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« Je cherche un appart et un job. Et à manger, vous avez ? »
Invité Mer 22 Aoû 2007, 1:16 pm
Être arrivé au Japon, c’est très bien, vraiment, c’était un grand pas en avant dans la vie de Azel. Maintenant qu’il y est, il essaye ( je dis bien essaye ) de se trouver un appart ( dormir dans la rue, c’est marrant cinq minutes, mais au bout d’un moment c’est saoulant ), et un job ( ça, c’est moins urgent ). Le truc bête avec Azel, c’est qu’il lit assez mal les kanjis et qu’il galère un peu, le nez plongé dans des journaux de petites annonces qui lui restent assez obscurs. Là, il est mal barré.
Présentement, Azel est assis à la terrasse d’un café, son chien couché près de sa chaise, son énorme sac rouge de voyage coincé sous ladite chaise. Il a une pile de journaux gratuits posée devant lui ( à côté de la limonade glacée qu’il a demandée au serveur ), et essaye d’en déchiffrer un avec grande difficulté. En fait, il est tellement nul à lire la langue d’ici que ça se voit de l’extérieur, à sa façon de plisser le nez d’un air paumé devant les signes qui ne lui évoquent pas grand-chose. Il essaye bien de se rappeler des leçons que Kaede lui avait vaguement dispensé quand il était au collège ( c’est grâce à elle qu’il se débrouille en japonais oral ), mais c’est trop demander d’effort à sa mémoire. Même son chien le regarde d’un air navré, couché au sol tête sur les pattes. De ses longs doigts, Azel attrape son verre de limonade, et boit le liquide à la paille, toujours concentré sur le journal.
Ca fait un moment qu’il traîne en ville sans habiter nulle part. Au début, il avait bien pris des chambres à l’hôtel, mais c’est que c’est pas gratuit, ces trucs-là. Maintenant, il a décidé qu’il ne craignait rien à dormir dehors ( le Japon c’est vachement plus sécurisé que l’Angleterre, hein ), vu qu’il est l’heureux propriétaire d’un énorme molosse prêt à prendre sa défense contre des agresseurs. D’ailleurs, Scie Sauteuse se redresse en gémissant, et en remuant faiblement la queue. Azel a l’habitude de lui répondre en anglais, à son chien ( Scie Sauteuse ne parle pas japonais ! ).
« Non, je ne joue pas avec toi tout de suite, je suis occupé là. Tu veux m’empêcher de trouver un appart ? »
Le chien pose sa grosse tête sur les genoux de son maître ( il doit baisser la tête pour faire ça, les genoux d’Azel sont très bas par rapport à sa tête ), l’air implorant. Le brun pose le journal sur la table du café, caressant les oreilles de son chien doucement.
« Evidemment, toi ça te gêne pas de dormir dehors, hein… Tu trouves même ça marrant… Figure-toi que le goudron est dur. »
Scie Sauteuse est aux anges, remuant de la queue en appréciant les caresses de son maître, lequel est plutôt pensif pour le moment. Il se dit qu’il faudrait vraiment qu’il tombe sur Kaede ( heureusement qu’il a pensé à lui envoyer son numéro de portable, et que ledit portable marche dans tous les pays… ). Encore faut-il que mademoiselle pense à l’appeler, et la connaissant, c’est pas gagné !
« On est paumé mon gros chien, mais j’espère bien te présenter Kaede un de ces jours ! »
Scie Sauteuse approuve d’un reniflement typiquement canin, puis se recouche quand Azel lui en donne l’ordre. On reprend les journaux. On essaye de déchiffrer les petites annonces. L’Anglais se fige en voyant une photo de voiture. Attends, il était pas sur la page des apparts à louer ? Hé, galère… Il pousse un gros soupir.
[ Pv Noam. ]
Présentement, Azel est assis à la terrasse d’un café, son chien couché près de sa chaise, son énorme sac rouge de voyage coincé sous ladite chaise. Il a une pile de journaux gratuits posée devant lui ( à côté de la limonade glacée qu’il a demandée au serveur ), et essaye d’en déchiffrer un avec grande difficulté. En fait, il est tellement nul à lire la langue d’ici que ça se voit de l’extérieur, à sa façon de plisser le nez d’un air paumé devant les signes qui ne lui évoquent pas grand-chose. Il essaye bien de se rappeler des leçons que Kaede lui avait vaguement dispensé quand il était au collège ( c’est grâce à elle qu’il se débrouille en japonais oral ), mais c’est trop demander d’effort à sa mémoire. Même son chien le regarde d’un air navré, couché au sol tête sur les pattes. De ses longs doigts, Azel attrape son verre de limonade, et boit le liquide à la paille, toujours concentré sur le journal.
