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Un peu de tranquilité...[Libre]
Kaelin A Lun 20 Aoû 2007, 7:44 pm
Kaelin avait quitté la demeure Ansel se matin après avoir pris son petit déjeuner et aussi, ses médicaments. Il ne fallait surtout pas qu'il oublie ces derniers qui lui permettaient d'avoir des os aussi solides que les autres personnes. Si il oubliait d'en prendre, il risquait d'avoir de gros ennuis comme de multiples fractures ou cassure des os. Bref, le jeune homme venait de sortir de chez lui et était allé se promener dans le parc, en s'enfonçant dans la forêt à côté duquel il était aménagé. Il était huit heures du matin, ce qui laisse deviner que Kaelin était un lève tôt. L'endroit était vraiment paisible. Le jeune homme trouva une clairière et s'asseya au pied de l'arbre qui tronait majestueusement en son milieu. Le soleil était levé depuis longtemps vu qu'on était en été. Les oiseaux gasouillaient joyeusement. Kaelin aimait beaucoup se trouver seul dans des endroits comme celui ci. Surtout le matin. Il espérait que personne ne viendrait le déranger dans cette agréable quiétude. D'ailleurs, il était peu probable que quelqu'un se trouve là à cette heure si matinale. Le jeune homme ayant beaucoup marché pour venir ici, il se servit de l'eau qu'il but au goulot de la bouteille qu'il avait apporté. Une fois ceci fait, il la rangea dans son sac à dos en prennant soin de bien la boucher. Le fait qu'elle verse dans son sac alors qu'il y avait son ordinateur portable à l'intérieur serait gênant, même malgrès le fait que l'appareil se trouve à l'intérieur d'une sacoche étanche.
Kaelin A- Invité
Re: Un peu de tranquilité...[Libre]
Invité Mer 22 Aoû 2007, 12:33 pm
Pas de chance pour Kaelin qui ne voulait que de la tranquillité, Azel est dans les parages.
Il vient de sortir d’un bain public, et se trouve bêtement content de se sentir propre après un voyage en avion interminable, et une nuit passée au sol à dormir contre son chien, à se servir de lui comme oreiller. Ses cheveux noirs portés un peu longs sont encore humides de sa douche ( pas si rapide que ça, la douche, il a fallu convaincre Scie Sauteuse de garder le sac et de ne pas le suivre ) et son t-shirt lui colle dans le dos – là où il a oublié de s’essuyer. Il semble pourtant extatiquement heureux de cette journée ensoleillée, avec des arbres verts et tellement… japonaise ! Il a un léger sourire en coin, et demande à voix haute ( et en anglais ) :
« Et on est où Scie Sauteuse ? Au Japon, ouais ! »
L’énorme chien qui batifolait sur le chemin revient vers lui en aboyant, la bonne humeur de son maître étant très contagieuse. A sa décharge, ça faisait un moment que Azel était apathique, et se laissait vivre mollement, comme en hibernation. Maintenant qu’il a atteint son objectif, le brun est de nouveau réveillé, et d’humeur un peu plus joyeuse qu’en partant d’Angleterre. Inutile de dire que le gros chien est ravi de ce changement. Il trotte donc joyeusement autour d’Azel, lequel est chargé d’un gros sac rouge usé aux coins, dont la courroie en tissu à la couleur passée tire sur son épaule presque maigre. Limite si, dans un souci d’équité, on verrait mieux le sac porter Azel, tellement leurs poids respectifs ont l’air déséquilibrés. Le grand brun s’arrête, et libère ses deux mains en faisant passer son gros sac dans son dos ( pour le coup on a vraiment l’impression qu’il va tomber en arrière ). Le but de la manœuvre sans doute douloureuse à son épaule ? Rouler une cigarette. Scie Sauteuse, le nez au vent, va courir dans l’herbe du parc sans attendre son propriétaire.
Le monde semble s’être arrêté pour Azel, et sa priorité première est de terminer cette cigarette puis de l’allumer. Une fois cela fait, il siffle son chien, parti un peu trop loin de lui, et reprend sa marche nonchalante, ses yeux noirs glacés détaillant le paysage. Il faut compléter son portrait général en évoquant l’écouteur fixé à son oreille gauche relié à un appareil de prix sur lequel il a foutu toute sa musique piratée en vrac avant de partir d’Angleterre ( l’appareil étant coincé dans sa poche de jeans ). En appréciant le paysage, il finit par tomber sur Kaelin, et ses fins sourcils se froncent un peu. Apparemment le changement de pays n’a pas arrangé son envie de solitude… Il le prend pour un joggeur qui fait une pause dans sa course, et décide d’être un minimum correct, en rappelant son chien près de lui, histoire qu’il n’aille pas embêter Kaelin. C’est vrai quoi, un énorme molosse comme ça, avec des mâchoires aussi puissantes, ça peut faire peur à n’importe qui.
