Chez moi, Enfin!! ^^

Lorsque Yamina entra dans l'appartement d'Antoine, elle baissa légèrement les épaules, que ceux ci était crispé par la nervosité. Elle passa une main légère dans ses cheveux, puis observa longuement l'étagère de livres. Elle fut contente que son livre s'y retrouve. Elle suivit Antoine dans sa chambre, puis lorsqu'elle vut les tableaux de sa mère, une tristesse l'envahit aussitôt. Comme si Antoine n'existait plus, elle s'avança lentement vers l'un deux. Elle posa un doigt léger dessus. La peinture représentait une petite fille, vêtu d'une robe légerte verte pomme. La jeune fille devait avoir environ 5 ans, et elle abordait un sourire bienheureux sur son visage. Derrière, l'on voyait s'étendre a gauche un champs de grande fleur et de petits arbustes de fruit, une grand étendue d'herbe puis a droite complètement, 5 ou 6 arbres touffu. Derrière la jeune fille se tenait un petit banc de pierre... Les cheveux noirs de la jeune fille arrêtait a ses épaules, lisse et soyeux. Yamina, visiblement troublé, recula de quelques pas et , sans quitter les yeux de la peinture, répondu a Antoine

-C'est...Le tableaux de...ma mère...Et..C'est moi...Et..Le jardin...De mon ancien manoir...

Elle avança, puis mit le doigts sur un petit buisson de framboises

-C'est a cause de ce foutu arbuste de framboises...Que j'ai pas pu partir avec mes parents...

Une larme coula sur sa joue, suivit d'une autre. Elle ferma les yeux, puis une foule de scène se déroula sous ses yeux. Ces framboises, ce ver de terre...Puis, le feu... Elle ouvrit les yeux, puis baissa ceux ci au sol

-Brulé...Tout est parti en fumée...Et si...je les avais suivit a l'intérieure...Je serais parti avec eux...

Une autre larme coula sur sa joues, mais elle l'essuya rapidement avec sa manche

-Désolé...

Elle baissa son regard au sol, puis se retourna, n'ayant pas le courage de regarder une fois de plus la peinture. Elle se souvenait, de cette chaude journée d'été , où elle avait posé pour sa mère...

Yamina fut terriblement honteuse d'avoir pleuré devant lui. Lorsqu'Antoine la serra dans ses bras, Yamina se permit de sentir son parfum...Un parfum a la fois si doux , mais si présent...Ce parfum rappelais légèrement la noisette, mais en plus doux... Elle ne le fit pas remarqué, mais elle trouvait ce parfum exquis...Lorsqu'il la fit reculer, elle baissa les yeux au sol, ne pouvant pas baisser la tête a cause de la main d'Antoine. Son parfum naturel ressemblait donc a la noisette...Tous respirait en lui cette odeur particulière...
-Je...Peut-être...Mais, si je serais parti avec eux, personne ne se serait soucier de ceci, et la vie aurait suivit son cours quand même...Et de toute façon...Peut de gens ont lu mon livre...
Lorsqu'il fut allusion a ce qu'il ne se rencontre jamais, elle n'avait pas tout de suite répondu a cette remarque. Elle baissa les yeux pour regarder la main qui se tenait sur son épaule. Il y avait bien longtemps qu'on l'avait touché volontairement de la sorte..Dans le temps de ses parents...Elle sécha rapidement ses yeux, puis s'autorisa un trente seconde pour regarder Antoine dans les yeux. Ses yeux...Ses yeux était d'une belle couleur, couleur de..blé. Elle regarda ses cheveux bleu foncé qui bordait son visage fin. Surement s'était-il fait teindre les cheveux en bleu foncé...?
-Pour moi, la vie comporte très peu de joie...
Elle baissa a nouveau ses yeux au sol, n'étant pas habitué de regardé ouvertement quelqu'un de la sorte. De ses yeux bleus profond elle observa longuement le sol,comme si il l'interresait réellement. Elle profitait du parfum si doux d'Antoine, très suptilement certes pour ne laisser rien parraitre, car cela aurait été de la plus pure impolitesse...Alors, sans laisser absolument rien parraitre, elle laissait le parfum de noisette légèrement plus doux envahir ses narines lentement, observant le sol

-Dans la vie, il toujours des affaires qui apporte le bonheur. Comme marché et regardé les oiseaux. Parlé avec des amis. Joué à des jeux vidéo. Avoir des idée pour écrire des livres. Tous sa est un peux de bonheur, dans une vie si infâme.

Antoine trouva que son regard ressemblait a celui de sa sœur, quand il s'occupait d'elle. Il prit les mains de Yamina et lui dit:

-Bon je vais aller faire a mangé, je commence avoir faim.


Le maniac de jeux vidéo se retourna et partit vers la cuisine. Rendu au comptoir, il déballa ces sac d'épicerie et sorti des vers de vins. Il sorti les bouteilles et en ouvrit une. Il servi deux vers et en offrit un a Yamina.

-Prené, un bon vers de vin fait toujours du bien, quand on a le moral a zéro.


Le jeune homme se retourna et alla préparé le stock. Il sorti les poêles, les chaudron et tous se qu'il allait avoir de besoin. Il commença à mettre de l'eau chaude dans un de ses chaudrons, le mit sur le feu et l'alluma. Ensuite il mit du beurre dans une poile et la mit sur le feu aussi. Quand le beurre commença à fondre, il mit la viande, qui avait coupé en languète préalablement et la fit rôtir. Il mit les nouilles par la suite, dans l'eau qui était bouillante. En attendant que tout sois cuit, il alla se reversé du vin. Il avait déjà fini sa coupe. Il se retourna et vit que Yamina le regardait. Il trouva sa drôle, elle était mignonne comme tous. Il passa a coté d'elle et alla se servir un vers. Il se retourna et dit:

-Bon, tout est en préparation, il reste juste à attendre. Alors tu est écrivainne comment est venu cette idée d'écrire des livres.

