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A la plage [libre]
Invité Sam 15 Déc 2007, 4:58 pm
[ violet = ce qu’invente Anna]
La plage était à première vue déserte… enfin quand même pas. Mais face aux grands étés de vacances, où la place manque terriblement,, la plage semblait inlassablement vide. Qui voudrait aller à la plage en pleine hiver ? Qui serait assez fou pour y aller et vider son corps d’une moindre chaleur ? Alors qu’au dehors, il faisait bien un, deux ou trois degrés. De plus, c’était un mardi après midi, le jour où normalement tout les adolescents normales, sont obligés de rester cloîtrer dans un lieu aussi insolite que bête, l’école … mais pas Annaëlle !
Elle ne sèche point, ne rêvons pas, elle n’aime pas l’école mais, ne veux pas donner une raison de plus à sa mère de la détester. Alors puisqu’elle ne sèche pas, que fait-elle ? Eh bien, en ce moment, ses camarades de souffrance, donc camarade de classe, sont au cours de sport, sous un stade même pas chauffés, en train de courir comme des forcenés. Et elle à cause de ses pieds la faisant souffrir le martyre, la demoiselle ne peut en aucun cas participez à cette chose étrange que l’on a appelé sport. Préférant une plage glaciale au collège, elle partit donc de celui-ci.
Elle était maintenant sur la plage, ses converses noires planter dans la sable froid. Elle regardait la mer. Elle sourit à celle-ci . Et il lui sembla que la mer lui rendit son sourire. Si son chemin l’avait amené à la plage, ce n’était pas par hasard … Annaëlle voulait voire la mer. La mer qui lui semblait être pour elle son deuxième élément. Lorsque la nuit, quand tout le monde ferment ses paupières et rêvent sauf Annaëlle, elle va revoir la mer et plonge alors dans le creux de ses bras. Elle semble si chaude la mer, si douce, elle berce ce dauphin qu’est alors Anna. Elle la prend dans ses bras, l’étreint, la regarde. Si Anna s’en va au loin, trop au loin, elle a ramène par une vague protectrice. La mer à ce jour est peut-être la seule vraie mère de la demoiselle de verre. Annaëlle ferma les yeux et commença à rêver … La mer se transforma, elle prit des formes humaines. Même ces couleurs prirent une teinte plus humaine. Elle souriait. Ses yeux d’une couleur similaire à ceux d’Anna se fermèrent et se rouvrirent en un long battement de cil qui extirpa un instant la douleur des pieds d’Anna pour faire place à la douceur du rêve. Annaêlle rouvrit les yeux et la douleur revint.
A pas lent, elle se dirigea un peu plus vers la mer. Elle posa ses pieds dans l’eau d’une extrême froideur ,ils s’enfoncèrent dans celle-ci jusqu’au niveau de ses chevilles. Le froid prit son corps de plein fouet, paralysant un instant ses gestes. L’eau était glacé comme jamais… Mais qu’est-ce que ça pouvait bien faire à la belle demoiselle ? Ses pieds l’ont toujours fait souffrir, des milliers de lames se plantent au creux de son pied de secondes en secondes alors vous pouvez penser ce que vous voulez, mais le froid de la mer ne change pas beaucoup de cette douleur perpétuelle. Sauf qu’elle commença à remonter et là, Anna eut vraiment très froid. Emmitouflé dans son manteau noire, elle commença à déboutonner les boutons de celui-ci. Un bouton, plus deux puis trois …puis tous ces boutons furent défaits. 0_o A ce moment tout le monde pourraient penser qu’elle était complètement folle mais c’était bien égale à Anna. Maso ? non quand même pas, juste mélancolique …
D’une voix d’une douceur infinie, elle chanta doucement ces paroles :
"La petite sirène, elle, avait une mère, reine du royaume des flots ooo.
Mais moi je n’ai rien qui remplace une mère , la douceur de son sourire
Ces paroles de réconfort. Alors comment fais-je pour encore rire ?
Je n’ai pas de mère mais seulement de grands maux oooo
Comment fais-je pour survivre dans cette affreuse réalité ? »
Anna fit lors une tête un peu comme ça : T_T .Un petit rire sortit de sa bouche tandis qu’elle referma son manteau.
