique, le plafond mesurait au moins vingt pied de haut, il y avait des fenêtres dont le soleil de trois heure fessait apparaître des arc-en-ciel sur les hublots, c'était magnifique. Il avait plein de magasin, dont Antoine aurai aimé visité, mais avec le maigre revenu que ses parents lui versait il ne pouvait pas faire de folie, sinon il s'en sortirait pas. Il marcha et arriva dans une intersection ou il y avait une fontaine et des plantes. Quelque amoureux se fessait des minouches et s'embrasait. Aaaaaaaaaa que Antoine aurai aimé avoir une compagne en ce moment, il n'avait pas vraiment eu de blonde dans sa vie, deux pour être plus précis, mais les deux l'on quitté sans donné de raison et de toute façon il ne voulait pas savoir, elles lui ont déjà assez prisé le coeur comme sa. Antoine se remit de cette pensé et continua sa route.

Bon Antoine se dit "Sa suffit, les diversion, je veux acheté un livre, pas niaisé!" Alors, il se dirigea vers le panneau de renseignement ou tout était marqué, les magasins, les restaurants et les toilettes. Antoine trouva ou se trouvait la librairie et si dirigea.

En rentrant dans la librairie, il sentit qu'il était chez lui, comme s'il y habitait. Il regarda allé par allé et trouva rien de très prometteur, mais il voulait en acheté un. Antoine alla voir le vendeur et lui demanda:

-Excusé moi. J'aimerai m'acheter un livre, mais je ne trouve pas grand chose. Je connais pas tout les écrivains japonais, alors si vous pourriez m'aidé ça serait apprécié.

Le vendeur l'emmena dans une section du magasin qui était réservé au drame. Antoine aimait le drame, car sa lui rappelait l'enfance malheureux qu'il a eu. Le vendeur lui présenta le livre " La porte d'hinabichi" un livre qui parlait du meurtre d'un grand roi du japon, qui ces fait tué par on frère et que un inspecteur fait enquête. Antoine lisait le dos du livre, quand il entendit la sonnette de magasin. Il se retourna et vu un belle femme, pas une de ses femmes dont on ne ses l'âges, mais une femme qui avait pour sur dans la vingtaine. Antoine n'y fit pas attention et retourna a les ouvrages. Il déposa le livre que le libraire lui avait conseillé. Il allait partir, quand il vit sur la plus passe des étagères un livre intitulé " Framboise et ver de terre" il l'ouvrit et commença a lire les première page, c'était l'histoire d'une petite fille que ses parents son mort dans une incendie. Il continua a lire tout en avançant.

Yamina était enfin arrivé au centre d'achat. En entrant par une des portes, un monsieur qui n'était tout simplement pas japonais et assez corpulent le poussant sans faire une seule seconde attention à elle. Elle le regarda longuement, puis entra dans le centre d'achat, s'enfonçant dans son capuchon. Elle tira sur ses manches puis marcha lentement dans le "corridor". Elle entra dans une boutique de vêtement féminin, mais ressortit quelques minutes plus tard; Beaucoup trop coloré! Elle ne savait pas forcément ce qu'elle voulait, elle ne faisait que regarder. Alors, elle vit une petite librairie. Elle bifurqua et entra par la petite porte, faisant tinter la petite cloche. Elle respira une bonne fois pour toute l'odeur habituelle des librairies ; l'odeur du papier, l'odeur des livres neuf... Elle sourit très légèrement, presque pas visiblement. D'un pas léger, elle s'engagea dans une allée et regarda les livres de fantasy. Hum...Rien de très intéressant...Soupirant, Yamina s'engagea dans une autre allée. Levant les yeux, elle aperçut: Drame et horreur sur une petite fiche au dessus de l'étagère remplie de livre. Elle remarqua un jeune homme; il n'était pas japonais, du moins à première vue, car Yamina ne voulut pas le regarder plus longtemps et paraître ainsi très impolie de dévisager quelqu'un. Elle passa donc près de l'étranger, puis regarda lentement les livres. Ne voyant rien d'intéressant de ce côté, elle alla du côté où il y avait l'étranger. Elle attrapa un livre qui lui semblait bon.