Yamina se dirigea vers le salon, puis regarda Antoine partir dans la cuisine. Lorsqu'il revint avec une coupe de vin, elle l'a prit entre ses doigts, puis le regarda partir de nouveaux. Elle sentit le liquide, puis porta le verre a ses lèvres. Lentement, elle leva le verre et fit couler le liquide dans sa bouche. Goutant lentement, elle retira le verre de sa bouche. C'était plutôt bon. Voyant qu'Antoine ne revenait pas- Surement cuisinait-il-, elle se permit de s'assir sur le sofa. Elle regarda tout autour d'elle, ne sachant que faire. Elle but une deuxième gorgée de vin, puis une troisième. C'était même très bon...Légèrement fruité... Elle observait la décoration, observait les peintures au mur, comme pour essayer de trouver une autre peinture de sa mère.
Enfin, Antoine revint, le temps qu'il fut partit sembla durer une éternité pour Yamina. Elle se permit de le regarder franchement, de l'observer, de pouvoir impregné son image dans sa tête... Son coeur battait plus fort que d'habitude dans sa poitrine. Pourquoi donc ? Elle baissa la tête, avala une autre gorgée de vin, puis entendit la question d'Antoine

-Ce n'est pas une idée qui m'est venut...Dans le sens ou mon père était écrivain, il a d'abbord été mon idole, car depuis toute petite j'ai des histoires qui trottent dans la tête... Et puis...Maintenant, je transmet mes histoires sur papier...J'ai juste eu un coup de chance qu'un éditeur veuillent bien prendre mon livre...

Elle releva la tête, le regarda un peu, puis baissa les yeux pour fixer le mur. Elle était a la fois mal a l'aise et heureuse, stressé aussi... C'était la première fois que, depuis la mort de ses parents, quelqu'un s'interressait vraiment à elle, c'était la première fois que quelqu'un lui disait qu'elle était belle, c'était la première fois que quelqu'un l'invitait chez lui... Yamina commença a avoir chaud, le revers de sa veste étant en fausse fourrure de mouton.Ses joues prirent doucement une teinte rosé. Mais elle n'osa pas enlever sa veste, par timidité...Mais peut-être tout a l'heure...Si elle aurait vraiment trop chaud...Mais pourtant, sa veste, c'était comme quelque choses pour se protégée, pas d'Antoine, mais du monde en particulier, de tous ce qu'il offrait de cruelle. C'était en quelques sortes une protection pour se cacher au reste du monde, et l'enlever alors que quelqu'un était là...Elle n'aurait jamais fait ca...

Antoine leva le verre de Vin et le porta a sa bouche. Il ouvrit les yeux et remarqua que Yamina avait chaud. Il déposa le verre de vin et alla se posté derrière elle.

-Laisse moi ôté se manteau, tu dois avoir chaud!

Antoine prit la veste par le collet. Il descendit tranquillement, tout en lui effleurant les bras. Antoine avait chaud il voulait faire comprendre qu’il était intéressé par cette sublime femme. Quand il eu fini de l’ôter il alla le placé sur le cintre a l’entrer de la porte et revint. Elle était magnifique. Il remarqua que son verre était vide. Il prit la bouteille de vin et alla la servir. Le jeune homme alla s’assoir sur le divan et l’invita à venir.

-Alors, ta famille est morte! Toute mes condoléance. Pas du être facile pour toi. Moi aussi j’ai eu une enfance pas très facile ma petite sœur était toujours malade et mes parent était toujours parti, alors ces moi qui s’occupait de ma sœur. Je n’ai jamais sorti de ma maison et l’année dernière je suis venu ici faire un voyage. J’ai découvert qu’il avait d’autre personne qui avait la même maladie que ma sœur. Il y a un établissement pour cette personne qui on cette maladie, mais d’après moi c plus une malédiction ces que les autre personne qui a cette maladie son tous de ma famille. Éloigné mais de ma famille. Fac quand je suis rentré chez moi, j’ai dit a mes parent que j’avais trouvé un place ou ils pourront s’occupé de ma sœur. Sa fait 2 semaine que je suis revenu dans merveilleux pays et je t’ai rencontré. Voila ma petite vie sans aucune importance. Et toi quelle est tes aventure?

Son verre était encore vide et celui d Yamina aussi, il se leva, alla chercher la bouteille, se versa un verre et alla remplir celui de Yamina. Il s’assit et attendit qu’elle veuille bien lui raconté son histoire.

Yamina fut d'abord surprise qu'Antoine lui ai enlevé sa veste. Elle sentit un long frisson lui parcourir les bras puis contaminer son dos lorsqu'il frola son bras. Elle rougit , puis braqua ses yeux au sol. Ses mains était chaude, mais pas moite. Juste chaude... Elle passa une main dans sa nuque,ce qui ressembla presque a un tic tant c'était fait rapidement et futivement, bien que ce n'était pas quelques chose de laid ou de disgracieux, juste...spéciale... Elle baissa les yeux sur son chandail: un chandail a manche longue noire, un léger décolté. Son chandail glissait sur ses hanches et lui arrivait à mi-cuisse sur ses pantalons noirs. Son collier , qu'elle avait jusqu'au par avant caché, étant maintenant visible: sur une lanière de cuir pendait une croix orné de motif celtique. D'un main rapide, elle l'attrapa et mit la croix de fer incrusté d'émeraude sous son chandail. Elle sentit le métal froid reposer sur sa poitrine, juste un peu plus haut, et souris furtivement,sourire qui disparut aussitôt. Elle reprit son verre entre ses doigts , puis, un peu mal a l'aise, alla s'asseoir à côté du jeune homme alors qu'il l'invitait.

Elle écouta attentivement ses propos, Antoine racontant sa vie brièvement. Elle lui sourit, bien qu'elle eut trouvé la première phrase assez directe. Raconter sa vie...? Elle eut le gout de lui dire de lire son livre,mais, par pur politesse, elle lui raconta sa vie, visiblement encore gené, mais peut-être un peu moins que lors de la rencontre avec Antoine à la librairie.