« Quel paroles débiles ! J’en ferai jamais une chanson ! En plus je parle toutes seules, je suis vraiment bizarre ! »
A ce moment, une vague plus forte que toutes les autres balaya la mer et fit monter l’eau glaciale des chevilles d’Annaëlle jusqu’à ses genoux . Elle cria un petit « Baaaaaaaaaaaa » d’étonnement avant de courir vers le sable. Elle s'assit sur ce sable froid et se frotta les bras avec ses mains.
"Quel débile je fais ! Raaa... Maintenant j'ai froid !"
La plage était à première vue déserte… enfin quand même pas. Mais face aux grands étés de vacances, où la place manque terriblement,, la plage semblait inlassablement vide. Qui voudrait aller à la plage en pleine hiver ? Qui serait assez fou pour y aller et vider son corps d’une moindre chaleur ? Alors qu’au dehors, il faisait bien un, deux ou trois degrés. De plus, c’était un mardi après midi, le jour où normalement tout les adolescents normales, sont obligés de rester cloîtrer dans un lieu aussi insolite que bête, l’école … mais pas Annaëlle !
Elle ne sèche point, ne rêvons pas, elle n’aime pas l’école mais, ne veux pas donner une raison de plus à sa mère de la détester. Alors puisqu’elle ne sèche pas, que fait-elle ? Eh bien, en ce moment, ses camarades de souffrance, donc camarade de classe, sont au cours de sport, sous un stade même pas chauffés, en train de courir comme des forcenés. Et elle à cause de ses pieds la faisant souffrir le martyre, la demoiselle ne peut en aucun cas participez à cette chose étrange que l’on a appelé sport. Préférant une plage glaciale au collège, elle partit donc de celui-ci.
Elle était maintenant sur la plage, ses converses noires planter dans la sable froid. Elle regardait la mer. Elle sourit à celle-ci . Et il lui sembla que la mer lui rendit son sourire. Si son chemin l’avait amené à la plage, ce n’était pas par hasard … Annaëlle voulait voire la mer. La mer qui lui semblait être pour elle son deuxième élément. Lorsque la nuit, quand tout le monde ferment ses paupières et rêvent sauf Annaëlle, elle va revoir la mer et plonge alors dans le creux de ses bras. Elle semble si chaude la mer, si douce, elle berce ce dauphin qu’est alors Anna. Elle la prend dans ses bras, l’étreint, la regarde. Si Anna s’en va au loin, trop au loin, elle a ramène par une vague protectrice. La mer à ce jour est peut-être la seule vraie mère de la demoiselle de verre. Annaëlle ferma les yeux et commença à rêver … La mer se transforma, elle prit des formes humaines. Même ces couleurs prirent une teinte plus humaine. Elle souriait. Ses yeux d’une couleur similaire à ceux d’Anna se fermèrent et se rouvrirent en un long battement de cil qui extirpa un instant la douleur des pieds d’Anna pour faire place à la douceur du rêve. Annaêlle rouvrit les yeux et la douleur revint.
A pas lent, elle se dirigea un peu plus vers la mer. Elle posa ses pieds dans l’eau d’une extrême froideur ,ils s’enfoncèrent dans celle-ci jusqu’au niveau de ses chevilles. Le froid prit son corps de plein fouet, paralysant un instant ses gestes. L’eau était glacé comme jamais… Mais qu’est-ce que ça pouvait bien faire à la belle demoiselle ? Ses pieds l’ont toujours fait souffrir, des milliers de lames se plantent au creux de son pied de secondes en secondes alors vous pouvez penser ce que vous voulez, mais le froid de la mer ne change pas beaucoup de cette douleur perpétuelle. Sauf qu’elle commença à remonter et là, Anna eut vraiment très froid. Emmitouflé dans son manteau noire, elle commença à déboutonner les boutons de celui-ci. Un bouton, plus deux puis trois …puis tous ces boutons furent défaits. 0_o A ce moment tout le monde pourraient penser qu’elle était complètement folle mais c’était bien égale à Anna. Maso ? non quand même pas, juste mélancolique …
D’une voix d’une douceur infinie, elle chanta doucement ces paroles :
"La petite sirène, elle, avait une mère, reine du royaume des flots ooo.
Mais moi je n’ai rien qui remplace une mère , la douceur de son sourire
Ces paroles de réconfort. Alors comment fais-je pour encore rire ?
Je n’ai pas de mère mais seulement de grands maux oooo
Comment fais-je pour survivre dans cette affreuse réalité ? »
Anna fit lors une tête un peu comme ça : T_T .Un petit rire sortit de sa bouche tandis qu’elle referma son manteau.