Sur le dessus, il y avait trois portes blanches comme la neige, dans une pièce d'un bleu profond. Elle tourna le livre et commença lentement à lire l'endos du livre. Lorsqu’elle eu finit de lire le livre, elle le reposa où il était : Pas très intéressant… Elle attrapa un autre livre et lit encore une fois l’endos du livre, qui semblait plus interressant.

Antoine commença a lire, avant même avoir acheté ce livre. Il avait de la misère a comprendre vu que c'était du japonnais, mais dans son voyage dans le passé il l'avait apprit. Alors, il marchait dans la rangé, tout en se dirigeant vers le caisse. Il avait pas remarqué que la jolie femme avait arrivé dans sa rangé. Il marchait tranquillement quand, il s'enfargea dans une des établies et tomba. Dans sa chute, il emporta la femme avec lui. Antoine se ramassa dans une drôle de position, il était au dessus, mais a deux pouce de la face de cette sublime demoiselle. Il se releva tout de suite et s'inclina:

- Pardonnez-moi, je n'ai pas fait exprès. Je lisais se merveilleux livre, quand je me suis enfargé dans cette maudite établi.

Tout en disant cela, il montra le livre qu'il lisait. Quand il regarda la femme, il remarqua que elle était surprise. Il ne comprit pas tout de suite. Il allait le comprendre assez vite. Antoine aida cette jeune femme a ce levé et lui redemanda pardon.

- Veillez m'excuser. Je n'ai vraiment pas fait exprès. Je vais vous donné mon nom si vous voulez porté plainte contre moi. Je m'appelle Antoine Ansel et j'habite la bâtis a coté du manoir Ansel.

Antoine est tellement stressé. Il s'est que les japonnais sont assez pudique et il déteste que les personne les touches. En plus cette femme est trop sublime pour Antoine. Ses cheveux noir en cascade, soyeux et long comme Antoine les aimes. Elle est bien trop jolie. Il se demanda si elle lui donnerait une autre chance pour ce rattrapé.

Yamina émit un léger cri lorsque le jeune homme lui tomba dessus. Le jeune homme était en quelques sortes a cheval au dessus d'elle, son torse a quelques centimètres de sa poitrine, le visage très près aussi. Ses jambes était de chaque côté des jambes de Yamina. Elle devint rouge feu, puis se retira vivement et se leva a son tour, baissant les yeux au sol. A la vue de son livre, elle fit un léger sourire qui disparut aussi vite qu'il était apparut. Lorsqu'elle entendit l'idée de porté plainte, elle fit surpris. Mais quand lui serait-elle venut l'idée de porter plainte!?

-Je...Je...Je ne porterais...bien..sur..pas..plainte..

Elle avait réussit a balbutier cette phrase... Elle baissa de nouveau les yeux et se présenta.

-Yamina Fukashigi..Je...Je...suis l'auteur...du livre que...vous..avez..entre les mains.....

Elle rougit de plus belle, puis sentit une certaine chaleur de dégager de ses joues rouges. Elle arrangea sa veste , tira sur ses manches et s'enfonca dans son capuchon. Elle passa une main nerveuse dans ses long cheveux noirs, puis abaissa ses mains et joua nerveusement avec ses doigts. Et elle ne put fare autrement que de prononcer ...

-Désolé...

Yamina, toujours tête baissé, se pencha pour ramasser le livre qui s'étendait au sol vu qu'elle l'avait dans ses mains lors de l'impact, puis le replaca sur l'étagère. Elle reprit place devant le jeune étranger puis baissa la tête, totalement honteuse, les joues chaude et rouge et légèrement intimidé.