Ca fait un moment qu’il traîne en ville sans habiter nulle part. Au début, il avait bien pris des chambres à l’hôtel, mais c’est que c’est pas gratuit, ces trucs-là. Maintenant, il a décidé qu’il ne craignait rien à dormir dehors ( le Japon c’est vachement plus sécurisé que l’Angleterre, hein ), vu qu’il est l’heureux propriétaire d’un énorme molosse prêt à prendre sa défense contre des agresseurs. D’ailleurs, Scie Sauteuse se redresse en gémissant, et en remuant faiblement la queue. Azel a l’habitude de lui répondre en anglais, à son chien ( Scie Sauteuse ne parle pas japonais ! ).
« Non, je ne joue pas avec toi tout de suite, je suis occupé là. Tu veux m’empêcher de trouver un appart ? »
Le chien pose sa grosse tête sur les genoux de son maître ( il doit baisser la tête pour faire ça, les genoux d’Azel sont très bas par rapport à sa tête ), l’air implorant. Le brun pose le journal sur la table du café, caressant les oreilles de son chien doucement.
« Evidemment, toi ça te gêne pas de dormir dehors, hein… Tu trouves même ça marrant… Figure-toi que le goudron est dur. »
Scie Sauteuse est aux anges, remuant de la queue en appréciant les caresses de son maître, lequel est plutôt pensif pour le moment. Il se dit qu’il faudrait vraiment qu’il tombe sur Kaede ( heureusement qu’il a pensé à lui envoyer son numéro de portable, et que ledit portable marche dans tous les pays… ). Encore faut-il que mademoiselle pense à l’appeler, et la connaissant, c’est pas gagné !
« On est paumé mon gros chien, mais j’espère bien te présenter Kaede un de ces jours ! »
Scie Sauteuse approuve d’un reniflement typiquement canin, puis se recouche quand Azel lui en donne l’ordre. On reprend les journaux. On essaye de déchiffrer les petites annonces. L’Anglais se fige en voyant une photo de voiture. Attends, il était pas sur la page des apparts à louer ? Hé, galère… Il pousse un gros soupir.
[ Pv Noam. ]
Invité- Invité
Re: « Je cherche un appart et un job. Et à manger, vous avez ? »
Noam Got Mer 22 Aoû 2007, 3:38 pm
Noam … Noam … Semblait un peu –voir même beaucoup, que voulez-vous- perdu. Anthony lui avait promis de venir le chercher après le lycée … Ouais bah que dalle. Le brun avait alors du remonter tout seul jusqu’à la pension. Cependant, il s’était perdu. C’est pour ça qu’il arriva dans une petite ruelle qu’il n’avait jamais vu et dont il ne remettra jamais les pieds. C’était trop horrible pour lui de se souvenir d’un chemin. En plus, dans cette ruelle, il faisait froid et Noam était vraiment pas habillé pour trainer dans ces endroits.
Il avait habillé son petit short moulant noir qui laissait voir sa peau bronzée et son t-shirt noir qui ne couvrait pas un petit ventre plat espiègle (O.o ?). Bref. Le brun trouva-enfin- la sortie de sa ruelle et déboucha sur une petite rue. Une petite rue toute mignonne avec un café et quelques boutiques. L’anglais, assez content de sa découverte, couru dans l’allée jusqu’au café et là, s’arrêta devant la vitrine ou des petites pâtisseries toute mignonnes étaient exposées. Son ventre lui cria qu’il avait faiim, très faiiim et que l’argent de ses parents serviraient à quelque chose pour une fois. Le petit Gotham ne se fit pas prier et entra dans la boutique, et demanda, en japonais avec son accent fortement anglais, s’il pouvait avoir quelques uns de ces délicieux gâteaux. La dame eu un petit gloussement et lui donna volontiers, lui en offrant même un. Lorsque Noam fut sorti, la vendeuse se demanda si cette étrange personne était une fille ou bien un garçon ?
