Accueil
Dernières imagesQuand les idées s'échappe
Page 1 sur 1
Quand les idées s'échappe
Invité Jeu 20 Sep 2007, 2:28 am
Yamina était revenu du parc depuis quelques temps.
Elle était installé sur son bureau, une feuille lignée vierge devant elle. Un crayon de plomb trop bien aiguisé se tenait juste sur le côté gauche de la feuille, près a servir. Elle avait fermé lentement les yeux après s'être installé et imaginais le scénario de la nouvelle qu'elle voulait faire...Tout d'un coup, les idées la fuyait , comme si elle essayait de retenir de l'eau avec ses doigts. Les idées passait, puis fuyait lentement entre ses doigts... La jeune femme soupira longuement. Elle qui avait une idée si claire la nuit dernière, avant de se coucher! Il fallait qu'elle rassemble ces idées...Elle attrapa le crayon, puis crayonna sur la feuiile.
Nouvelle--> Fin a laquelle on ne s'attend pas.
...
Elle n'y arrivais pas...L'idée qui lui semblait si claire, si limpide , hier soir, n'était plus qu'une vague brume qui se dissipait rapidement...Elle soupira longuement, jeta son crayon sur la table puis se leva, quittant pour de bon le bureau. Elle se dirigea dans sa chambre et s'écrasa sur son lit, observant le plafond. Elle aurait dut, ô qu'elle aurait du, faire comment elle avait penser hier et se lever pour l'écrire, car elle avait eu une inspiration soudaine!Mais elle s'était dit; oh, je le ferais demain, rien ne presse, je m'en rappellerai... Elle n'avait même pas prit de note... Elle soupira largement puis ferma les yeux. Comment avait-elle pu être aussi idiote! Il fallait qu'elle fasse le plus de nouvelle pour faire un livre et pouvoir l'envoyer a son éditeur...Elle ne pourrait pas vraiment gagner d'argent sinon, et , plus le temps avancait, plus la fortune décendait...Mais il lui restait tout de même une très très grosse part de la fortune, car celle ci était au départ très grosse, mais elle ne pourrait pas vivre avec cette argent toute sa vie...Elle aurait bien aimé gagné son argent. Bien sur, il y avait son livre, framboises et ver de terre, mais il n'avait pas remporté un très grand succès....
Elle était installé sur son bureau, une feuille lignée vierge devant elle. Un crayon de plomb trop bien aiguisé se tenait juste sur le côté gauche de la feuille, près a servir. Elle avait fermé lentement les yeux après s'être installé et imaginais le scénario de la nouvelle qu'elle voulait faire...Tout d'un coup, les idées la fuyait , comme si elle essayait de retenir de l'eau avec ses doigts. Les idées passait, puis fuyait lentement entre ses doigts... La jeune femme soupira longuement. Elle qui avait une idée si claire la nuit dernière, avant de se coucher! Il fallait qu'elle rassemble ces idées...Elle attrapa le crayon, puis crayonna sur la feuiile.
Nouvelle--> Fin a laquelle on ne s'attend pas.
...
Elle n'y arrivais pas...L'idée qui lui semblait si claire, si limpide , hier soir, n'était plus qu'une vague brume qui se dissipait rapidement...Elle soupira longuement, jeta son crayon sur la table puis se leva, quittant pour de bon le bureau. Elle se dirigea dans sa chambre et s'écrasa sur son lit, observant le plafond. Elle aurait dut, ô qu'elle aurait du, faire comment elle avait penser hier et se lever pour l'écrire, car elle avait eu une inspiration soudaine!Mais elle s'était dit; oh, je le ferais demain, rien ne presse, je m'en rappellerai... Elle n'avait même pas prit de note... Elle soupira largement puis ferma les yeux. Comment avait-elle pu être aussi idiote! Il fallait qu'elle fasse le plus de nouvelle pour faire un livre et pouvoir l'envoyer a son éditeur...Elle ne pourrait pas vraiment gagner d'argent sinon, et , plus le temps avancait, plus la fortune décendait...Mais il lui restait tout de même une très très grosse part de la fortune, car celle ci était au départ très grosse, mais elle ne pourrait pas vivre avec cette argent toute sa vie...Elle aurait bien aimé gagné son argent. Bien sur, il y avait son livre, framboises et ver de terre, mais il n'avait pas remporté un très grand succès....