Lorsque Yamina se fit relever le menton et entendit les deux répliques d'Antoine, elle faillit s'étrangler, mourrir d'une crise cardiaque et tomber sans connaissance. Elle rougit aussi rouge que personne ne pouvait l'être ; On aurait put croire que tous son sang était dans son visage... Elle recula d'un pas, instinctivement, regarda ses pieds et arrangea son capuchon de sorte qu'il tombait presque sur ses yeux. Elle croyait bien que son coeur allait éclater; tant d'activité en une journée..Mais qu'est qu'il lui avait prit d'allé au centre d'achat ?! Elle tira nerveusement sur ses manches, pour enfouir ses mains complètement dans ses manches noires. Elle aurait voulut partir en courant, se réfugier et y rester pour le temps qu'il fallait! Une semaine ? Mais..Mais elle ne pouvait pas faire cela; politesse oublige. Tellement elle était nerveuse, le mal de coeur lui monta légèrement... Un marteau tappait furieusement dans son crâne...Qu'elle aurait voulut disparaitre sous le plancher ! Qu'aurait...elle a dire face a cette remarque ? Elle, belle ? Non! Elle ne l'était pas...Yamina ne se voyait pas laide, mais pas belle non plus. Jamais dans toute sa vie, a part ses...parents, quelqu'un lui avait dit cela ! Et osez dire qu'elle était la plus belle! Ce jeune homme la connaissait depuis si peu...Peut-être que, dans quelques minutes, il se rendrait compte qu'elle n'en valait pas la peine et qu'il s'en irait ? Elle priait pour cela...

-Vous...Vous...Vous...Je..Mais...Vous...Je...

Elle n'arrivait pas a placer une seule parole tant elle était nerveuse et stressé, mais aussi tellement surprise. La politesse excluait elle la possibilté de partir en courant ? Non, non, et non! Ca aurait été de la plus pure impolitesse, aucun respect! Elle aurait voulut placer quelque choses, dire un mot, mais elle ne le pouvait plus. Dans sa gorge s'était formé une boule aussi grosse que la terre entière... Comme elle ne disait rien, elle s'inclina aussi bas qu'elle put- elle touchait presque par terre-.

-Déé..so...Désoll...er....Désoler....

Elle resta dans cette position incliné. Elle risqua lever un oeil... Ce jeune homme était plutôt beau et ses....Non! Yamina! Rien n'est plus impolie que de regarder quelqu'un de la sorte! Regarde le sol et espère rentrer sous terre, se dit Yamina.
Tout autour , un vendeur s’était arrêté pour les regarder et une femme d’âge mur observait cette scène pour ainsi dire assez insolite….

Quand Antoine ouvrit les yeux, il vit qu'elle était rendu rouge comme une tomate. Comment des mot peut-il faire ça? Antoine la trouvait encore plus jolie toute rouge ce qui prouvait que, ces mot on eu un impact. Quand elle recula d'un pas, Antoine cru qu'elle allait partir. Son coeur disait.
*NON, NON*

Mais sa tête disait.

*Je comprend, je l'ai gêne et elle prend la fuite*

Mais non elle regarda ces pied et remonta son capuchon. Le coeur de Antoine sautait de joie; *Elle reste finalement.* Antoine regarda tout ces petit geste et trouva ça drôle et charmant. C'était tous mignon. Elle se cachait encore plus, mais Antoine était résolue a la découvrir et que le monde aussi. Alors il la prit par les épaule, la leva et lui ôta le capuchon, lui plaça les cheveux, mit sa main contre joue, fit des yeux doux et passionné, puis lui dit:

- Pourquoi vous recachez, quand je vous dis que vous êtes belle. Ce n'est pas une insulte pourtant. Ensuite ôtez moi cette vulgaire illusion, que ce capuchon, et montré au monde qu'elle belle personne vous êtes. J'aimerais vous invité a souper, comme ça je pourrait me rattrapé sur se désastre, que le début de cette rencontre. Quand dites-vous?

Il attendit sa réponse.