-Ma vie...? Elle...Elle n'a rien d'interressante...Je...Mon père était écrivain, ma mère peintre...J'ai vécut les premières années de ma vie dans un magnifique manoir...Puis...Le manoir a prit en feu...avec mes parents a l'interieur...J'ai ensuite...été relégué a une tante éloignée..À 17 ans...J'ai eu l'héritage de mes parents..Et je me suis acheté un appartement à environ 1 km du centre-ville...Et..J'ai maintenant sortit un livre...Ma vie n'est pas très interressante...

Elle baissa la tête, puis réussit à esquisser un timide sourire, observant l'appartement d'Antoine. Furtivement, elle jetait des regards vers Antoine. Il était...Il était si beau...Yamina ne s'était jamais interressé au homme vraiment, elle ne les avait jamais vraiment regardé. Mais Antoine était...si beau. N'était-ce pas le plus beau jeune homme qu'elle ait rencontré? Surement...Mais peut-être pas...Elle ne faisait pas atention, elle ne faisait attention qu'a ne pas se faire remarquer, passer en douce, ne déranger personne, ne bousculer personne. Elle passa une fois de plus une main sur sa nuque puis porta la coupe à ses lèvres, faisant glisser une gorgée du liquide entre ses lèvres entrouverte

Antoine écouta son histoire. Il trouva qu’elle été très triste. Une petite fille qui se retrouve toute seul. Antoine était triste pour elle. Il la vit baissé la tête, avec son index et son pouce il leva sa tête. Elle était trop mignonne. Il lui dit :

-Toute vie est passionnante, je suis sur que chez votre tante c’était pas toujours rose.

Il sentit que son repas était près. Il s’excusa et se leva.

Rendu dans la cuisine, il éteint c rond de poêle et ôta ses chaudrons. Il prit deux assiettes et plaça la nourriture à l’intérieur. Il l’apporta sur la table de la cuisine, alluma les chandelles et apporta l’autre bouteille de vin. Il alla dans le salon et dit :

-C’est près on peu mangé.

Il tira la chaise de Yamina. Elle s’assit dedans. Il fit le tour de la table et fit la même chose. Il ouvrit la seconde bouteille et se reversa un verre de vin et fit la même chose avec le verre de Yamina. Il commença a mangé, il prit la fourchette et prit une poigner de macaroni. Il l’a porta a sa bouche et mâcha. C’était délicieux. Il but une gorgé de vin pour faire descendre les macaronis et commença :

-Avez-vous d’autre occupation que d’écrire?

Il reprit un bouché et attendit qu’elle parle. Elle était ravissante, elle était timide et sa Antoine aimait bien. Il avait un sentiment qui commençait apparaitre en lui, il ne savait pas ce que c’était, mais il se sentait bien quand il était avec Yamina. Il avait jamais ressentit sa pour une femme, c’était la première fois qui ressentait cette étrange sentiment.

Alors qu'Antoine lui levait les yeux, elle plongea ses yeux bleu dans ceux d'Antoine , admirant ses petites pupilles noirs, ses yeux couleur de blé, les petites imperfections qu'il pouvait y avoir dans ceux ci... Mal a l'aise, elle détourna les yeux. Elle lui sourit vaguement lorsqu'il partit dans la cuisine. Yamina le regarda partir, puis revenir pour lui annoncer que c'était près. Elle le suivit dans la cuisine et s'assit sur la chaise qu'il avait tiré. Elle fut capable de garder son sourire, une certaine timidité s'étant envolé. Elle regarda les macaronis dans l'assiette puis attrapa sa fourchette et plongea celle ci dans le met, éprouvant une certaine gêne de manger devant quelqu'un. Elle porta la fourchette à sa bouche et goutta aussi longtemps qu'elle put, avalant les derniers reste de la bouchée

-C'est...Très bon! dit-elle avec un sourire qui parut franc, le seul qu'elle eut vraiment fait.

Elle garda l'ombre d'un sourire , puis regarda son verre de vin. Elle le prit entre ses doigts puis but une gorgée.

-D'autre occupation?...Pas..vraiment...Je suis quelqu'un de...très...trop banale...J'aime...marcher dans les rues...Je peux faire ca toute une journée entière...Sinon...Je magasine..Ou je lis...Je tue le temps jusqu'a ce que...

Mais elle ne finit pas sa phrase...Elle n'osait pas.. Enfin, elle la finit, seulement, pas comme elle pensait , pas comme s'était formulé dans son esprit.

-Jusqu'a ce que je trouve quelques choses à faire...

Elle baissa les yeux sur son repas et prit une autre bouchée, consciente qu'elle ne parlait que ..d'elle en fait...Elle s'empressa donc de poser une question au sujet d'Antoine

-Et to..vous, Antoine, vous faites quoi comme...passe-temps?

Elle allait dire tue-temps..Mais elle s'était retenue.Pourquoi donc ce mot revenait sans cesse?

Elle fut soudain prise d'une douleur furtive au niveaux du bas ventre, une douleur qui n'était pas désagréable, une drôle de sensation, qui disparut aussi vite qu'elle fut apparut. Cependant, elle la sentit de nouveaux, comme plus présente, par contre aussi futive et rapide, brève mais présente. Était-ce...Était-ce...le..le..lll..lle..dé..s..ir..? Yamina refusait de dire ce mot , même dans son esprit. Elle bagayait à elle même lorsqu'elle pensait à ce mot... Le...Désir..? Éprouvait-elle du...désir...envers Antoine? Le charmait-elle...à ce point? Tant...que ça? La furtive douleur repassa dans son bas-ventre, comme pour aquiescer ses pensée. Mais..Elle ne pouvait pas...C'était...Surement Antoine avait eu pitié d'elle..Mais pourtant..Il semblait s'interresser..enfin...plus que tous les autres, à elle..En même temps...Peut-être qu'elle se trompait? Peut-être ... elle n'avait jamais vécu cela, ne prenant la peine de regarder personne... Le Désir... Ca portait quelques chose d'attirant...Mais d'extrêmement gênant...
Sans vraiment s'en rendre compte, elle avait légèrement rougis. Essayant de parraitre normal, elle mangea une autre bouché de macaronis et regarda Antoine, esquissant un timide sourire

Antoine venait de prendre un bouché de son macaroni et bu va un gorgée de vin. Elle lui posa comme question:

-Et to..vous, Antoine, vous faites quoi comme...passe-temps?