Invité- Invité
Re: Quand les idées s'échappe
Invité Jeu 20 Sep 2007, 8:04 pm
Yamina ouvrit les yeux et fixa son plafond.D'avoir perdu l'idée de sa nouvelle l'attristait beaucoup. L'idée était si claire, si limpide dans sa tête hier soir... Elle se leva lentement, puis détacha ses cheveux. Ceux ci coulèrent lentement sur ses épaules pour retomber sur ses genoux. Elle se passa une main dans les cheveux puis soupira longuement. Elle passa sa langue sur ses lèvres puis qu'il soit humide puis marcha lentement jusqu'a son salon. Une fois rendu, elle ouvrit la porte coullisante donnant sur un vaste balcon. Elle referma la porte derrière elle puis marcha lentement jusqu'a la rembarde. Elle posa ses mains sur la froide barre de métal puis regarda le centre ville. Au loin, elle voyait le parc qu'elle avait quitté prédément, le centre d'achat et bien d'autre choses qu'elle n'arrivait pas forcément a nommé. Si elle en avait eu le courage, peut-être se jetterait-elle en bas, par dessus le balcon...Elle secoua lentement la tête pour enlever cette idée de la tête. Elle salirait tout et les autorités devrait rammasser son corps et nettoyer la rue en bas qui serait pleine...de...de son sang. Qu'elle impolitesse se serait de sa part! Elle soupira puis recula de quelques pas pour amener une chaise près du balcon. Elle s'assit dessus puis porta son regard sur la ville. Elle resterait assise là jusqu'a ce que son idées lui reviennent, jusqu'a ce qu'elle puissent écrire sa nouvelle qui lui avait parut si belle, si originale! Elle soupira longuement, puis la quatrième fois peut-être. Ces temps ci, elle soupirait beaucoup, comme pour se libérer d'un poid quelconque. Cela l'aidait, cela enlevait un certain poid a l'intérieure d'elle...
Invité- Invité
Re: Quand les idées s'échappe
Invité Dim 23 Sep 2007, 12:39 am
Yamina se leva d’un bond. Tous d’un coup, la nouvelle lui revenait clairement en tête! Le sourire aux lèvres, elle courut jusqu'à son bureau, s’installa sur sa chaise et attrapa le crayon de plomb, puis se mit à écrire frénétiquement.
Une faible lumière se dégageait des lampes à huiles accroché sur des poteaux de bois. Une silhouette se détacha de l’ombre et évolue lentement dans la rue. Sous l’effet de la lumière vacillante des lampes à huiles, ses pupilles se dilatèrent légèrement, remplissant ses yeux d’un orange profond. Sa bouche légèrement entrouverte laissait voir ses crocs acéré. À cause de la froide température ambiante, un nuage de fumés se formait devant sa gueule. Les poils qui recouvrait son corps tordu par la maigreur frémissait sous le vent, qui, impitoyable, soumissait son froid mordant. Tout en chemin, il eu le plaisir- ou le malheur? Personne ne pouvait vraiment comprendre son esprit…- de rencontrer un couple de jeune gens dans la fleur de l’âge, surement de retour d’une fête quelconque. La jeune femme, le voyant, cria d’horreur. Elle recula largement en entrainant son mari, puis le regarda avec un dégout sans fin. Le couple de jeune gens s’enfuie en marchant beaucoup plus vite. Il siffla longuement pour les effrayer puis continua son chemin d’un pas chancelant. Les victimes se faisaient si rare… Il continua sa route puis fut bondit dans l’ombre lorsqu’un cheval passé au galop a quelques centimètres a peine de lui. Il lâcha un cri aigu, qui affola le cheval et fit tomber par la même occasion le cavalier qui s’affala dans un bruit sourd au sol et se fit piétiner par son étalon. Il se retourna et détala sans demander son reste, entendant les gémissements déjà lointains de l’homme qui souffrait… Si il aurait pu, un sourire moqueur se serait dessiné sur ses lèvres, mais son visage ne fut pas conçut pour esquisser la moindre trace d’émotion. Son ventre