(Pas très très bon, mais j'avait pas d'inspiration plus qu'il le faut )

Yamina aurait voulut se retirer vivement et lui crier qu'elle avait le droit de mettre son capuchon si ca lui plaisait, qu'elle aimait bien être discrète et que personnage ne la remarque. Mais, encore une fois, politesse oblige, elle le laissa faire, sans toutefois soutenir son regard. Les yeux rivé au sol, elle écouta les paroles. Comment ce jeunes homme, alors qu'il la connaissait depuis si peu, pouvait avoir ce regard..si...passionné? Comment Antoine Ansel pouvait être si...comment dire...Elle ne savait pas trop comment dire...osé? Non, pas vraiment...Elle secoua légèrement la tête sans trop s'en rendre compte, c'était surtout pour chasser toute ses pensée et remettre ses idées au clair. Souper avec lui ? Elle allait surement mourrir de timidité, de nervosité et de stress, mais elle n'était pas totalement contre....
Elle était tellement mal a l'aise sans capuchon!

-Vous...vvvv...Vous m'en voyez désolé, mais je n'aime pas me montrer....Et je me vois mal a l'aise en grand public sans...cette accessoire...

Alors, sans savoir si le jeune étranger aurait l'audace de lui enlever son capuchon une troisième fois, elle le remit sur sa tête, cette fois ci juste déposer sur sa tête, sans se cacher ou s'enfonçer dedans, juste pour l'avoir et se sentir a l'aise.Elle était si bien dans ce capuchon...Elle repasa ses cheveux le long de son corps. Définitivement, elle était beaucoup mieux comme cela. Yamina ferma les yeux a peine une seconde pour savourer ce cours moment très passager de bien-être que engageait son capuchon. Peut-être le jeune homme ne le remarquait pas, pensant que c'était tout simplement un clignement d'oeil... Elle remarqua qu'elle n'avait toujours pas répondu a sa dernière question, mais elle prit tout de même son temps.

-Je...ne tiens pas...a montrer...mon..enfin...Je ne tiens pas a me montrer... a... trop de gens...

Yamina rentra ses mains dans ses manches ; s'en était devenu une simple habitude... Il restait maintenant a répondre a la dernière question : Le souper. Si la politesse ne l'aurait pas obligé, si elle n'était pas aussi présente, elle aurait pu dire non. Mais, elle ne pouvait pas: le jeune homme aurait été attristé... Et elle se devait d'accepter...Mais il fallait maintenant le dire, et , trouvant cette question délicate, elle eu du mal a le dire. En fait, la phrase qui suit n'est que bafouillage et bégayage; elle n'arrive pas a mettre un seul mot tant une boule de stress est monter dans sa gorge.

-Jjjjjjjj....ppp..pp..ppoo...ppouuurrr.....jjeee....veux dire..le..le..le..le.....soo..souuu...ppperrr...enn..finn

Se voyant dans une postion complètement ridicule, elle fit une courte révérance.

-Je...suis désolé...Je crois que ma timidité en viens maladive....elle...elle me ronge de l'intérieure, je ne pourrait plus jamais m'en débarrasé, comme...comme...si c'était...un...cancer quelconque...

Elle fit une autre révérance, puis se releva et osa regarder dans les yeux l'espace de 3 secondes et demi Antoine. Ses yeux était si...beau...originale et...spéciale... Elle baissa rapidement les yeux, contemplant ses souliers. De simple espadrille noire, mais qui avait la chance d'être observé , voir admiré, très souvent par leurs propriétaire...

-J'accepte...votre...invitation

Antoine la vit secoué la tête, il se dit qu'elle était découragé de ses veine tentative de la séduire. Mais quand il vit, qu'elle recommençait a regardé ses pied, il désespéra. Antoine aimait bien les timide, mais celle-ci est plus difficile a convaincre.

-Vous...vvvv...Vous m'en voyez désolé, mais je n'aime pas me montrer....Et je me vois mal a l'aise en grand public sans...cette accessoire...