« Quel paroles débiles ! J’en ferai jamais une chanson ! En plus je parle toutes seules, je suis vraiment bizarre ! »
A ce moment, une vague plus forte que toutes les autres balaya la mer et fit monter l’eau glaciale des chevilles d’Annaëlle jusqu’à ses genoux . Elle cria un petit « Baaaaaaaaaaaa » d’étonnement avant de courir vers le sable. Elle s'assit sur ce sable froid et se frotta les bras avec ses mains.
"Quel débile je fais ! Raaa... Maintenant j'ai froid !"
Invité- Invité
Re: A la plage [libre]
Invité Dim 16 Déc 2007, 9:19 pm
Déçue, Eza marché ou plutôt roulé sur les trottoirs. Son handicap l'empêchait de faire un cour, le sport. Elle savait qu'elle n'était pas seule elle avait vu une autre Ansel de sa classe partir. D'après ses souvenirs il s'agissait du poisson... Elle semblait tout autant souffrir qu'elle des jambes. Ne savant quoi faire elle était partie en direction de la mer, de vieux souvenir l'y rattaché... La petite sagittaire avait toujours vécue au bord de la mer, d'abord en Angleterre ou elle habitait a Isle of Wight et ensuite en France ou elle habitait sur la côte d'Azur. Maintenant qu'elle venait vivre ici, a cet endroit a l'autre bout de son chez elle... La pauvre Iteza en était perdue ! Elle s'arrêta regarda le ciel oh se coursaient de petit nuage cotonneux et arrivaient de gros nuages gris annonciateur de mauvais temps. Elle farfouilla dans son sac et en sorti un petit appareil cubique qu'elle ouvrit, c'était un téléphone (ouahhhh quelle technologie !) elle regarda l'heure, il lui restait un bon bout de temps avant d'avoir a rentré. Le petit bout de femme rangea son super appareil et toussota dans son écharpe.
Fichue Pneumonie ! Elle ne la laisseras donc jamais en paix ?!
Mis a part sa maladie encore omniprésente elle allait plutôt bien et pouvait même peut être se servir de ses béquilles mais il ne fallait pas trop espérer l'adolescente continuai donc ainsi son chemin au bord de l'océan. La mer, reflet du ciel avait son bel azur qui se couvrait de gris. Une légère brise un peu frisquette fit perdre son chapeau a oreille de chat à la ptite bonne femme. Elle fit demi tour pour le récupéré mais cette fois-ci il partit en avant sans retombé et ainsi ballottait par les caprice des vents il atterrit dans le sable d'or.
Quel horreur ! Les roues du siège roulant allaient s'enlisait dans le sable !
Eza attacha grâce a un antivol son fauteuil a un poteaux électrique et sortit ses béquilles pour avancé tant bien que mal sur le sol accidenté de la plage. Elle arriva jusqu'à son petit bonnet oreille-de-chat. Relevant la tête elle aperçût le poisson au bords de l'eau. Elle dit d'un ton très calme et mature contrairement a son habitude d'avoir une voix enfantine et timide.
"Et ainsi le poisson rejeté par la douce mer s'échoua sur le rivage..."
Elle rit et s'approcha assez pour s'asseoir a coté de Anaëlle.
"Je suis Iteza Ansel. Une des douze."
Son regard était rivé sur la mer et elle gardait une part de mystère au as ou elle se serait trompé de personne.
Fichue Pneumonie ! Elle ne la laisseras donc jamais en paix ?!
Mis a part sa maladie encore omniprésente elle allait plutôt bien et pouvait même peut être se servir de ses béquilles mais il ne fallait pas trop espérer l'adolescente continuai donc ainsi son chemin au bord de l'océan. La mer, reflet du ciel avait son bel azur qui se couvrait de gris. Une légère brise un peu frisquette fit perdre son chapeau a oreille de chat à la ptite bonne femme. Elle fit demi tour pour le récupéré mais cette fois-ci il partit en avant sans retombé et ainsi ballottait par les caprice des vents il atterrit dans le sable d'or.
Quel horreur ! Les roues du siège roulant allaient s'enlisait dans le sable !