se mit à hurler d’une faim qui avait été entretenu depuis plusieurs jours. Soudain, il s’arrêta au coin d’une ruelle, courba son maigre dos et montra ses horribles crocs jaunit. Juste dans le tournant de la ruelle, une victime apeuré qui s’était tapi dans un coin, espérant de ne pas se faire voir. Et il tremblait d’une certaine joie a l’idée de la victime…Il avança, ses crocs pointu sortant de sa gueule, une douce salive coulant sur son menton et gouttant au sol. Il s’approcha lentement, puis ouvrit grand sa gueule, montrant ses autres canines tous aussi pointu. La victime s’écrasa dans l’ombre du coin, tremblant de peur par toute les pores de sa peau. Il avança d’un tout dernier pas, plaça sa gueule au dessus de la victime. D’un coup rapide, il abaissa sa gueule et ferma sa gueule. La victime émit un cri aigu et la vie quitta son corps frêle. Il ouvrit et ferma ses crocs sur la victime, puis avala avec plaisir le tout, aspirant le dernier membre de la victime dans sa gueule. La faim le quitta et il lécha avec plaisir ses lèvres remplit d’un sang abondant. Il recula de quelques pas puis alla se réfugier dans l’ombre de la rue, a l’abri des faisceaux lumineux des lampes à huile. Il chemina dans la rue, repensant a la victime qui avait faire taire les grondements de sa faim. Une fois assez loin des lieux du crime, il s’arrêta et sauta sur le rebord d’une fenêtre. Il s’étala en prenant le plus de place possible, puis profita de la pierre froide sur son corps décharné.
Avant de fermer les yeux et de s’endormir dans la nuit froide, il miaula le plus fort qu’il put et repensa a la souris qu’il avait dévoré…
[color:f7b7=white:f7b7]Yamina reposa son crayon, le sourire aux lèvres, reposa son crayon sur la table et rangea la feuille remplit d’une écriture petit mais rapide et négligé sur une pile d’autre histoire...
Une faible lumière se dégageait des lampes à huiles accroché sur des poteaux de bois. Une silhouette se détacha de l’ombre et évolue lentement dans la rue. Sous l’effet de la lumière vacillante des lampes à huiles, ses pupilles se dilatèrent légèrement, remplissant ses yeux d’un orange profond. Sa bouche légèrement entrouverte laissait voir ses crocs acéré. À cause de la froide température ambiante, un nuage de fumés se formait devant sa gueule. Les poils qui recouvrait son corps tordu par la maigreur frémissait sous le vent, qui, impitoyable, soumissait son froid mordant. Tout en chemin, il eu le plaisir- ou le malheur? Personne ne pouvait vraiment comprendre son esprit…- de rencontrer un couple de jeune gens dans la fleur de l’âge, surement de retour d’une fête quelconque. La jeune femme, le voyant, cria d’horreur. Elle recula largement en entrainant son mari, puis le regarda avec un dégout sans fin. Le couple de jeune gens s’enfuie en marchant beaucoup plus vite. Il siffla longuement pour les effrayer puis continua son chemin d’un pas chancelant. Les victimes se faisaient si rare… Il continua sa route puis fut bondit dans l’ombre lorsqu’un cheval passé au galop a quelques centimètres a peine de lui. Il lâcha un cri aigu, qui affola le cheval et fit tomber par la même occasion le cavalier qui s’affala dans un bruit sourd au sol et se fit piétiner par son étalon. Il se retourna et détala sans demander son reste, entendant les gémissements déjà lointains de l’homme qui souffrait… Si il aurait pu, un sourire moqueur se serait dessiné sur ses lèvres, mais son visage ne fut pas conçut pour esquisser la moindre trace d’émotion. Son ventre se mit à hurler d’une faim qui avait été entretenu depuis plusieurs jours. Soudain, il s’arrêta au coin d’une ruelle, courba son maigre dos et montra ses horribles crocs jaunit. Juste dans le tournant de la ruelle, une