Antoine fut soulagé qu'elle ne l'envoie baladé, il avait encore une petite espoir pour qu'elle vienne souper avec lui. Pour continué sur la même voix Antoine dit:

-Pourquoi? Vous êtes jolie. Les gens pourrait vous reconnaître et vous pourriez devenir populaire. Vous avez tout de même fait un livre? Non? Moi je trouve sa très remarquable, vous savez. Je suis même pas capable de faire deux phrase sans faire six faute et vous vous faites des livres ces remarquable. Je comprend que vous êtes timide, mais sa vous empêche pas de vous dévoilé. Bon ok, j'arrête. Mais je veux toujours que vous veniez souper avec moi.

Antoine était stressé, car il voulait qu'elle soit bien. Donc pour pas qu'elle soit gêné, il avait pansé lui proposé d'allé chez lui, pour qu'ils y aillent personne et qu'elle se sente bien. Il avait hâte qu'elle lui réponde. La réponde ne se fit pas attendre, c'était un oui. Alors, Antoine se risqua.

-Que diriez-vous de venir chez moi, pour ce merveilleux dîner?

Yamina ne broncha pas pendant les premières paroles d’Antoine

-Je... Je ne suis pas la plus jolie des femmes, loin de cela…Et…Je…Ne veux pas d’une célébrité…où l’ont ne peut par marcher…sans que quelqu’un t’interpelle…Je veux rester…le…le plus dans l’ombre possible…

Elle écouta ses dernières paroles. Souper, chez lui? Elle serait à l’abri de tous les regards, mais elle serait seule avec cet homme qui était presque un inconnu. Que se serait embarrassant! Mais, en même temps, se serait une expérience nouvelle…Et, peut-être que cela la sortirait-elle de cette timidité maladive…? NON. Yamina aimait la solitude, elle aimait ne pas se faire remarquée, être discrète. Certainement, certain point était moins bien, comme le fait qu’elle avait une difficulté extrême à avoir des contacts sociaux et parler aux autres gens…

-Je veux…Je...Je veux bien…Aller chez vous...Pour…souper….

Elle prit l’audace de faire un léger sourire, qui mourut lentement dans son visage blanc. Ce sourire laissa entrevoir ses dents parfaitement alignées, blanche comme des perles. Elle redevint avec son visage maladivement timide. Elle tira de nouveaux sur ses manches, puis, le visage nettement moins rouge, elle observait le sol, tout de même nerveuse...

Yamina le suivit d'un pas lent, les yeux rivés au sol. Pourquoi avait-elle accepté ?! Premièrement, elle allait surement "mourrir" de timidité et deuxièmement....Et si cet homme était un pervers? Un aggresseur sexuel ? Et si...Et si il allait la violé? Elle était si naive, elle s'était fait avoir si facilement...Il ne devait pas avoir d'autre raison, car qui aimerais Yamina, une jeune femme si timide...Et les pervers amenait souvent les jeunes femmes chez eux, non? Et elle qui n'était pas très bonne pour se défendre...Peut-être devrait-elle apprendre les arts martiaux..?
Tous les gens avait les yeux rivés sur eux et Yamina s'enfonça le plus qu'elle put dans son capuchon, elle tira nerveusement sur ses manches et sentit une boule lui monter a la gorge... Elle avala, comme pour faire disparaitre cette boule, mais rien n'y faisait...
Du vin...? Elle n'avait jamais bu d'alcool a part une petite gorgée lorsqu'elle avait 5 ans, alors qu'elle voulait y gouter. Et elle avait trouvé cela si mauvais!

-Je...Je...Je n'ai jamais..Vraiment bu de vin....

Elle baissa la tête, légèrement honteuse, puis continua de le suivre. Une jeune femme de 24 ans qui n'a jamais bu une vrai gorgée de vin, ca passait mal, non ? En fait, elle n'avait jamais bu d'alcool autre que la grenadine... Et maintenant, il lui demandait quoi mangé...Quoi mangé...? Elle n'en savait rien elle!