Mais quelque chose captiva l’attention du petit. Un truc grand, gros, avec des poils, des oreilles et une queue qui balançait de droite à gauche … Un chieeeen ! Le brun poussa une exclamation de surprise et couru directement vers le gros chien en sortant un gâteau et le lui tend. Ouais, il a pas encore comprit que le chien appartenait à la personne assise juste à côté. Affichant un petit sourire adorable, il repoussa une longue mèche qui lui barrait le visage et la rejeta en arrière en tendant son gâteau au chien. Là, dans un anglais parfait, il s’exclama :
« Tu veux manger, petit grand chien ? ^___^ »
Cependant, quelque chose lui fit relever la tête. Oh ! Le chien était accompagné ! Gêné, Noam se passa une main dans ses longs cheveux et se mordit la lèvre. Il se releva quelque peu et regarda l’autre jeune homme.
« Excusez-moi ! Je n’avais pas vu qu’il était à vous ! »
L’anglais prit vite une teinte rouge et se cacha le visage avec l’une de ses mains gantée. Fini par écarquiller sesdoigts pour regarder le jeune homme de son œil acier et se mordit la lèvre.
Il avait habillé son petit short moulant noir qui laissait voir sa peau bronzée et son t-shirt noir qui ne couvrait pas un petit ventre plat espiègle (O.o ?). Bref. Le brun trouva-enfin- la sortie de sa ruelle et déboucha sur une petite rue. Une petite rue toute mignonne avec un café et quelques boutiques. L’anglais, assez content de sa découverte, couru dans l’allée jusqu’au café et là, s’arrêta devant la vitrine ou des petites pâtisseries toute mignonnes étaient exposées. Son ventre lui cria qu’il avait faiim, très faiiim et que l’argent de ses parents serviraient à quelque chose pour une fois. Le petit Gotham ne se fit pas prier et entra dans la boutique, et demanda, en japonais avec son accent fortement anglais, s’il pouvait avoir quelques uns de ces délicieux gâteaux. La dame eu un petit gloussement et lui donna volontiers, lui en offrant même un. Lorsque Noam fut sorti, la vendeuse se demanda si cette étrange personne était une fille ou bien un garçon ?
Mais quelque chose captiva l’attention du petit. Un truc grand, gros, avec des poils, des oreilles et une queue qui balançait de droite à gauche … Un chieeeen ! Le brun poussa une exclamation de surprise et couru directement vers le gros chien en sortant un gâteau et le lui tend. Ouais, il a pas encore comprit que le chien appartenait à la personne assise juste à côté. Affichant un petit sourire adorable, il repoussa une longue mèche qui lui barrait le visage et la rejeta en arrière en tendant son gâteau au chien. Là, dans un anglais parfait, il s’exclama :
« Tu veux manger, petit grand chien ? ^___^ »
Cependant, quelque chose lui fit relever la tête. Oh ! Le chien était accompagné ! Gêné, Noam se passa une main dans ses longs cheveux et se mordit la lèvre. Il se releva quelque peu et regarda l’autre jeune homme.
« Excusez-moi ! Je n’avais pas vu qu’il était à vous ! »
L’anglais prit vite une teinte rouge et se cacha le visage avec l’une de ses mains gantée. Fini par écarquiller sesdoigts pour regarder le jeune homme de son œil acier et se mordit la lèvre.
Noam Got- Invité
Re: « Je cherche un appart et un job. Et à manger, vous avez ? »
Invité Mer 22 Aoû 2007, 8:46 pm
Tandis que son chien est couché au sol, observant la rue avec flegme et d’un air sûr de lui, Azel se pince le nez entre deux doigts, fermant un œil devant son journal, comme si ça allait lui faciliter la tâche de lire les kanjis. Il grince des dents, et marmonne, un peu fâché.
« Aah, mais elle pouvait pas être américaine, tout simplement, cette Kaede ? J’te jure, tout pour m’embêter ! »
C’est certainement pas de sa faute si elle est japonaise, et quelque part, il le sait parfaitement, mais il faut bien que quelqu’un soit responsable dans cette histoire. Scie Sauteuse, en entendant son maître parler, remue de la queue mécaniquement ( même s’il ne comprend pas, il approuve absolument tout ce que dit Azel, puisque c’est son dieu personnel ). Et le molosse est content de voir quelqu’un qui s’approche de lui, surtout avec un gâteau à la main. Mais oui il veut un gâteau, le chien ! Il engloutit celui qu’on lui propose, l’avalant tout rond dans l’espoir d’en avoir un autre plus vite. Azel est toujours plongé dans son journal, mais entendre son chien mastiquer le fait relever le nez vers l’action.