Antoine fit tourner le vin dans son verre tout en pensant a cette question. Il fessait pas grand chose comme passe temps. Il dit:

-Je joue au jeux vidéos, j'adore les jeux, mais j'aime mieux lire ou aller me détendre dans un bon bain chaud avec un livre^^. Ensuite j'aime me promené dans un parc tout en regardant les passants et je m'imagine se qu'ils font dans la vie.

(Quelque temps après)

Antoine avait fini de manger. Il se leva, desservit la table, alla porté sa dans la cuisine et revint. Il remplit son verre et celui de Yamina. Il tira sa chaise et la prit par la mains et l'aida à se levé. Il l'invita au salon. Il alla vers sa collection de DVD et se retourna il s'avança vers Yamina et lui demanda.

- Est-ce que sa te tante de regardé un film? Si oui je choisi le film^^.

Antoine venait de remarqué qu'elle avait les joue rosé, Il se dit que c'était sûrement du a l'alcool. Elle était vraiment belle et sa timidité l'excitait encore plus. Quand elle leva sa tête pour lui répondre il regarda ces yeux. Il se noya dedans. Il était captivé par ces yeux, inconsciemment il se rapprocha d'elle posa sa mains derrière sa tête et l'embrassa. Il recula, il venait de l'embrasser, il s'en voulait tellement, elle voudrai sûrement partir. Il la regarda dans les yeux ces même yeux qui l'avait fait fléchir elle était trop belle il avait pas put se retenir et il le regrettait.

- Je suis désolé, je ces pas ce qu'il ma prit de faire sa. Si tu veux partir, je te retiendrai pas.

La 'sensation' se faisait de plus en plus souvent. Yamina était intimidé par cette chose qui se manifestait en elle, cette nouvelle sensation. Elle eut bien vite finit ce qu'elle avait dans son assiette, essayant de se concentré sur ce qu'elle avait à manger. Elle écouta la réponse d'Antoine avec attention, mais ne vit rien à répondre. Elle fut soulager lorsqu'Antoine se leva , enfin..en quelques sortes... Elle attendit son retour et lorsqu'il revint, il lui tendit la main. Timidement, le rosé lui montant au joue, elle la prit. Ce contact.. Si doux.. Cela faisait...En fait, jamais elle n'avait touché la main d'un homme. À cette pensée, elle rougit plus que tout. Ce geste avait quelque chose de très personnel... Elle se leva, puis le suivit dans le salon. Lorsqu'il lui lâcha la main, elle fut un peu décut, bien qu'elle le cachait très bien. Un film..? Pourquoi demandait-il à Yamina de faire un choix ? Elle était la plus indécise du monde, et n'importe quel film l'aurait interressé, car..Elle aurait pu être à ses côtés. Cette pensée la surpris beaucoup. Une pensée de la sorte venant d'elle ? Elle n'avait jamais eu de copain, jamais de relation intime avec un homme, elle n'avait même jamais eu d'ami d'homme, d'ami tout court en fait... Ce contact en ce moment lui faisait du bien, ce qui la surprit.

-J-je ne s-s-sais pas...N'importe quel film..

Elle avait un peu bégayer, juste un peu..Elle sentait son coeur se serré dans sa poitrine et des vagues de désir lui emplissait le bas ventre, devenant de plus en plus présente. Elle était là, debout, à regardé un homme, qui, aussi invraisemblable que cela pouvait parraitre, l'attirait fortement. Elle s'était même obligé à le regarder, bien qu'elle fut extrêmement gêné par son audace. Soudain, elle sentit Antoine s'approcher d'elle, elle le vit. Sans qu'elle ait pu faire quoi que ce soit, il placa une main sur sa nuque- oh..une maine douce et chaude...si ..agréable- et l'embrassa. Il l'embrassa. Il l'embrassa...C'était son premier baiser...Elle ne savait pas comment s'y prendre, se laissant guider par la langue d'Antoine. Ses joues était viré au rouge de feu, mais comme elle aimait ce baiser..Une foule d'émotion se bousculait dans son coeur sans qu'elle puisse les identifiers vraiment...Lorsqu'il se retira, elle regarda prestemment le sol, terriblement gené, goutant encore Antoine entre ses lèvres.. Partir..? NON! Non..Elle ne devait pas partir..non..non...

-Non..Je ne veux..vais pas partir...

Elle avait parlé un peu plus fort qu'elle l'avait prévu. Ce baiser avait aussi enchainé la sensation de désir, plus fort que jamais. Elle sentit un liquide couler dans son entre-jambe... En fait...Ce jeune homme...l'excitait... Elle avait honte d'elle même..Mais en même temps, Antoine semblait l'aimer..Mais peut-être n'étais-ce que parade ?

-Vous n'avez pas à..vous excusez.... J'ai..b-b-b-bien...a-ai-ai-aimé..

La voila au comble de la timidité. Elle avait affreusement begayé, elle était affreusement embarassé, mais...Ce jeune homme l'attirait profondément...Mais..Il...l'excitait aussi profondément..Elle sentit encore ce liquide couler dans son entre jambe, accompagné d'une vague au bas-ventre. Que devait-elle faire, nom de dieu ? Jamais elle ne s'était retrouvé dans pareil situation..Elle aurait bien voulut monter à ce jeune qu'elle l'aimait beaucoup et qu'à cause de lui, elle sentait le désir monter en elle, mais elle ne savait pas comment s'y prendre, elle n'avait jamais fait ca du tout... Elle aurait bien aimé l'embrasser de nouveau, mais elle était trop timide. Elle aurait aimé sentir son odeur, le gouter de nouveau...Découvrir..son corps... Elle ne savait plus quoi faire, fuyait le regard d'Antoine, regardait un peu partout, ses pieds, les alentoursé.... Elle sentait même le gout de pleurer, se trouvant intimidé, ne sachant que faire. Pour le moment, elle ne put qu'espérer et prier pour qu'Antoine comprenne, l'embrasse de nouveaux...Et peut-être..Elle s'interdisait à le penser, elle avait affreusement honte d'elle même, mais peut-être...pourraient-ils aller plus loin...