-Vvvv...Vous pouvez acheté ce que vous voulez pour..souper...Cela ne m'importe..peu....

Elle regarda distraitement le sac d'Antoine qui contenait son livre...A cause de lui, elle recevrait donc un peu d'argent...Au moins, si c'était un pervers, il lui avait fait gagné un peu d'argent... Elle darda ensuite ses yeux au sol, regardant distraitement autour d'elle pour ne pas foncé dans personne, pour ne pas se faire remarqué, pour ne pas foncé dans Antoine...
Il était de dos...Elle pourrait toujours s'enfuir a la course, non ? YAMINA! Politesse.....oblige!

Antoine ne savait pas non plus quoi mangé, mais il en avait une petite idée. Du macaroni chinois. La recette est simple, vous prenez de la viande a fondu, vous la faites cuire, des nouilles et de la sauce soya. Vous mélangé tout sa et up du macaroni chinois. C'était une recette que, un de ses ami du Québec lui avait donné, il avait essayé et il avait aimé.

Alors, vu qu'ils étaient toujours dans le centre d'achat, Antoine alla dans une épicerie pour acheté le matérielle pour faire a mangé. Il aimait faire a mangé, surtout pour le autre. Alors il acheta de la viande , du macaroni et de la sauce soya, sans oublié quelque légume. Il paya tout au comptoir.

En sortant, Antoine trouva qu'il parlait pas beaucoup, il ne comprenais pas pourquoi, il était sûrement gêné. Ces normal, rencontré une femme et l'emmener chez lui, ce n'est pas un pervers; non? Mais il sans souciait guerre, il voulait se reprendre, il est un garçon timide a l'habitude, mais là! Cette femme, avait un petit quelque chose. Il se tourna et regarda Yamina marché, elle était tellement, mais tellement mignonne. Mais timide, ce qui gênait guerre Antoine. Il l'attendit qu'elle arrive et lui dit:

-Je suis désolé pour tout ça. Je ne veux pas vous brusqué. Je veux juste, que notre rencontre se passe mieux que dans cette librairie. Habituellement, je ne suis pas aussi direct. Je ne sais point se qui mes arrivés, mais cela va être la dernière fois, que je vous vexe.

Antoine avait vraiment l'aire attristé par son comportement et il voulait se racheté. Il aimerait bien qu'elle le pardonne. Il regarda autour d'eux et il remarqua que encore tout le monde les regardes bizarrement, alors Antoine eu une idée pas très brillante, mais une idée. Il regarda Yamina dans les yeux, en tout qu'a le plus possible ( ), et lui dit:

- J'aimerais vous poussez une question? Puis-je vous prendre par la mains? Je sais que sais peut commun, mais les gens vont trouvé sa moins bizarre qu'on se promène ensemble, qu'est-ce que vous en dites? Si vous dites non; je ne serai pas peiné, ces normal.

Lorsqu'Antoine entra dans l'épicerie, elle se posta a l'entré et l'attendit. Une fois qu'il fut sortit, elle allait le suivre lorsqu'il parla. Elle se permit d'hausser très légèrement un sourcil, puis le rabaissa a nouveau

-Vous...Vous ne me vexer.pas...Peut-être seulement...vous...me surprenez...quelques peu...

Elle regarda les gens qui la regardait tous d'une drôle de façon. Elle baissa la tête et s'enfonça dans son capuchon. Lorsqu'Antoine lui proposa de lui tenir la main, elle eut le gout de crier NON et de partir en courant. Un pervers! C'était sans aucun doute un pervers et un maniaque sexuel qui voulait la violé! Yamina devint rouge sang, on aurait presque dit mauve! Elle tira sur ses manches, s'enfonça dans son capuchon, et joua nerveusement avec ses mains. Elle ne voulait en aucun cas lui tenir la main! Ce...elle....Elle tomberais surement au sol, prise a une crise de chez pas trop quoi! Ca existe les crises de timidité? Les crises de nervosité ? Peut-être... Mais...Mais...Comment lui dire qu'elle ne voulait en aucun cas ...lui prendre la main ? Déjà qu'elle devait allé souper chez lui, chez une personnes qui semblait être un pervers, sans personne pour l'aider si il en venait a la violer... Elle sentit le mal de coeur lui monter, ainsi qu'une boule aussi grosse que l'univers dans sa gorge. Elle s'éclaircit la gorge, puis réussit a enligner quelques mots

-Les gens..penseront...nous sommes...amis....