« Scie Sauteuse reviens i… »
Il ne termine pas sa phrase, regardant fixement le châtain qui vient faire ami ami avec son chien, les yeux ronds. Il n’a même pas la présence d’esprit de reposer son journal, de signaler sa présence ou de se présenter tellement il est interloqué par la tenue de cette drôle de… personne. Il bat des cils, observant de haut en bas de manière extrêmement peu polie le nouveau venu ( Scie Sauteuse a pourtant l’air de l’apprécier, il réclame un autre gâteau en poussant Noam de son gros museau ). Azel est tellement surpris qu’il ne s’arrête absolument pas aux mimiques adorables de Noam, et le reluque comme s’il n’avait absolument aucune éducation. On ne peut pas vraiment dire que le châtain lui plaît, pourtant, parce qu’il a l’air plutôt… choqué.
La créature étrange paraît enfin remarquer sa présence silencieuse, et se redresse en s’excusant. Scie Sauteuse reste couché, mais lève le museau vers ce généreux distributeur de gâteaux, assez peu conscient de la désapprobation de son maître. Le brun a un court soupir, s’obligeant à ne pas commencer son discours par « mais c’est quoi cette tenue ? », grimaçant légèrement.
« C’est pas grave, mais tu devrais faire gaffe avec ce genre de chien, ils sont pas tous aussi gentils que le mien. »
Comme pour donner une preuve du danger qu’il peut représenter, Scie Sauteuse a arrêté de remuer la queue, et fixe Noam d’un air très sérieux. Pas vraiment le genre de chien qu’on aime croiser errant tout seul… Azel reprend, d’un ton un peu moins froid, même si on peut sentir qu’il fait des efforts pour se montrer aimable envers Noam tant il désapprouve sa façon de s’habiller.
« J’m’appelle Azel… Enchanté de te rencontrer. »
Il se fend d’un léger sourire glacé, que l’on peut mettre sur le compte d’une physionomie peu propice à transmettre ses émotions.
« Aah, mais elle pouvait pas être américaine, tout simplement, cette Kaede ? J’te jure, tout pour m’embêter ! »
C’est certainement pas de sa faute si elle est japonaise, et quelque part, il le sait parfaitement, mais il faut bien que quelqu’un soit responsable dans cette histoire. Scie Sauteuse, en entendant son maître parler, remue de la queue mécaniquement ( même s’il ne comprend pas, il approuve absolument tout ce que dit Azel, puisque c’est son dieu personnel ). Et le molosse est content de voir quelqu’un qui s’approche de lui, surtout avec un gâteau à la main. Mais oui il veut un gâteau, le chien ! Il engloutit celui qu’on lui propose, l’avalant tout rond dans l’espoir d’en avoir un autre plus vite. Azel est toujours plongé dans son journal, mais entendre son chien mastiquer le fait relever le nez vers l’action.
« Scie Sauteuse reviens i… »
Il ne termine pas sa phrase, regardant fixement le châtain qui vient faire ami ami avec son chien, les yeux ronds. Il n’a même pas la présence d’esprit de reposer son journal, de signaler sa présence ou de se présenter tellement il est interloqué par la tenue de cette drôle de… personne. Il bat des cils, observant de haut en bas de manière extrêmement peu polie le nouveau venu ( Scie Sauteuse a pourtant l’air de l’apprécier, il réclame un autre gâteau en poussant Noam de son gros museau ). Azel est tellement surpris qu’il ne s’arrête absolument pas aux mimiques adorables de Noam, et le reluque comme s’il n’avait absolument aucune éducation. On ne peut pas vraiment dire que le châtain lui plaît, pourtant, parce qu’il a l’air plutôt… choqué.
La créature étrange paraît enfin remarquer sa présence silencieuse, et se redresse en s’excusant. Scie Sauteuse reste couché, mais lève le museau vers ce généreux distributeur de gâteaux, assez peu conscient de la désapprobation de son maître. Le brun a un court soupir, s’obligeant à ne pas commencer son discours par « mais c’est quoi cette tenue ? », grimaçant légèrement.
« C’est pas grave, mais tu devrais faire gaffe avec ce genre de chien, ils sont pas tous aussi gentils que le mien. »
Comme pour donner une preuve du danger qu’il peut représenter, Scie Sauteuse a arrêté de remuer la queue, et fixe Noam d’un air très sérieux. Pas vraiment le genre de chien qu’on aime croiser errant tout seul… Azel reprend, d’un ton un peu moins froid, même si on peut sentir qu’il fait des efforts pour se montrer aimable envers Noam tant il désapprouve sa façon de s’habiller.