Yamina était enivré par toute ses baisers. Que de sensation nouvelle, mais certe...Tellement agréable ! Le baiser que lui donna Antoine la fit frissonner, mais elle put enfin gouter à nouveau Antoine. Elle sentait son odeur épicé, son odeur qui lui faisait tourner la tête. Elle sentit sa main sur sa taille, et en fut terriblement joyeuse. Sa main allait et revenait doucement sur sa taille, que de sensation si douce, si agréable... Elle ne savait pas quoi faire avec les siennes, ainsi en posa-t-elle un timidement sur la nuque de ce jeune homme , sentant ses cheveux sous ses doigts. Des cheveux soyeux, des cheveux doux. Elle sentait l'excitation montait en elle rapidement. Lorsqu'Antoine lui dit qu'il l'aimait passionnément, elle sentit une joie plus que grande envahir tout son être, jaillissant par les orifices de sa peau. L'aimait-il vraiment ? Cela faisait à peine un jour qu'elle le connaissait ..Mais.. Elle en avait envie.. Elle sentit ses baisers déscendre dans son cou, puis frissonna. Il remonta rapidement et l'embrassa passionnément. Encore, une tonne de sentiment vinrent boulversé son être. Elle sentait le désir monter de plus en plus vite... Elle se sentit poussé vers l'arrière et Antoine la coucha sur le divan. Elle était timide, certe, mais tout d'un coup, elle se sentait différente. Aimé, oui, elle se sentait aimé. Elle n'avait jamais été aimé depuis un long moment, depuis que ses parents était mort en fait.. Et peut-être que le fait d'être aimé lui redonnerait confiance ? Elle se laissait faire, sentant les baisers de plus en plus insistant déscendre dans son cou. Antoine eu même l'audace de descendre jusque dans son décolté. Elle frissonna de désir. La pointe de ses seins était dure, et si jamais elle n'aurait pas porté de soutien-gorge, Antoine l'aurait tout de suite remarqué. Elle sentait le corps d'Antoine frotter contre le siens, l'emplissant de joie, mais aussi de désir. Encore, elle sentit le liquide couler dans son entre-jambe, elle sentait cette sensation, autant dans son bas ventre que dans son entre-jambe... Peut-être Antoine allait-il trop vite? Non... Elle en avait envie, et rien ne l'empêcherait cette fois ci, pas même sa foutu timidité maladive. Elle sentit Antoine se frotter contre lui, et elle crut sentir quelque chose de dur dans son pantalon. Un autre accès de cette sensation ,plus longue, plus présente. Elle ne put retenir un timide soupir, soupir dans lequel l'on sentait tout son désir qui augmentait rapidement. La main d'Antoine caressait sa jambe, et, s'en vraiment s'en rendre compte, elle avait écarté un peu plus les cuisses, comme l'invitant...

-Non...Non...Continue..

C'était comme si quelqu'un d'autre avait prononcé cette phrase. Ce n'était plus la Yamina fort timide, mais bien une Yamina déterminé. Elle sentait le désir plus fort qu'elle ne l'avait jamais senti- l'avait-elle réellement sentit ? - et elle sentait le liquide couler , du à son excitation... Cette autre Yamina, déterminé et presque sur d'elle, embrassa doucement le cou d'Antoine qui était près de sa bouche. Elle goutait Antoine..Elle l'embrassa une deuxième fois dans le cou, passant brièvement sa langue sur la peau douce de ce jeune homme

Avant qu'elle lui dise de continué, elle avait déjà commencé à écarté les jambe. Après qu'il aille eu le ok de Yamina, il commença a lui caresser a l'intérieur de la jambe. Il se laissa embrasser dans le coup. Ces douce lèvres sur sa peau le fit frissonner. Ces lèvres qui aimait, ces lèvres qui appartenait à la personne qu'il aimait plus que tous. Il sent i les mains de Yamina frotté dans le dos. Il se colla contre elle et l'embrassa dans l'encolure de l'épaule. Il remonta sa mains qui était sur la jambe et remonta vers les sein de Yamina et commença a massé le sein gauche. Il sentit que le bout était dur, elle était vraiment excité. Quand il commença à le massé il entendit Yamina gémir, ce qui dit a Antoine de continué. Tout en descendant dans son coup pour aller dans son le décolleté, Antoine descendit la mains, qu'il avait sur le sein et alla commencer a ôté le chandail. Il était tout excité son membre a jamais été aussi dur. Il continua a ôté le chandail de Yamina en fessant apparaitre son nombril. Il descendit au nombril et commençais a lui embrassé tout en montant avec le chandail rendu a la hauteur des sein il commença a lui bécoter le bout des sein. il remarqua la couleur rouge avec de la dentelle. Il eu une drôle de réaction, il leva la tête et dit

-Beau soutif sa m'excite encore plus.^^Il recommença a lui caressé les seins et les embrassé.

Il arrêta tout a coup et se mit sur ses genoux. Il regarda Yamina, elle était toute en sueur et respirait fort ce qui avait pour réponse qu'elle était excité. Il ôta son chandail montrant son torse nu en sueur. Il redéposer les yeux vers cette femme qui aimait tant elle était magnifique, il ne cru jamais qu'elle voudrai sortir avec lui. Il était pas sur si elle voulait continué mais vu qu'il était gentleman il lui demanda:

-Tu es sur de vouloir continué ma douce?