Yamina baissa la tête. Elle venait de commettre une impolitesse, mais elle ne pouvait pas se résoudre a prendre la main...de ce quasi inconnu... Elle sentit la tête lui tournée; surement avait-elle trop de sang dans le visage...Elle essaya par tous les moyens de se calmer. Elle prit de grandes respirations silencieuse, passa ses mains froides sur son visage. Elle abbaissa ses mains, fourra ceux ci dans ses manches, puis respira le plus calmement possible. Lentement, le sang decendit de son visage et son visage prit simplement une teinte rosé au niveaux des joues. Yamina passa sa langue sur ses lèvres rendu sèche. Elle avait un léger mal de tête, mais elle attendit tout de même la réponse suite a son impolitesse qu'elle venait de commettre....Peut-être la violerait-il en public?...Surement pas...

Antoine, mit ces deux mains dans la figure et la secoua vigoureusement de gauche à droite. Il avait encore fait une bétise.

*NON NON NON, tu es un gros mongole, imbécile, tu n'y comprend rien. Tu fait juste des gaffe et après sa; tu te dit gentlemen, laisse moi rire. Tu es juste un gros pervers mon cher.*

Dit la voix intérieur d'Antoine. Elle était toujours méchante, quand elle lui parlait. Mais aussi sa envisageait quelque chose de mauvai. A chaque fois qu'elle apparaissait, il se passait quelque chose de mal. Antoine avait toujours eu une deuxième personnalité, celle-la qui le prend de par entier et fait sombré Antoine dans la démence total. Il ne voit plus rien et ne sais même pas ce qu'il fait. Quand la deuxième personnalité arrive, des maux de tête apparaît.

Antoine se traîna jusqu'à un banc le plus proche et sassi. Prit de grande respiration, ouvrit les yeux et vit que tout le monde le regardait. Il déclara haut et fort:

-TOUT VA BIIIEN J'AI JUS US JUSTE EU UN GRO GROS MAL DE TÊTE.


*Ta gueule, ferme la, elle va croire que tu fait sa pour l'embarrasser. Arrête de faire le con, merde, tu me fait honte. Si tu veux pas que je prenne ta place, débrouille toi pour faire moins le con.*

Il se retourna vers Yamina et lui dit:

-Yamina désolé je ne voulait pas encore plus te gêné je ne suis que un moin que rien, qui fait des gafe a la journée longue.

Antoine se calma et se leva, prit les sacs et partit vers le marchant de vin, entra et sorti avec deux bouteille. Il regarda Yamina et vit qu'elle était encore plus dans son capuchon.

*Bon tu vois ces terminé, pu de chance Antoine, tu es vraiment trop con.*

- A tais toi merde.( Il le dit en français)Tu me fait chier a la longue.

*Bien bien tu a eu la brillante idée de parlé en français la. Comme sa elle trouvera que tu parlait de la sorte de vin. Good Good.*

Antoine revins vers elle et lui dit:

-Je suis près a allé chez moi, toi?