« J’m’appelle Azel… Enchanté de te rencontrer. »
Il se fend d’un léger sourire glacé, que l’on peut mettre sur le compte d’une physionomie peu propice à transmettre ses émotions.
Invité- Invité
Re: « Je cherche un appart et un job. Et à manger, vous avez ? »
Noam Got Jeu 23 Aoû 2007, 1:01 pm
[ Poor Noam 
Normal = Anglais
Gras = Japonais ]
Noam eu un grand sourire adorable lorsque le chien mangea son gâteau. Il était tout grand et tout gros le chien. Il aimait beaucoup les grands et gros chiens. Enfaite il aimait les chiens tout court ! Lorsque le chien mastiquait le gâteau, il caressa ses poils avec un immense sourire. Il le regarda avaler tout rond et tira une tête comme ça « O__O ». Puis il prit la parole, en anglais, tout en regardant le chien :
« Mais … Ne mange pas si vite, tu vas t’étouffer O__O !! Attention >O< !! »
Et c’est en disant ses recommandations au chien que le brun releva son regard vers son maître. Il avait l’air un peu crispé et Noam ne pensa pas –loin de là- que c’était ses vêtements qui avaient fait un tel choc. Non, pour lui, c’était normal. Et les personnes qui le connaissait –ou qui l’avait déjà vu- c’étaient habitué à ce style étrange. Mais Noam eu une prise de conscience –ce qui est rare chez lui- et se souvient alors du jour ou une vieille dame l’avez regardé comme ça aussi et l’avait ensuite couru après avec son parapluies. Etrange vieille.
L’anglais arrêta de cacher son visage et de se mordre la lèvre. Il regardait l’autre jeune homme avec une expression étrange à présent et il fini par faire un pas en arrière. Il s’exclama, en anglais, même pas sur que l’autre le comprenne :
« Vous n’avez pas de parapluies au moins ? >O< … »
On va dire qu’il se mettait en garde pour commencer à courir au cas où. Puis il senti la truffe humide du chien sur sa cuisse et le brun le regarda en contre bas. Il lui caressa doucement la tête et sortit un nouveau gâteau qu’il lui tendit avec une mise en garde de faire doucement lorsqu’il mange. Puis il écouta le jeune homme et lui fit un sourire éclatant, ravit de voir qu’on ne voulait pas l’attaquer avec un parapluie. Le pauvre. Il fini par se souvenir du reste de la scène avec la personne âgée complètement folle et fini par s’incliner quelque peu et se redresser. Il eu un air gêné et murmura :
« Je suis vraiment désolé, je sais que mon style vestimentaire est étrange mais ça me plait à moi … »
Puis pour ce qui était du chien, Noam fronça les sourcils et regarda le chien en contre bas qui avait prit un air assez sérieux. Le brun mit un certain temps avant de ressortir un gâteau et de le tendre au chien, avec un grand sourire. Puis il se redressa et regarde à nouveau le brun en face de lui. Il lui tendit son paquet de gâteaux et lui sourit.
« Je ferais attention, promis. » murmura-t-il puis il continua. « Vous en voulez, monsieur ? »
Lorsqu’il se présenta, Noam fit une petite courbette, ravit d’avoir de la discutions. Il affichait un sourire immense en se disant que ce monsieur était vraiment gentil, sans savoir ce qu’il pensait de ses vêtements, en faite XD. Il avait l’habitude qu’on le regarde comme ça donc …
« Mon nom est Noam Gotham. Enchanté. »
Il tendait toujours son paquet à Azel. Azel ? C’était un beau prénom …
Normal = Anglais
Gras = Japonais ]
Noam eu un grand sourire adorable lorsque le chien mangea son gâteau. Il était tout grand et tout gros le chien. Il aimait beaucoup les grands et gros chiens. Enfaite il aimait les chiens tout court ! Lorsque le chien mastiquait le gâteau, il caressa ses poils avec un immense sourire. Il le regarda avaler tout rond et tira une tête comme ça « O__O ». Puis il prit la parole, en anglais, tout en regardant le chien :
« Mais … Ne mange pas si vite, tu vas t’étouffer O__O !! Attention >O< !! »
Et c’est en disant ses recommandations au chien que le brun releva son regard vers son maître. Il avait l’air un peu crispé et Noam ne pensa pas –loin de là- que c’était ses vêtements qui avaient fait un tel choc. Non, pour lui, c’était normal. Et les personnes qui le connaissait –ou qui l’avait déjà vu- c’étaient habitué à ce style étrange. Mais Noam eu une prise de conscience –ce qui est rare chez lui- et se souvient alors du jour ou une vieille dame l’avez regardé comme ça aussi et l’avait ensuite couru après avec son parapluies. Etrange vieille.