Eza attacha grâce a un antivol son fauteuil a un poteaux électrique et sortit ses béquilles pour avancé tant bien que mal sur le sol accidenté de la plage. Elle arriva jusqu'à son petit bonnet oreille-de-chat. Relevant la tête elle aperçût le poisson au bords de l'eau. Elle dit d'un ton très calme et mature contrairement a son habitude d'avoir une voix enfantine et timide.
"Et ainsi le poisson rejeté par la douce mer s'échoua sur le rivage..."
Elle rit et s'approcha assez pour s'asseoir a coté de Anaëlle.
"Je suis Iteza Ansel. Une des douze."
Son regard était rivé sur la mer et elle gardait une part de mystère au as ou elle se serait trompé de personne.
Invité- Invité
Re: A la plage [libre]
Invité Sam 23 Fév 2008, 10:06 pm
[ désolé, mon post est nul et surtout, pardon pour e temps que j'ai mis. Mon ordi fait encore des siennes !]
"Et ainsi le poisson rejeté par la douce mer s'échoua sur le rivage..." entendit Annaëlle derrière. A cet instant, Annaëlle bondit de surprise, manquant de tomber à la renverse vers la mer qui s’avançait de plus belle. Avec un geste sauveur, Annaëlle s’équilibra. Reprenant son souffle, elle leva la tête vers la source de son étonnement. C’était une jeune fille. Le premier détail qui surprise Annaëlle fut … une chose vraiment étrange… le chapeau de la jeune fille ! Avec des oreilles de chat, vraiment amusant comme chapeau ! Mais de quoi faire peur à la nature d’Annaëlle. Le poisson a toujours eu peur du chat, c’est marrant ça . La demoiselle avait aussi de longs cheveux blancs, très blancs, un peu comme les personnes âgées mais vu l’âge de la demoiselle, environ une petite quinzaine, ce ne devait pas être la même chose. Tiens, mais attendez, pourquoi cette jeune fille aux cheveux clairs avait parlé d’un poisson rejeté ? Non, impossible,. Anaëlle crut à cet instant, qu’elle avait du rêver. Mais la petite sirène arriva, volant dans les airs comme dans une eau douce. Elle se déposa à côté d’Annaëlle qui tourna la tête et la fixa euh… fixement ! La jolie sirène dit alors : « Elle a bien dit poisson ! Tu as bien entendu. Peut-être te connaît-elle ! Es-tu sûr de ne jamais l’avoir vu ? ». A cet instant, la montre de la sirène sonna, elle la regarda et dit prestement, en partant au loin : « Il faut que j’y aille, blanche neige m’a promis de me faire goutter les pommes de son jardin. Elle m’a dit qu’elles étaient à tomber dans les pommes ! » . Et la sirène partit comme elle était revenue.[/i]
"Je suis Iteza Ansel. Une des douze."
[i]Hein ? Iteza ? Mais oui, le sagittaire ! la fille aux longs cheveux blancs . Comment Anna avait pu l’oublie ? Annaëlle sentit le regard de la jeune fille posé sur la mer, comme la mystérieuse sirène de l’océan bleu, qu’Annaëlle avait vu en rêve deux fois. Elle gardait une part de mystère, un doute se propageait dans son esprit. Annaëlle sentait ces choses-là. La jeune fille avait peur de s’être trompé de personne. La demoiselle aux yeux émeraude, pour dissiper le « malentendu » qui n’était pas un « malentendu », sourit à la demoiselle et se présenta en bonne et du forme.
« Et moi, j’sui Annaëlle Ansel mais tu dois t’en être douté ! Enfin… ba oui… quand t’a parlé de poisson… enfin tu sais quoi . Et toi, tu es le sagittaire si je me souviens bien ! c’est pour ça que … euh … non laisse tomber . »
Ralalalala ! Quel manque de tact ! C’est affreux ! Anna-chou avait gaffée jusqu’ à la dernière minute. Elle avait bien failli parler du handicap d’Iteza alors qu’elle, n’aimait guère que l’on parle de sa malédiction et surtout, de ses pieds semblable à la petite sirène. Rien que de penser à ses pieds, elle eut subitement mal. Ralalalala ! Intérieurement, elle s’en voulait à mort ! Et pourtant, elle lâcha encore une de ses conneries dont elle a le secret :
« En fait, toi et moi, on est semblable . Nous sommes toute d’eux maudite et, nous portons en nous un handicap dure à porter. Mes pieds et tes jambes, ça nous fait mal et nous empêche de marcher correctement … »
Ralalalala fois dix milles ! Comment avait-elle osé sortir ça ? La petite débile ! Elle aurait voulu se taper la tête contre un mur enflammé si, il y en avait un !