En sentant la caresse d'Antoine à l'interieur de ses cuisses, elle se cabra légèrement. Elle ne put retenir un autre soupir. Elle sentait que sa peau commençait à devenir humide, légèrement. Cette sensation de désir l'enivrait pas que tout, elle l'adorait... La main d'Antoine qui caressait sa jambe remonta lentement pour aller..sur ses seins! Yamina se sentit rougir légèrement, mais oh, qu'elle aimait cette sensation! Elle ne put retenir un gémissement de plaisir. Le bout de ses seins pointait, plus dure que jamais, le liquide coulait sur sa petite culotte qu'elle sentait humide. La main quitta sa poitrine -oh désespoir!- pour se frotter contre ses reins. Elle sentit son chandail relevé, et elle fut parcourut d'un long frisson. Bientôt, son chandail fut complètement enlevé. Elle sentit les baisers insistant sur son ventre. Sa respiration se faisait maintenant plus forte, plus rapide. Elle sentit les lèvres d'Antoine embrassé sa poitrine qui n'était pas caché par son soutien-gorge. Elle se cabra légèrement, puis fit un simple sourire à la remarque d'Antoine. Elle planta son regarda dans le sien, puis le regarda, à regret, se mettre à genoux- un genoux de chaque côté d'elle-. Mais ce regret ne dura pas longtemps. Elle le regarda , lueur de désir au fond des yeux, enlevé son chandail. Et c'est ainsi qu'il dévoila son torse, maintenant nue, luisant d'une fine couche de sueur, dévoilant des muscles magnifiques. Ce jeune homme était beau, magnifique, excitant... Si elle voulait continuer ? Nom de dieu, bien sur qu'elle voulait continuer! Plus que tout , en fait... Pendant un moment, qui lui parut bien long en fait mais qui ne dura qu'une seconde ou deux, elle ne sut que faire ni que dire. Que devait-elle faire, au juste ? Devait-elle prendre, elle, Yamina Fukashigi, atteinte de timidité presque maladive, des initiatives ? Devait-elle en prendre, oui, devait-elle ? Oui..Et c'est ainsi que sur cette réflections d'à peine quelques secondes qu'elle se mit elle aussi à genoux devant Antoine. Elle rougit légèrement - plus qu'elle ne le voudrait -, puis passa une main sur sa nuque. Elle commença à l'embrasser, ses joues se tintant d'une douce couleur rosé. Elle colla sa poitrine contre le torse de cette homme. En sentant la dureté dans le pantalon d'Antoine, une vague puissante de désir l'assaillit , tellement puissante que sa tête lui tourna légèrement . Elle l'embrassa de nouveau, puis, suivant son instint, elle décidit pour embrasser le torse nu d'Antoine, déscendant jusqu'à la base de son pantalon, se trouvant presqu'à quatre patte. Elle remonta tout doucement, puis l'embrassa de nouveau. Elle se rendit soudain compte des initiatives qu'elle avait fait, puis rougit légèrement. Elle passa cependant ses bras autour du cou d'Antoine, puis lui murmurra à l'oreille

-J'en suis sur, Antoine, aussi sur que je suis sur que je te trouve....terriblement séduisant..Et aussi sur..Que ..Je..t-t-t'aime....

Elle rougit, puis attendit, oh, pas longtemps, quelques secondes tout ou plus ,qu'Antoine réagisse

Après ses mots Antoine n'eut pu de barrière il savait qu'elle l'aimait. Il se leva la prit par la mains et l'emmena dans sa chambre. Rendu dans la chambre il se tourna et embrassa cette femme qui lui avait qu'elle l'aimait. Il recula pour allé se couché sur son lit. Il se laissa tombé avec Yamina dans ses bras. Elle se retrouva par dessus lui. Il continua a l'embrassé et commença a détaché son soutien-gorge. Il avait pas de misère car des fois pour sa soeur il l'aidait a ôté le sien, c'était presque rendu un automatisme chez lui. Il lui ôta, il vu c deux magnifique sein qui était pas trop gros pas trop petit juste correct comme il les aiment^^. Il commença a lui léché. Il lui donnait des petit coup de langue sur les bout qui était devenu vraiment dur, lui suçotait, levait descendait ses bout qui était devenu très dur. il l'entendit gémir. Il remonta jusqu'à sa bouche et l'embrassa. Il se retourna avec elle dans les bras, la ses lui qui est au dessus. Il commença a descendre, recommença a lui mordillé les seins. Il commença a détaché les pantalon de Yamina. Il commença a lui descendre le pantalon tout en descendant avec ses baiser. Il était rendu a la hauteur de sa petite culotte elle était toute mouillé se qui prouve a Antoine qu'il est très bon^^. Il réussi a ôté le pantalon et commença a embrasser la petite culotte de Yamina ou que c'était humide. elle commença a sagitté, Antoine prit deux de ses doigts et commença a les frotté dans l'entre-jambe de cette femme qu'il adorait. Il alla a l'oreille de Yamina, tout en continuant de lui frotté son entre-jambe et dit:

-Tu aime sa quand je fait sa, ma chérie?

Yamina le suivit jusque dans sa chambre, sentant le désir monter en elle. Une fois dans la chambre d'Antoine , il l'embrassa de nouveau, encore une fois elle sentit tout ses sentiment se bousculer en elle . Il la poussa sur le lit, elle étant par dessus lui. Il l'embrassait passionnément, Yamina y prenant aussi part. En sentant les mains d'Antoine s'en prendre à l'agraffe de son soutien-gorge, elle frissonna. Elle regarda indifféramment le soutien-gorge rouge sang brodé de dentelle qui alla atterir au sol dans un bruit mas. Elle planta ses yeux dans ceux d'Antoine, allant jusqu'à l'embrasser dans le cou. En sentant sa langue sur la pointe de ses seins dur, elle gémit légèrement. Était-ce l'instint qui la guidait comme cela ? Surement, car c'était en fait sa première fois, ce qu'Antoine devait bien sur ignorer. Toute jeune femme de son âge devait déjà l'avoir fait plus d'une fois et pourtant, elle était en train de vivre sa première fois, plus excité que jamais.