Scie Sauteuse commence par obéir, en se rapprochant de son maître en remuant la queue. Comment faire pour faire parler deux personnages qui n’en ont aucune envie ? On utilise l’animal présent comme vecteur, tout à fait. Et c’est ainsi que Scie Sauteuse va fourrer son gros museau dans la sacoche de Kaelin, à la recherche sans doute de quelque chose de comestible. Azel crie sur son chien :
« Scie Sauteuse ! Tu viens ici tout de suite ! »
La bestiole le regarde un instant, remue la queue gentiment, mais continue ses recherches. L’Anglais fronce des sourcils, laisse tomber son sac au sol, et fonce sur le coupable à grands pas ( en ignorant superbement Kaelin, son problème n’est pas là actuellement ). Il attrape avec beaucoup de détermination la peau du cou du chien, lui râle dessus, lui secoue la tête. Evidemment, le chien étant sûrement plus lourd que son maître, il ne bougera pas de place, mais au moins il a compris que fouiner dans le sac des inconnus, ça ne se fait pas. Azel l’envoie garder son sac rouge ( resté abandonné en plein milieu du chemin ) et Scie Sauteuse s’assied à côté en gémissant.
Le brun, après avoir observé son chien lui obéir, se tourne vers Kaelin, esquisse un léger sourire, et lui présente sa main. Il parle un japonais assez fluide, quoique largement teinté d’accent anglais.
« Bonjour, je m’appelle Azel. Je suis désolé, d’habitude il m’obéit… »
Belle entrée en matière, n’est-ce pas ?
Il vient de sortir d’un bain public, et se trouve bêtement content de se sentir propre après un voyage en avion interminable, et une nuit passée au sol à dormir contre son chien, à se servir de lui comme oreiller. Ses cheveux noirs portés un peu longs sont encore humides de sa douche ( pas si rapide que ça, la douche, il a fallu convaincre Scie Sauteuse de garder le sac et de ne pas le suivre ) et son t-shirt lui colle dans le dos – là où il a oublié de s’essuyer. Il semble pourtant extatiquement heureux de cette journée ensoleillée, avec des arbres verts et tellement… japonaise ! Il a un léger sourire en coin, et demande à voix haute ( et en anglais ) :
« Et on est où Scie Sauteuse ? Au Japon, ouais ! »
L’énorme chien qui batifolait sur le chemin revient vers lui en aboyant, la bonne humeur de son maître étant très contagieuse. A sa décharge, ça faisait un moment que Azel était apathique, et se laissait vivre mollement, comme en hibernation. Maintenant qu’il a atteint son objectif, le brun est de nouveau réveillé, et d’humeur un peu plus joyeuse qu’en partant d’Angleterre. Inutile de dire que le gros chien est ravi de ce changement. Il trotte donc joyeusement autour d’Azel, lequel est chargé d’un gros sac rouge usé aux coins, dont la courroie en tissu à la couleur passée tire sur son épaule presque maigre. Limite si, dans un souci d’équité, on verrait mieux le sac porter Azel, tellement leurs poids respectifs ont l’air déséquilibrés. Le grand brun s’arrête, et libère ses deux mains en faisant passer son gros sac dans son dos ( pour le coup on a vraiment l’impression qu’il va tomber en arrière ). Le but de la manœuvre sans doute douloureuse à son épaule ? Rouler une cigarette. Scie Sauteuse, le nez au vent, va courir dans l’herbe du parc sans attendre son propriétaire.
Le monde semble s’être arrêté pour Azel, et sa priorité première est de terminer cette cigarette puis de l’allumer. Une fois cela fait, il siffle son chien, parti un peu trop loin de lui, et reprend sa marche nonchalante, ses yeux noirs glacés détaillant le paysage. Il faut compléter son portrait général en évoquant l’écouteur fixé à son oreille gauche relié à un appareil de prix sur lequel il a foutu toute sa musique piratée en vrac avant de partir d’Angleterre ( l’appareil étant coincé dans sa poche de jeans ). En appréciant le paysage, il finit par tomber sur Kaelin, et ses fins sourcils se froncent un peu. Apparemment le changement de pays n’a pas arrangé son envie de solitude… Il le prend pour un joggeur qui fait une pause dans sa course, et décide d’être un minimum correct, en rappelant son chien près de lui, histoire qu’il n’aille pas embêter Kaelin. C’est vrai quoi, un énorme molosse comme ça, avec des mâchoires aussi puissantes, ça peut faire peur à n’importe qui.