*Bon ta fait une autre faute tête de linotte.*

Yamina fut surpris lorsqu'il cria a tous le monde qu'il avait mal a la tête.
< Définitivement, il est pas comme moi...>
Et lorsqu'il parla en Français. elle pencha légèrement la tête de côté et l'observa. Un français donc...? Elle s'enfonça dans son capuchon. Qu'est-ce qu'il avait les gens a les observer comme ca ?!? Elle avait hâte de partir, de sortir, de prendre l'air... Peut-être qu'une fois après le souper elle pourrait trouver une excuse pour partir et courrir a son appartement ou elle s'enfermerait longuement ? Et si...Ils allaient dans son appartement ? Noonnnnn... Cela ferait malpolie....Mais elle pourrait toujours dire que...Elle improviserait en temps et lieu, bien qu'elle ne fut pas bien bonne pour cela...Elle observa les deux bouteilles de vin dans le sac et observa un peu
< Deux bouteilles de vin? >
-On...peut y aller...J'ai hâte de quitter cette endroit...
dit-elle d'une petite voix. Puis, elle se rappella qu'elle venait ici pour acheter une autre veste...Elle fit un léger soupir que seule elle put entendre, puis avança d'un pas presque méfiant vers Antoine, mais peut-être est-ce simplement de la timidité...? Elle tira une fois de plus sur ses manches,puis attendit ce qu'allait faire Antoine. Elle ne savait pas ce qu'elle allait mangé pour souper, mais elle esperait qu'il n'y aurait pas de framboises pour le dessert... Car Le Jour s'en venait bientot et pendant Le Jour, elle avait mangé des framboises. Donc peut-êre que c'était le temps des framboises ...? Sinon, elle aimait pas mal de tout...

-Bon bin, on y va.

*Bon je vais te laissé, je voie que tu as la situation bien en mains, alors cho.*

Antoine venait d'ôter un poids sur ses épaule et le mal de tête. Antoine s'assura que Yamina le suivait. Il se dit qu'elle devait avoir un gros complexe ^pour qu'elle se cache comme sa. Sûrement dans sa jeunesse elle avait subit un traumatisme ou quelque chose dans ce genre. Il était désolé de pas l'avoir remarqué avant. Il baisa les yeux et ce dit qu'il était un foutu de con. Mais il pouvait se reprendre, chez lui il allait être moi égocentrique. Ils finirent par sortir tu centre. Il fessait encore soleil, Antoine se retourna et dit a Yamina:

-Faudra marché encore j'habite pas loin deux rue. Il commença a avançer. Alors d'où viens tu? Non , plutôt de quelle quoi de ce merveilleux pays êtes-vous née? Vous savez j'ai jamais emmené de femme chez moi vous êtes la première. Je suis comme un peut stressé, alors veuillez m'excusé pour tout ce que j' ai dit dans le centre d'achat.

Antoine avait mal au mains. Les sacs commençait a être lourd. Ils étaient proche de chez eu, il prit son mal et continua.

Lorsqu'elle sortie dehors, elle ferma les yeux un instant et profita du soleil qui chauffait lentement sa veste. Elle ouvrit les yeux et commença a marcher a la suite d'Antoine. Elle respirait lentement, profitant de l'air frais du dehors, profitant du fait que très peu de gens les remarquais. Elle arriva a la hauteur d'Antoine et monta la tête pour ne pas foncé dans rien ou personne. Son capuchon glissa lentement sur ses épaules. Yamina le laissa comme ca, bien que ce n'était pas du tout de son genre.

-Je viens...Mon ancienne maison...se trouve a environs...5 ou 7 kilomètre d'ici...Je ne sais pas exactement la distance, mais...je sais parfaitement où elle se trouve mais...

Elle baissa la tête, ferma les yeux pour empêcher les larmes de couler

-Je ne crois pas qu'elle soit encore là...

Ayant honte d'elle même, elle leva la tête et empêcha les larmes de couler. Ainsi, vu qu'aucune larme ne s'était pointer, surement Antoine ne s'en renderais pas compte... Elle fit un faible sourire puis se tourna lentement vers Antoine. Elle l'observa un moment, puis baissa les yeux marcha , regardant droit devant elle, espérant arriver bientôt et être enfin seule, enfin presque, dans le sens ou aucun inconnu ne les dévisagerait...

( Suite Appartement d'Antoine )