« Enfin, c’est pas que … ba euh … je sache ce que tu sentent … mais… enfin ce que je voulais dire … enfin… »
Annaëlle pria en cet instant, pour que la demoiselle lui coupe la parole …
"Et ainsi le poisson rejeté par la douce mer s'échoua sur le rivage..." entendit Annaëlle derrière. A cet instant, Annaëlle bondit de surprise, manquant de tomber à la renverse vers la mer qui s’avançait de plus belle. Avec un geste sauveur, Annaëlle s’équilibra. Reprenant son souffle, elle leva la tête vers la source de son étonnement. C’était une jeune fille. Le premier détail qui surprise Annaëlle fut … une chose vraiment étrange… le chapeau de la jeune fille ! Avec des oreilles de chat, vraiment amusant comme chapeau ! Mais de quoi faire peur à la nature d’Annaëlle. Le poisson a toujours eu peur du chat, c’est marrant ça . La demoiselle avait aussi de longs cheveux blancs, très blancs, un peu comme les personnes âgées mais vu l’âge de la demoiselle, environ une petite quinzaine, ce ne devait pas être la même chose. Tiens, mais attendez, pourquoi cette jeune fille aux cheveux clairs avait parlé d’un poisson rejeté ? Non, impossible,. Anaëlle crut à cet instant, qu’elle avait du rêver. Mais la petite sirène arriva, volant dans les airs comme dans une eau douce. Elle se déposa à côté d’Annaëlle qui tourna la tête et la fixa euh… fixement ! La jolie sirène dit alors : « Elle a bien dit poisson ! Tu as bien entendu. Peut-être te connaît-elle ! Es-tu sûr de ne jamais l’avoir vu ? ». A cet instant, la montre de la sirène sonna, elle la regarda et dit prestement, en partant au loin : « Il faut que j’y aille, blanche neige m’a promis de me faire goutter les pommes de son jardin. Elle m’a dit qu’elles étaient à tomber dans les pommes ! » . Et la sirène partit comme elle était revenue.[/i]
"Je suis Iteza Ansel. Une des douze."
[i]Hein ? Iteza ? Mais oui, le sagittaire ! la fille aux longs cheveux blancs . Comment Anna avait pu l’oublie ? Annaëlle sentit le regard de la jeune fille posé sur la mer, comme la mystérieuse sirène de l’océan bleu, qu’Annaëlle avait vu en rêve deux fois. Elle gardait une part de mystère, un doute se propageait dans son esprit. Annaëlle sentait ces choses-là. La jeune fille avait peur de s’être trompé de personne. La demoiselle aux yeux émeraude, pour dissiper le « malentendu » qui n’était pas un « malentendu », sourit à la demoiselle et se présenta en bonne et du forme.
« Et moi, j’sui Annaëlle Ansel mais tu dois t’en être douté ! Enfin… ba oui… quand t’a parlé de poisson… enfin tu sais quoi . Et toi, tu es le sagittaire si je me souviens bien ! c’est pour ça que … euh … non laisse tomber . »
Ralalalala ! Quel manque de tact ! C’est affreux ! Anna-chou avait gaffée jusqu’ à la dernière minute. Elle avait bien failli parler du handicap d’Iteza alors qu’elle, n’aimait guère que l’on parle de sa malédiction et surtout, de ses pieds semblable à la petite sirène. Rien que de penser à ses pieds, elle eut subitement mal. Ralalalala ! Intérieurement, elle s’en voulait à mort ! Et pourtant, elle lâcha encore une de ses conneries dont elle a le secret :
« En fait, toi et moi, on est semblable . Nous sommes toute d’eux maudite et, nous portons en nous un handicap dure à porter. Mes pieds et tes jambes, ça nous fait mal et nous empêche de marcher correctement … »
Ralalalala fois dix milles ! Comment avait-elle osé sortir ça ? La petite débile ! Elle aurait voulu se taper la tête contre un mur enflammé si, il y en avait un !
« Enfin, c’est pas que … ba euh … je sache ce que tu sentent … mais… enfin ce que je voulais dire … enfin… »
Annaëlle pria en cet instant, pour que la demoiselle lui coupe la parole …
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