L’anglais arrêta de cacher son visage et de se mordre la lèvre. Il regardait l’autre jeune homme avec une expression étrange à présent et il fini par faire un pas en arrière. Il s’exclama, en anglais, même pas sur que l’autre le comprenne :
« Vous n’avez pas de parapluies au moins ? >O< … »
On va dire qu’il se mettait en garde pour commencer à courir au cas où. Puis il senti la truffe humide du chien sur sa cuisse et le brun le regarda en contre bas. Il lui caressa doucement la tête et sortit un nouveau gâteau qu’il lui tendit avec une mise en garde de faire doucement lorsqu’il mange. Puis il écouta le jeune homme et lui fit un sourire éclatant, ravit de voir qu’on ne voulait pas l’attaquer avec un parapluie. Le pauvre. Il fini par se souvenir du reste de la scène avec la personne âgée complètement folle et fini par s’incliner quelque peu et se redresser. Il eu un air gêné et murmura :
« Je suis vraiment désolé, je sais que mon style vestimentaire est étrange mais ça me plait à moi … »
Puis pour ce qui était du chien, Noam fronça les sourcils et regarda le chien en contre bas qui avait prit un air assez sérieux. Le brun mit un certain temps avant de ressortir un gâteau et de le tendre au chien, avec un grand sourire. Puis il se redressa et regarde à nouveau le brun en face de lui. Il lui tendit son paquet de gâteaux et lui sourit.
« Je ferais attention, promis. » murmura-t-il puis il continua. « Vous en voulez, monsieur ? »
Lorsqu’il se présenta, Noam fit une petite courbette, ravit d’avoir de la discutions. Il affichait un sourire immense en se disant que ce monsieur était vraiment gentil, sans savoir ce qu’il pensait de ses vêtements, en faite XD. Il avait l’habitude qu’on le regarde comme ça donc …
« Mon nom est Noam Gotham. Enchanté. »
Il tendait toujours son paquet à Azel. Azel ? C’était un beau prénom …
Noam Got- Invité
Re: « Je cherche un appart et un job. Et à manger, vous avez ? »
Invité Ven 24 Aoû 2007, 5:25 pm
La question de Noam ne va certainement pas aider Azel à se dire que ce garçon est tout à fait normal, et qu’il est juste bizarrement habillé. Les yeux noirs s’arrondissent légèrement, puis il bat des cils délicatement plusieurs fois d’affilée. Euh… Quoi ? Il pose la main sur le cou de son chien, caressant le pelage ras et brillant du bout des doigts, le regard fixé sur Noam.
« Un parapluie ? »
Vu comme ça, il n’a pas l’air spécialement rapide à la détente, notre Azel… Notons au passage qu’il s’est également exprimé en anglais, et qu’il a de façon assez auditive l’accent londonien.
« Non, je n’ai pas de… parapluie sur moi. Tu en as besoin ? »
Ah ben bravo, maintenant il le regarde par en-dessous, extrêmement méfiant. On ne sait jamais, si jamais c’est un fétichiste des parapluies qui en veut à sa vertu ! Il est même en train de soudoyer son chien à coups de gâteaux pour lui retirer son seul moyen de défense ( après ses ongles et ses dents ). Scie Sauteuse, en parlant de lui, mâche son gâteau en frappant le sol de la queue, content d’avoir trouvé quelqu’un qui veut bien le nourrir plus de deux fois par jour ( son cruel maître ne lui donnant à manger que le matin et le soir ). Quand Noam murmure la phrase en japonais, Azel a un petit tic ( il secoue très rapidement la tête en prenant une expression agacée ) qui signifie à qui le connaît bien qu’il n’a pas compris la phrase du châtain. « Style vestimentaire », ça lui a échappé, c’est une expression encore un peu dure pour quelqu’un de fraîchement débarqué de l’avion.