victime apeuré qui s’était tapi dans un coin, espérant de ne pas se faire voir. Et il tremblait d’une certaine joie a l’idée de la victime…Il avança, ses crocs pointu sortant de sa gueule, une douce salive coulant sur son menton et gouttant au sol. Il s’approcha lentement, puis ouvrit grand sa gueule, montrant ses autres canines tous aussi pointu. La victime s’écrasa dans l’ombre du coin, tremblant de peur par toute les pores de sa peau. Il avança d’un tout dernier pas, plaça sa gueule au dessus de la victime. D’un coup rapide, il abaissa sa gueule et ferma sa gueule. La victime émit un cri aigu et la vie quitta son corps frêle. Il ouvrit et ferma ses crocs sur la victime, puis avala avec plaisir le tout, aspirant le dernier membre de la victime dans sa gueule. La faim le quitta et il lécha avec plaisir ses lèvres remplit d’un sang abondant. Il recula de quelques pas puis alla se réfugier dans l’ombre de la rue, a l’abri des faisceaux lumineux des lampes à huile. Il chemina dans la rue, repensant a la victime qui avait faire taire les grondements de sa faim. Une fois assez loin des lieux du crime, il s’arrêta et sauta sur le rebord d’une fenêtre. Il s’étala en prenant le plus de place possible, puis profita de la pierre froide sur son corps décharné.
Avant de fermer les yeux et de s’endormir dans la nuit froide, il miaula le plus fort qu’il put et repensa a la souris qu’il avait dévoré…
[color:f7b7=white:f7b7]Yamina reposa son crayon, le sourire aux lèvres, reposa son crayon sur la table et rangea la feuille remplit d’une écriture petit mais rapide et négligé sur une pile d’autre histoire...
Invité- Invité
Re: Quand les idées s'échappe
Invité Dim 23 Sep 2007, 11:27 pm
Yamina se leva du banc rembourré qui occupait une place devant son bureau. Elle quitta son bureau puis entra dans la salle de bain. Elle ouvrit un tirroir qu'il y avait sous le meuble du lavabo et sortit une brosse. Elle passa quelques coups de brosse dans ses cheveux passant du dessus de la tête a la longueur interminable de ses cheveux. Après avoir passé chaque mèche sous la brosse, elle regarda sa veste noir et soupira. Elle avait le gout de s'acheter une autre veste, celle-ci étant trop...fade. Elle rangea la brosse puis se dirigea dans sa vaste chambre. Elle ouvrit une des portes de l'armoire puis chercha une veste plus belle. Elle sortit une veste noir sur lequel des fausses tâches de peinture violet foncé avait été placé un peu partout. Elle enleva sa veste, puis enfila celle ci, nettement plus jolie. Elle jeta sa veste dans un coin, puis sortit de sa chambre pour aller dans son salon. Elle regarda par la fenêtre du salon ou l'on voyait une partie de la ville. Et si elle allait magasiner ? Elle mit son capuchon sur sa tête, fit glisser ses cheveux de jais le long de son corps, côté droite, puis attrapa les clés qu'il y avait sur le comptoir de la cuisine. Elle sortit de son appartement, barra la porte a clé, fourrant la clé noire ébène dans ses poches. Elle décendit l'escalier du bloc appartement , car elle n'aimait pas vraiment prendre l'ascenseur; il fallait toujours qu'il y ait quelqu'un, et être avec un inconnu dans un endroit aussi restreint la mettait plus que mal a l'aise. Une fois sur la dernière marche - elle était au 9e étage...-, elle reprit légèrement son souffle puis poussa la porte en verre. Elle sortit de l'appartement puis marcha vers le centre d'achat qui était a un kilomètre ou deux de chez elle...
Invité- Invité
Sujets similaires» Gourmandise, quand tu nous tiennnns ! [Un(e) Ansel?]
» Quand une souris rencontre une vachette. [ PV Hika-Saya ]
» Quand une souris rencontre une vachette. [ PV Hika-Saya ]
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum|
|
|