Scie Sauteuse commence par obéir, en se rapprochant de son maître en remuant la queue. Comment faire pour faire parler deux personnages qui n’en ont aucune envie ? On utilise l’animal présent comme vecteur, tout à fait. Et c’est ainsi que Scie Sauteuse va fourrer son gros museau dans la sacoche de Kaelin, à la recherche sans doute de quelque chose de comestible. Azel crie sur son chien :
« Scie Sauteuse ! Tu viens ici tout de suite ! »
La bestiole le regarde un instant, remue la queue gentiment, mais continue ses recherches. L’Anglais fronce des sourcils, laisse tomber son sac au sol, et fonce sur le coupable à grands pas ( en ignorant superbement Kaelin, son problème n’est pas là actuellement ). Il attrape avec beaucoup de détermination la peau du cou du chien, lui râle dessus, lui secoue la tête. Evidemment, le chien étant sûrement plus lourd que son maître, il ne bougera pas de place, mais au moins il a compris que fouiner dans le sac des inconnus, ça ne se fait pas. Azel l’envoie garder son sac rouge ( resté abandonné en plein milieu du chemin ) et Scie Sauteuse s’assied à côté en gémissant.
Le brun, après avoir observé son chien lui obéir, se tourne vers Kaelin, esquisse un léger sourire, et lui présente sa main. Il parle un japonais assez fluide, quoique largement teinté d’accent anglais.
« Bonjour, je m’appelle Azel. Je suis désolé, d’habitude il m’obéit… »
Belle entrée en matière, n’est-ce pas ?
Invité- Invité
Re: Un peu de tranquilité...[Libre]
Kaelin A Jeu 23 Aoû 2007, 7:53 pm
Le jeune homme leva la tête et observa les frondaisons qui étaient traversées par des rayons de soleil. Cela donnait un effet très joli. Kaelin n'avait pas fermé son sac car il pourrait avoir soif. Il mit les écouteurs de son baladeur mp4 dans ses oreilles et écouta les musiques qui s'y trouvaient. Kaelin écoutait de la musique japonaise mais aussi certains groupes étrangers. Perdu dans son écoute, il ne sentit pas le promeneur et son chien approcher. Il se rendit enfin compte de leur présence quand l'animal fourra son museau dans son sac. Le jeune homme enleva ses écouteurs et éteignit le balladeur. Le maitre de l'animal attrapa ce dernier vivement par la peau du cou, le forçant à sortir la tête du sac. Il n'y avait de toutes façon rien de comestible à par l'eau. Kaelin n'avait pas peur pour son ordinateur portable car celui ci était protégé dans une sacoche assez solide. Le chien fut "maitrisé" et envoyé garder le sac que son maitre avait laissé tomber au sol. Le maitre en question se présenta et s'excusa à Kaelin qui s'était levé et avait mis son sac dans son dos. Azel utilisait l'anglais et était sans doute un occidental. Un touriste ? Kaelin lui répondit en utilisant la même langue.
Ce n'est pas grave, il n'y pas de mal. Je suis Kaelin Ansel.
A ces mots, une sonnerie se fit entendre. Le japonais dégaina son téléphone portable en s'excusant gestuellement auprès d'Azel. Pour la conversation téléphonique, il utilisa sa langue natale.
Moshi moshi ?....... Ohayo Neo kun !...... Hum, je peux faire ca, y'a pas de soucis.... Pour qui ?.....Ambre chan ? Y'a pas de problèmes au moins ?..... Ah, ca me rassure..... Donc tu va dans la salle de bains, tu cherche dans l'armoire à pharmacie, dans le compartiment d'Ambre..... T'est au centre commercial ?.... Commande [tel médicament] à la pharmacie.... Deux comprimés surtout.... Voilà.... De rien, à plus !
C'était son cousin Neoja qui avait appellé pour donner ses médicaments à Ambre, une cousine qui avait l'air d'être quelque peu souffrante. Le cousin avait donné à la jeune femme un calmant pour la soulager et voulait savoir quels médicaments étaient efficaces pour Ambre. Kaelin devrait passer la voir pour voir si tout allait bien. Le jeune homme venait de ranger son portable et repporta son attention sur Azel.
Excusez moi, une petite urgence.... Vous comprenez le japonais ?
Ce n'est pas grave, il n'y pas de mal. Je suis Kaelin Ansel.
A ces mots, une sonnerie se fit entendre. Le japonais dégaina son téléphone portable en s'excusant gestuellement auprès d'Azel. Pour la conversation téléphonique, il utilisa sa langue natale.
Moshi moshi ?....... Ohayo Neo kun !...... Hum, je peux faire ca, y'a pas de soucis.... Pour qui ?.....Ambre chan ? Y'a pas de problèmes au moins ?..... Ah, ca me rassure..... Donc tu va dans la salle de bains, tu cherche dans l'armoire à pharmacie, dans le compartiment d'Ambre..... T'est au centre commercial ?.... Commande [tel médicament] à la pharmacie.... Deux comprimés surtout.... Voilà.... De rien, à plus !