Antoine changea de position, la mettant sur le dos, lui sur le dessus. Un peu dans la même position que quand il étais tombé sur elle à la librairie. Elle frissonna d'un désir ardent. Elle sentit ses mains douce et agile s'en prendre à son pantalon, ses lèvres embrassant ses seins et son ventre, descendant de plus en plus. Elle sentit son pantalon tombé par terre dans le même bruit sec que le soutien-gorge. Lorsqu'Antoine embrassa sa petite culotte, juste là ou elle avait mouillé, elle ne put se retenir un long gémissement, un peu plus fort que les autres, son corps se cabrant sous l'effet du désir. Elle sentit les doigts du jeune homme s'agiter sur son sexe brulant de désir. Sa respiration se faisait plus forte, sa poitrine se soulevait régulièrement sous sa respiration et les cabrements de son excitation. Le froissement des draps et sa respiration, mélangé à celle d'Antoine, devinrent les seuls bruits de la pièce. Lorsqu'Antoine lui demanda si elle aimait, elle ne répondit que pas un gémissement prolongé, montrant tous son désir. Mais Antoine...Antoine ne devait pas prendre totalement plaisir à leurs expérience. Dans un sourire presque pervers, elle se retira doucement, mouillant comme jamais, puis glissa ses mains sur la taille d'Antoine. Elle détacha son pantalon, puis le fit glisser lentement jusqu'à ce qu'il rejoingne ces propres pantalons. Elle découvrit alors des 'boxers' noir, moulant une bosse qui semblait vouloir défoncer le tissus. Cette vision la troubla, lui faisant tourner la tête. Devait-elle, en fait, pouvait-elle, enlever ce tissus qui la séparait de la vision qui ferait monter son désir au plus haut jusqu'à maintenant. Antoine couché sur le lit, elle se mit à embrasser son bas ventre, insistante. Puis, elle plongea ses yeux dans ceux d'Antoine, glissant un doigt entre son boxer et sa peau, juste de un ou deux centimètre, afin de lui faire comprendre qu'elle voulait enlever ce tissus genant

-Je peux?

Quand il vu que Yamina regardait son membre, Antoine envisageait le pire. Il s'imagina qu'elle allait se levé, prendre ses affaires et partir. Mais quand il la vit avancé une mains frêle vers son sexe, il était le plus heureux des hommes. Elle prit son sexe dur de désir et dévoila le bout. Il l'a vit qu'elle ouvrir la bouche et sortir la langue. Il revoyait le film trois x et se qu'il pansait à se moment là.

*Sa doit être vraiment bon se faire, faire ça. Je me demande qu'elle effet sa fait?*

A cette pensé son sexe devin plus gros, il venait de se regorgé de sang. LÀ; il savait qu'elle sensation que fessait de se faire effleurer, le bout, par la langue d'une fille.

La fine langue de Yamina lui caressa le bout de son membre. Un grand soupir sorti de sa bouche, sans se rendre conte, son corps se cabra. Elle recommença. Il pu retenir son désir et dit:

-Aaaaaaa, ses bon ma chérie, continu.

Quand elle mit son membre dans sa bouche, il crut explosé, son désir était au maximum. Elle allait de haut en bas. La chaleur de la bouche, la langue lui caressait le bout de son sexe, il approuva son geste par un long gémissement:

-Mmmmaaaaaa tu es très bonne ma douce continu. Aaaaaaaa oui. Aaaa Aaaaaa. Je t'aime Yamina plus que tout.

Plus que sa allait plus ses gémissement augmentait. Il adorait sa. C'était sa première fois, mais il croyait pas que c'était si intéressent.

Lorsqu'elle entendit Antoine gémir de plaisir , elle sentit le plaisir redoublé en elle. Elle fit les vas et viens de plus en plus rapidement, arrachant des gémissement de plaisir à son bien aimé. Elle commençait à y prendre gout, à aimer le gout de ce sexe brulant. Pourquoi fesait-elle cela , en ce moment ? Elle, qui , d'habitude si timide, osait à peine sortir de chez elle de peur de déranger quelqu'un , elle se retrouvait maintenant dans le même lit qu'un homme fort séduisant, entrain de visiter ses parties intimies. Était-ce le fait d'être aimé qui la rendait plus confiante en elle ? Ou le simple fait qu'elle était sous le simple effet de l'amour, du désir et de l'excitation? Elle en connaissait si peu..Certes, oui, elle avait eu des cours de sexualité au lycées, elle n'était pas ignorante sur les protections à prendre ou bien d'autre chose, elle savait bien sur comment ' faire des enfants' ou 'baiser', mais elle n'avait pas plus entendu qu'une ou deux images dans son enfance et entendu des paroles que les gens du lycée disait. Elle avait écouté, par simple soucis de savoir, mais en ce temps ce ne l'avait pas plus interressé qu'il fallait.

C'est ainsi qu'elle remonta doucement, par de doux baiser qui remontait sur son torse musclé, frottant en remontant sa poitrine sur son membre chaud. Elle vint l'embrasser passionnément, glissant sur sa langue, explorant sa bouche. Avait-il des protections? Oh...Cette question serait terriblement gênante à demander. Pourquoi devait-elle parler en cette situation? Elle l'embrassa dans le cou, puis, sucant un peu son lobe d'oreille, puis , faisant un effort surhumain, elle le lui demanda

-An..An-toine..Tu as des p-p-p-pro-pro-pro..protections...?

Elle baissa la tête ,se contentant de regarder le torse musclé de l'être aimé, ses joues virant au rouge, sa poitrine se soulevant de ses souffles rapides, sa petite culottes devenant mouillé de plus en plus vite. Qu'elle était gené! Terriblement mal à l'aise, les joues vinrant au cramoisi.

Quand elle commença à allé plus vite, Antoine cru qu'il était au 7eme ciel. Cette sensation lui montait a la tête, il était en extase. Quand elle arrêta, Antoine la regarda monté donnant des doux baisé sur son torse. Il senti les sein de cette douce femme effleuré son membre, plus dur que jamais. Elle alla l'embrasé sur la bouche, il la laissa exploré sa bouche avec sa langue. Quand elle lui mordilla son oreille, Antoine ferma les yeux.

-An..An-toine..Tu as des p-p-p-pro-pro-pro..protections...?