Enfin, il se décide à poser son journal ( c’est vrai quoi, il avait l’air con avec la main en l’air ) et lisse précautionneusement le papier sur la table en acier, faussement pensif. Il intercepte le troisième gâteau que Noam donne à son chien, en faisant manifestement des efforts pour ne pas paraître désagréable – dure tâche.
« Non non, arrête, c’est pas bon pour lui de lui donner à manger comme ça. Oui, je veux bien de ce gâteau-là. » conclut-il en montrant celui qu’il a dans la main.
Scie Sauteuse, la truffe levée vers son goûter, a un petit gémissement lamentable censé faire céder son maître – lequel reste inflexible et croque dans son gâteau. Azel fait reculer la chaise face à lui d’un petit coup de pied, laissant une place à Noam, implicitement – en fait, il est en train d’essayer d’éloigner le nourrisseur fou de son chien, là… Il esquisse un très mince sourire – apparemment, il est pas capable d’en faire un plus grand – et incline légèrement la tête sur le côté.
« Un autre Anglais au Japon, quelle coïncidence. Dis-moi… Tu lis ces trucs ? »
Et il montre d’un geste ses ennemis personnels, les kanjis qui le narguent depuis le journal étalé devant lui, à côté de sa limonade plus trop glacée, maintenant. Il se penche sur son chien pour tirer de dessous sa masse son pull et lui tape la tête affectueusement.
« Ah, son nom à lui, c’est Scie Sauteuse. »
Petit sourire froid, à nouveau. Le sourire d’Azel, on dirait une pluie de grêle : c’est glacé, c’est minuscule, et acéré.
« Un parapluie ? »
Vu comme ça, il n’a pas l’air spécialement rapide à la détente, notre Azel… Notons au passage qu’il s’est également exprimé en anglais, et qu’il a de façon assez auditive l’accent londonien.
« Non, je n’ai pas de… parapluie sur moi. Tu en as besoin ? »
Ah ben bravo, maintenant il le regarde par en-dessous, extrêmement méfiant. On ne sait jamais, si jamais c’est un fétichiste des parapluies qui en veut à sa vertu ! Il est même en train de soudoyer son chien à coups de gâteaux pour lui retirer son seul moyen de défense ( après ses ongles et ses dents ). Scie Sauteuse, en parlant de lui, mâche son gâteau en frappant le sol de la queue, content d’avoir trouvé quelqu’un qui veut bien le nourrir plus de deux fois par jour ( son cruel maître ne lui donnant à manger que le matin et le soir ). Quand Noam murmure la phrase en japonais, Azel a un petit tic ( il secoue très rapidement la tête en prenant une expression agacée ) qui signifie à qui le connaît bien qu’il n’a pas compris la phrase du châtain. « Style vestimentaire », ça lui a échappé, c’est une expression encore un peu dure pour quelqu’un de fraîchement débarqué de l’avion.
Enfin, il se décide à poser son journal ( c’est vrai quoi, il avait l’air con avec la main en l’air ) et lisse précautionneusement le papier sur la table en acier, faussement pensif. Il intercepte le troisième gâteau que Noam donne à son chien, en faisant manifestement des efforts pour ne pas paraître désagréable – dure tâche.
« Non non, arrête, c’est pas bon pour lui de lui donner à manger comme ça. Oui, je veux bien de ce gâteau-là. » conclut-il en montrant celui qu’il a dans la main.
Scie Sauteuse, la truffe levée vers son goûter, a un petit gémissement lamentable censé faire céder son maître – lequel reste inflexible et croque dans son gâteau. Azel fait reculer la chaise face à lui d’un petit coup de pied, laissant une place à Noam, implicitement – en fait, il est en train d’essayer d’éloigner le nourrisseur fou de son chien, là… Il esquisse un très mince sourire – apparemment, il est pas capable d’en faire un plus grand – et incline légèrement la tête sur le côté.
« Un autre Anglais au Japon, quelle coïncidence. Dis-moi… Tu lis ces trucs ? »
Et il montre d’un geste ses ennemis personnels, les kanjis qui le narguent depuis le journal étalé devant lui, à côté de sa limonade plus trop glacée, maintenant. Il se penche sur son chien pour tirer de dessous sa masse son pull et lui tape la tête affectueusement.
« Ah, son nom à lui, c’est Scie Sauteuse. »
Petit sourire froid, à nouveau. Le sourire d’Azel, on dirait une pluie de grêle : c’est glacé, c’est minuscule, et acéré.
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