C'était son cousin Neoja qui avait appellé pour donner ses médicaments à Ambre, une cousine qui avait l'air d'être quelque peu souffrante. Le cousin avait donné à la jeune femme un calmant pour la soulager et voulait savoir quels médicaments étaient efficaces pour Ambre. Kaelin devrait passer la voir pour voir si tout allait bien. Le jeune homme venait de ranger son portable et repporta son attention sur Azel.
Excusez moi, une petite urgence.... Vous comprenez le japonais ?
Kaelin A- Invité
Re: Un peu de tranquilité...[Libre]
Invité Dim 26 Aoû 2007, 1:35 am
( Euh les Ansel sont pas d’origine française plutôt que japonaise ? )
Il y a trois choses qu’Azel déteste par dessus tout dans la vie.
1- Qu’on décroche un téléphone alors qu’on lui parle.
2- Qu’on le prenne pour un con.
3- Les brocolis.
Le troisième point n’a aucun intérêt présentement, mais les deux premiers réclament toute notre attention puisque Kaelin, après s’être brièvement présenté, décroche son téléphone portable. Les yeux noirs d’Azel s’étrécissent un peu, traduisant le mécontentement de leur propriétaire. Il s’abstient pourtant de foudroyer du regard le Ansel – c’est vrai quoi, il vient juste de le rencontrer. Il se radoucit d’ailleurs en entendant des bribes de la conversation. Une jeune fille malade, comme c’est attendrissant, tu vas pas bouffer son cousin en salade parce qu’il l’a sauvée, hein Azel ? Bref, l’Anglais enfonce ses mains dans ses poches, laissant traîner son regard sombre de biais, sur les arbres. Il ne pense plus du tout à son chien – resté d’ailleurs sagement à côté du sac, observant de loin Kaelin avec calme.
Enfin, Kaelin raccroche et Azel lui adresse un sourire sec – il faut préciser à sa décharge qu’il arrive très peu à faire de vrais sourires. Et le Ansel a le malheur de lui poser une question qui assombrit son visage d’un coup. Il y répondra même par une phrase sèche et presque assassine.
« T’en connais beaucoup, des crétins qui débarquent au Japon sans parler japonais ? »
Oui, il a la sale habitude de tutoyer à peu près tous les gens qui paraissent être dans sa tranche d’âge… Les mains toujours dans les poches, il hausse des épaules un peu brusquement, très clairement agacé par la demande du châtain. Il secoue légèrement la tête, ébouriffant un peu plus ses mèches de cheveux déjà bien en bataille, et regarde encore et toujours ailleurs que sur Kaelin.
Il y a trois choses qu’Azel déteste par dessus tout dans la vie.
1- Qu’on décroche un téléphone alors qu’on lui parle.
2- Qu’on le prenne pour un con.
3- Les brocolis.
Le troisième point n’a aucun intérêt présentement, mais les deux premiers réclament toute notre attention puisque Kaelin, après s’être brièvement présenté, décroche son téléphone portable. Les yeux noirs d’Azel s’étrécissent un peu, traduisant le mécontentement de leur propriétaire. Il s’abstient pourtant de foudroyer du regard le Ansel – c’est vrai quoi, il vient juste de le rencontrer. Il se radoucit d’ailleurs en entendant des bribes de la conversation. Une jeune fille malade, comme c’est attendrissant, tu vas pas bouffer son cousin en salade parce qu’il l’a sauvée, hein Azel ? Bref, l’Anglais enfonce ses mains dans ses poches, laissant traîner son regard sombre de biais, sur les arbres. Il ne pense plus du tout à son chien – resté d’ailleurs sagement à côté du sac, observant de loin Kaelin avec calme.
Enfin, Kaelin raccroche et Azel lui adresse un sourire sec – il faut préciser à sa décharge qu’il arrive très peu à faire de vrais sourires. Et le Ansel a le malheur de lui poser une question qui assombrit son visage d’un coup. Il y répondra même par une phrase sèche et presque assassine.
« T’en connais beaucoup, des crétins qui débarquent au Japon sans parler japonais ? »
Oui, il a la sale habitude de tutoyer à peu près tous les gens qui paraissent être dans sa tranche d’âge… Les mains toujours dans les poches, il hausse des épaules un peu brusquement, très clairement agacé par la demande du châtain. Il secoue légèrement la tête, ébouriffant un peu plus ses mèches de cheveux déjà bien en bataille, et regarde encore et toujours ailleurs que sur Kaelin.
Invité- Invité
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