Ces a se moment qu'il ouvrit les yeux, tourna la tête et regarda Yamina, elle était toute en sueur, ses cheveux collé sur son visage et son dos. Elle était magnifique. Pour sa question, il se leva et alla près de sa commode. Ouvrit le tiroir et sorti une petit enveloppe rouge et blanc qui était marqué Trojan dessus. Il revint vers le lit et mit l'enveloppe sur son bureau de chevet. Yamina était couché sur le dos. Antoine savait pas a se qu'elle pansait. Lui; il la regarda, elle était a moitié nu, il lui restait juste sa petite culotte couleur de l'amour. Il embarqua sur le lit et se mit pardessus elle. Il commença a l'embrassé dans le coup, tout en défendant, il s'arrêta a la hauteur de ses seins, les caressa, mordis les bout qui était toujours dur. Après quelque seconde, il recommença à descendre. Il arriva enfin a la hauteur de la petite culotte. Il commença à embrassé la région humide. Il prit sa mains gauche et commença à descendre sa culotte. Elle était rasé. Antoine donna des baisé autour de se magnifique sexe rosé. Il écarta les lèvres et avança sa bouche et laissa sortir sa langue. Il effleura le sexe de Yamina avec le bout de sa langue. Il senti le corps de Yamina se cambré. Il continua commençant a mettre un doigt dans le sexe humide. Quand il le mit en Yamina, elle fit un petit cri de surprise, mais Antoine porta guerre attention à cette réaction. Il commença à faire des va et viens avec son doigt, tout en se délectant de se merveilleux sexe.

Il arrêta d'effleurer avec sa langue et commença avec son doigt, il leva la tête et dit:

- Tu a l'aire d'aimé sa ma chérie. Veux-tu vraiment continué?

Yamina regarda Antoine se lever et revenir avec une petite enveloppe rouge entre les doigts qu'il déposa sur le table de chevet. Elle frissonna, puis se coucha sur le dos, attendant son retour qui ne tarda bien sur pas. Elle sentit tout d'abord de doux baiser dans son cou, puis ses baisers descenderent sur sa poitrine . Elle gémit lorsqu'il en mordilla le bout ferme. Elle sentit ensuite ses lèvres sur son ventre plat. Antoine lui arracha un long gémissement lorsqu'il se mit à embrasser sa petite culotte. Son corps se cambra sous l'effet du désir. Elle frisonna lorsqu'elle sentit qu'Antoine enlevait sa petite culotte. Yamina se rasait par simple désir d'estéthisme sur son propre corps et ne pensait pas à la possibilité qu'elle serait peut-être dans le lit d'un homme un jour. En sentant la langue d'Antoine sur son sexe, elle gémit un peu plus fort jusqu'à maintenant. Divin, oui, cette sensation semblait divine. Elle fit un petit cri de surprise lorsqu'Antoine inséra son doigts dans son entre secret. Elle sentit une douleur passagère, qui dura une ou deux minutes. Cependant, la douleur partit passablement vite. Les vas et vent que faisait Antoine et sa langue effleurant son sexe était plus que divin.

Elle gémissait de plus en plus fort, essayant de se retenir mais n'y arrivant pas vraiment. Elle réussit à murmure un " Je t'aime " parmis ses gémissements de plus en plus fort , mais elle n'arrivait pas vraiment à parler en même temps, le désir et l'excitation étant trop forte pour faire autre chose que de gémir. Sentir le doigt d'un homme en elle était tout nouveau, sensation certes fort agréable. Lorsque sa langue partit, elle sentit comme une sorte de ' vide ' , mais son doigts le remplacait

-Oui...Antoine...Je veux continuer...En fait..Je t'en supplis...continue...

Elle ouvrit les yeux qu'elle avait fermé et regarda Antoine, se délectant des yeux de l'homme qu'elle trouvait très séduisant. Ses cheveux bleus foncé - elle devrait bien lui demander un jour si c'était une coloration ou pas...- et ses yeux blé- était-ce des verres de contact ? - lui donnait un charme fou. Elle rougissait beaucoup, pas seulement parce qu'elle avait chaud, mais parce qu'elle était terriblement gêné.

Après cette réplique, Antoine redescendit la tête allant rejoindre ses doigts. Il recommença à effleuré se petit lobe, qui donnait tant de plaisir à sa douce. Il essaya de mettre deux doigts à l'intérieur d'elle, mais l remarqua qu'il avait de la misère. Il se dit que c'était du surement aux muscles de Yamina qui, d'après lui, était encore trop contracté, alors il continua avec un seul doigt, en espérant qu'il puisse en mettre deux.

Tout en continuant de faire des va et viens avec son doigt, il décida de remonté vers les seins. Il bécota son ventre, doucement mais sûrement il atteignit le sein droit, il entama en lui tétant les extrémité des mamelon, qui était plus dur que jamais. Avec sa mains gauche, celle qui était pas occupé a satisfaire Yamina, alla lui massé son sein gauche. Il avait chaud, la raison n'étant pour rien son calorifère, car il le mettait jamais. la raison étant que c'était sa première fois et qu'il ne voulait pas décevoir sa douce. Il y avait le fait aussi qu'il était excité plus que jamais dans sa vie même les film qu'il regardait ne lui avait donné autant d'excitation. Pendant ses nombreuse année qu'il savait satisfait tout seul et appris comment faire plaisir a une femme il l'avait jamais mit en pratique. C'était l'occasion rêvé. Alors tout en laissant son instinct le guidé il asseyait de se rappelé de se qu'il avait vu, à date son instinct et son éducation l'avait pas trahis. Yamina avait l'aire d'adoré ça.

Il passa sa jambe gauche pardessus celle de Yamina pour pouvoir continué a lui procuré du plaisir a son sexe et lui permettre d'allé l'embrassé. Il alla lui donné un simple bec et se dirigea vers son lobe d'oreille. Il avait toujours sa mains gauche, sur le sein, en train de le massé, l'autre en dedans du sexe de Yamina et sa bouche lui suçoté le lobe. Il réussi entre deux gémissement de Yamina, qui était rendu élevé, a placé ses mot:

-Ces toi qui décide. Te sens-tu prête à m'accuellir en toi?

Et il recommença à lui suçoté l'oreille en attendant la réponce.